C’est clair.
Merci et bonne suite une fois de plus.

Ah les mots ! Non, je voulais vous aider à expliquer aux constructeurs du logiciel qu’ils avaient intérêt à corriger leurs fautes. J’ai eu parfois de la chance quand j’ai fait une remarque ou une autre.

Je n’ai pas pensé une seconde à autre chose, vous expliquez très bien que cela fait longtemps que vous êtes correctrice et que vous êtes attentive. Félicitations.

Je vous souhaite bonne suite.

Ma remarque au sujet des corrections était une plaisanterie. Je sais bien que les écrits sont émaillés de choses de ce genre. Mais si ce n’était qu’une parenthèse…
Je vous aurais aidée volontiers.

Vous me faites rigoler avec l’énumération des corrections que vous devez faire ! Je comprends aussi votre situation.  Je ne pense pas que ce soit ici le lieu d’une discussion sur le sujet, mais je veux bien vous épauler dans la recherche d’une solution. Si cela vous intéresse dites-moi comment entrer en contact avec vous.

Je suppose que vous devriez contrôler que vous avez la bonne version et ensuite voir la chose avec les responsables du logiciel .

À votre santé !

Vous parlez de whisky ? Un double Chivas, deux doubles Chivas.

Bonjour Puci,
Vous pouvez vous en sortir de plusieurs façons pour trouver votre réponse . Vous pourriez simplement remplacer le verbe : Dès que je lis votre réponse… Vous saurez ainsi que c’est au présent. Vous pouvez aussi vous imaginer au moment où vous obtenez la réponse, ce sera un moment présent  : dès que j’obtiens (dès que j’ai) et non pas « dès que j’obtienne ».

J’espère que cela vous rend service.

Oui, Poulix. Je me suis vue descendre à toute vitesse depuis le troisième étage. car je descends, je fais l’action.  On peut dire qu’on se voit naître.

Bonne suite.

Bonjour mappec,

Je partage votre opinion en ce qui concerne l’influence des media  et déplore bien souvent que par ignorance certains mots soient utilisés. La chose est un peu plus compliquée actuellement, car avec les réseaux sociaux toute sorte de gens écrivent. Je suis consciente et Chambaron m’a bien aidée dans ce sens, qu’il y a une évolution de la langue. L’autre jour, j’ai écouté un jeune homme parler des mots empruntés à d’autres langues. Il y en a un paquet ! Et si nous parlons aujourd’hui d’un certain nombre d’objets, d’états d’âme,  de produits, de relations qui n’existaient pas avant c’est parce que notre langue, tout comme les autres, s’est adaptée et enrichie. Ce que je regrette, et il me semble que vous aussi, ce sont les abus, la méconnaissance des choses (règles, définitions, etc.) existantes et que d’autres se sont donné la peine de construire.

Sur cette plateforme, il y a un certain nombre de personnes qui pensent comme vous et cela est rassurant ! Cela m’a fait plaisir de partager avec vous mon point de vue (je ne dirai jamais « de vous partager mon point de vue »).