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Bonjour Cilouf,
Dans votre exemple, la réponse est « … que je me suis permis d’annoter », car on permet à quelqu’un. Vous aurez les deux cas d’accord pour le verbe se permettre dans la réponse donnée par Joëlle et Evinrude ici.
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Chambaron, que je suis contente de vous retrouver. J’ai bien pensé à vous en donnant ma réponse. Que vos explications sont magnifiques !
Tout cela me donne une profonde joie.Je saisis l’occasion pour dire que si je peux apporter une certaine aide, c’est parce que vous et certains autres experts m’avez bien aidée.
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Vous savez, nathalie47, les complications sont souvent intéressantes. Je ne connais pas les Skolts, mais, il faudrait suivre la même logique que si c’étaient des habitants d’un département. On parle des Bretons, des Lyonais, des Toulousains, on pourrait parler des Skolts, mais au moment où vous parlez d’une ethnie qui fait partie des Samis, ce serait le groupe ethnique skolt des Samis (skolt étant devenu un adjectif).
Je viens de voir sur Wikipédia que cette ethnie a sa propre langue, le « skolt sami », et elle est définie comme une langue sami (parlée dans la partie orientale de la région) . Il faudrait connaître à fond la question, et il semble que ce soit votre cas, pour savoir si la langue parlée est le sami skolt ou le skolt sami. Cela, du fait que je vois que les Skolt sont les habitants d’origine et qu’ils font partie maintenant des Samis.
Là, c’est un peu compliqué, c’est vrai. Afin d’éclaircir l’affaire, je fais le parallèle avec les Suisses. En Suisse, il y a quatre régions linguistiques et on parle le suisse romand, le suisse allemand, le suisse italien et une autre langue qu’on appelle le romanche. Vous devriez faire de même avec la langue des Skolts. La mention « sami skolt » peut fort bien venir d’une traduction anglaise mal transposée et qui pourrait bien être « skolt sami ». Je vous laisse démêler tout cela. Mais, vous avez maintenant une logique.
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Cypou, juste pour le plaisir, je vous mets un autre lien provenant du journal « Le Monde ». C’est le 5e tweet. À noter que je ne parle pas du fond, mais de la forme !
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Bonjour nathalie47,
Il vous faudrait assimiler le peuple sami au peuple français. Vous pourrez dire « les Samis » comme vous dites « les Lapons », « les Français » et « la ferme sami » comme « la ferme française ». Qu’un peuple soit français, lapon ou sami, cela ne change rien au fait qu’une fois vous avez le nom et une fois un qualificatif, qui lui n’a pas de majuscule.
J’espère vous avoir rendu service.
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Bonjour Cipou,
Je vous remercie pour le titre, je viens de voir que c’est une trilogie. À propos, une oeuvre est un écrit ; dans le cas présent, on peut tout à fait dire que c’est une oeuvre, une trilogie et un cycle romanesque. Je vous souhaite bonne lecture si ce n’est pas encore fait ! J’aime bien la littérature romanesque espagnole.
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Bonjour Cypou,
Le sujet a été traité quelques fois sur cette plateforme. Je vous donne un lien ici.
S’il vous faut autre chose, je vous aiderai dans la mesure de mes moyens. Mais, je pense que vous y allez trouver réponse à vos questions.
Pour ce qui en est de Carlos Ruiz Zafón, pourriez-vous donner le titre en espagnol, car je ne le trouve pas sur la toile ?
J’espère vous avoir rendu service.
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C’est une remarque tout à fait personnelle que je vais faire, Chambaron. L’information que vous avez transmise me fait penser qu’un personnage comme Bernard Quemada continue à faire son oeuvre à travers des personnes comme vous et grâce à une plateforme comme celle-ci.
Un de mes amis auquel j’ai fait une remarque similaire un jour m’a dit que c’était « le fil de la vie ».
Votre intervention donne aussi un nom et un visage au père du Trésor de la langue française.
Je vous remercie.
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Czardas,
Je vous remercie de vos deux remarques. En ce qui concerne « par en dessous, par en dessus », vous m’avez donné l’explication que j’attendais. En y repensant, c’est dans les magasins ou lors de déménagements que j’entends l’expression.
Pour le « for intérieur », c’est aussi très bienvenu. Il est certain qu’en cas de doute, on peut recourir à une autre tournure (comme l’a suggéré jbambaggi), mais cela vaut parfois la peine d’insister et la solution vient, comme dans ce cas par vous.
Pour le trait d’union… Je me demande si c’est par ce que le trait d’union qui m’unit à la Terre devient de plus en plus ténu que je l’enlève aussi aux mots… La dernière fois c’est vous, Czardas, qui avez attiré mon attention (quelques-uns) et maintenant c’est jbambaggi (par-dessus). Je vais méditer sérieusement sur le sujet.
Une première remarque-question. Je sais bien, que lorsqu’on parle du corps, on parle de la tête, des bras et pas de sa tête ni de ses bras. En l’occurrence, c’est parce que c’est moi qui admire le travail et qu’il m’a semblé qu’en mettant « les yeux » , cela n’aurait pas le même sens. Autre exemple : si j’avais très bien planté un clou, ma main aurait été très contente. En quelque sorte, je leur prête une identité. Est-ce un abus ?
Ecore une question. Si j’avais mis : pas un fil, pas un clou ne dépasse, aurais-je pu garder le verbe au singulier ? C’est parce que j’aurais aussi dit, par exemple : pas un livre, pas un crayon n’est posé de travers. Ou est-ce qu’il aurait fallu ajouter « rien » (pas un fil, pas un clou, rien ne dépasse ) ?
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Bonjour Setareh1944,
Joëlle a raison. Notons que si « nous » se réfère à deux personnes de sexe féminin, on écrira : Une image bien différente de celle à laquelle nous avait habituées maman.
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