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Il y avait avant : « Adieu, ma belle amie ; voilà le mariage de ma fille un peu retardé. Le Comte de Gercourt, que nous attendions d’un jour à l’autre, me mande que son Régiment passe en Corse ; et comme il y a encore des mouvements de guerre, il lui sera impossible de s’absenter avant l’hiver. »
Pour cet usage de l’imparfait du subjonctif, je suis prêt à l’admettre tant on en découvre chaque jour un emploi différent dans les textes, mais pour ce qui est du « étais » sachant que cette Dame déplore que la noce puisse se faire sans sa destinataire, pourquoi « n’est-elle » ou « ne serait-elle pas » davantage que « était fâchée » ?
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