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L’esperluette ne se rencontre plus que dans l’usage commercial, ce serait une faute de l’utiliser dans un texte à la place de « et » (on le faisait cependant au XVIIe siècle).
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@ Joelle
Le passé simple ne connote pas nécessairement une action brève (on peut, par exemple, écrire : « Il marcha longtemps » ; « Pendant des siècles, les Anglais régnèrent sur les mers »).
Les grammaires classiques recommandaient l’usage du passé composé pour le passé récent et celui du passé simple pour le passé (plus) lointain. Aujourd’hui le passé composé tend à supplanter le passé simple non seulement dans la langue parlée mais aussi dans la langue littéraire.- 4531 vues
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@PhL
Le Robert l’admet sous la pression de l’usage contemporain (auquel il n’est pas interdit de résister) ; le CNRTL mentionne un emploi adjectival au début du XIXe siècle, manifestement hérité de la Révolution, laquelle mit le mot « citoyen » à toutes les sauces (l’exemple emprunté à Musset est d’ailleurs clairement ironique). (Intéressant du reste de noter ce parallélisme entre un usage datant du premier XIXe siècle (que le CNRTL jugeait à bon droit vieilli lors de sa parution) et l’usage contemporain.)- 75515 vues
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Conduits (application de la règle élémentaire rappelée par Joelle), mais que dire de cette « participation citoyenne » qui appartient à l’affreux néo-français des médias et des politiciens (« citoyen » est un nom, l’adjectif correspondant est normalement « civique ») ?
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D’accord avec la réponse de Joelle.
Si la question s’adresse à un client indéterminé (questionnaire type par exemple), il faut bien sûr garder : « La livraison de votre commande vous a-t-elle satisfait ? »
(J’ajouterais qu’il serait préférable d’écrire : « La livraison de la commande vous a-t-elle satisfait ? » Le recours au possessif au lieu de l’article défini a tendance à se généraliser dans la langue commerciale (imitation de l’anglais ou bien affectation de proximité avec le client) mais n’est pas conforme au bon usage.)- 12287 vues
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La distinction est claire mais l’exemple bien mal choisi puisqu’il renvoie à un autre sens d’ « alcoolisé » (« émêché », « un peu ivre ») que celui de la définition. Le « discours alcoolisé » ne signifie bien sûr pas qu’il s’agit d’un discours auquel on aurait ajouté de l’alcool mais que celui qui le prononce a l’esprit embrumé par la boisson.
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Le conditionnel d’atténuation s’impose ici.
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