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Me voilà rassurée. Merci.
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Bien contente que vous soyez d’accord Toshiro, et c’est bien le plus important. Mais pourquoi m’avez-vous enlevé un point ? A moins que quelque chose m’échappe car je suis toute nouvelle ici… hi hi!
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J’opterais pour des compléments circonstanciels de moyen. Et ceci parce qu’on a une décomposition d’un thème principal -même si non présent dans cet extrait- : l’homme en plusieurs « sous-thèmes ».
De l’homme, l’auteur donne les différentes compétences qui lui ont permis de façonner son environnement et donc autant de moyens.
On pourrait à chaque fois substituer « avec » à « par ».Ceci dit, dans ce texte, on peut hésiter, ce me semble, et y voir en effet des compléments d’agent avec inversion.
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Une petite remarque qui pourra peut-être vous aider à repérer principales et subordonnées.
La proposition subordonnée apporte une information sur un nom ou un verbe de la principale.
-sur un nom, comme dans votre exemple et c’est une subordonnée relative :
La maison qui a des volets verts appartient au maire.
-sur un verbe, et c’est une subordonnée conjonctive :
Quand je suis allé faire mes courses, il pleuvait des cordes.- 1945 vues
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Merci Poppy pour votre gentille protestation. Mais bon, le baptême du feu…. c’est normal!
Je voudrais comprendre, Prince.
Vous voulez dire que ce que je soutiens ci-dessous est faux ?
1.Hugo était perplexe : Arthur lui avait dit ressembler à un jeune-homme des bords du lac. > aucune ambiguïté : c’est Arthur qui ressemble à ce jeune-homme.
l’infinitif a pour agent le sujet, toujours. dans ce type de construction.
Si j’écris : elle lui a dit arriver dans deux heures : pour moi, l’agent de « arriver » est le sujet de « dire », ce ne peut être « lui ».
C’est bien ce que je prétends ici que vous jugez faux ?
Ou alors est-ce dû au sens des verbes mis à l’infinitif (ici « ressembler », « arriver »)?
Merci de m’expliquer.
Par pitié, pas de vote négatif pour ce message! Je n’affirme rien!- 2731 vues
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Pourtant, je n’en éprouvais pas toute la joie que j’aurais souhaité(e). »
J’aurais souhaité quoi ? La joie. => souhaitée ?
ou
J’aurais souhaité éprouver quoi ? La joie. => souhaité ?
Indubitablement il faut faire l’accord : Pourtant, je n’en éprouvais pas toute la joie que j’aurais souhaitée.
Pourquoi ?
Cette phrase est une phrase complexe formée à partir des deux éléments suivants :
1.Je n’en éprouvais pas toute la joie
2.J’aurais souhaité cette joie.
Dans la phrase que vous proposez on subordonne la 2 à la 1; on choisit un pronom capable de faire le lien et de reprendre le nom qu’on ne veut pas répéter, ici le nom « joie ». Il nous faut donc un pronom relatif.
Comme en 2 « joie » est COD, c’est donc le pronom relatif « que », toujours COD, qu’on utilisera.
Et comme nous obtenons : je n’en éprouvais pas toute la joie que j’aurais souhaitée, le pronom relatif COD qui prend le genre et le nombre du nom qu’il remplace, est placé avant le participe passé > on suit donc la règle d’accord.En revanche :
Je n’en éprouvais pas une grande joie, comme je l’aurais souhaité.
Cette phrase est construite sur :
1. je n’en éprouvais pas une grande joie
2. comme je l’aurais souhaité
Ici on a bien une subordination, mais cette fois-ci pas de pronom relatif mais seulement une conjonction « comme », pour lier les deux propositions. « Le » (ici l’) est utilisé pour reprendre tout le sens de la proposition 1 : éprouver une grande joie.
Ce « le » est neutre puisqu’il reprend une idée : il n’y a donc pas lieu de penser à quelque accord que ce soit.- 23696 vues
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Le lait est stérilisé sur Amazon.
La terre est plate sur Google Chrome.Je trouve ces formulations maladroites. On comprend d’abord que Amazon est le lieu où on stérilise le lait et Google Chrome le seul lieu où la Terre soit plate. En d’autres termes, Amazon et Google Chromes apparaissent comme des compléments de lieu des verbes « stériliser » et « être », ce que le locuteur ne veut pas signifier.
(Évidemment, on corrige tout de suite.)
Il vaudrait donc mieux changer pour quelque chose de plus clair : le lait qu’on trouve sur Amazon est stérilisé – Google Chrome présente la Terre comme plate.- 1448 vues
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Il lui avait dit ressembler à un jeune homme des bords du lac.
Pour plus de clarté, employons comme sujet un nom au lieu d’un pronom et donnons du contexte :
1.Hugo était perplexe : Arthur lui avait dit ressembler à un jeune-homme des bords du lac. > aucune ambiguïté : c’est Arthur qui ressemble à ce jeune-homme.
2.Hugo était perplexe : Arthur lui avait dit qu’il ressemblait à un jeune-homme des bords du lac. > ici, il y a ambiguïté : le « il » peut reprendre soit Hugo, soit Arthur. Il faudrait plus de contexte pour décider.
En phrase 1 : l’infinitif a pour agent le sujet, toujours. dans ce type de construction.Mais attention, avec « se voir/s’entendre »+infinitif », c’est différent :
Elle s’est vu offrir un bouquet de fleur = elle a vu qu’on lui offrait un bouquet : ici, l’infinitif a un agent autre que le sujet « elle ».
Mais ceci est un cas particulier.- 2731 vues
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1.Il ne viendra pas du fait que tu n’es pas venu.
2. Il ne viendra pas du fait que tu ne sois pas venu.
Ces deux formulations disent la même chose mais avec une nuance.
La phrase 1 constate un fait et l’attention est portée sur ce fait : « tu n’es pas venu »
La phrase 2, parce qu’il y a emploi du subjonctif, déplace l’attention sur la possibilité d’un autre fait » tu aurais pu venir ».- 10219 vues
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Remarque : pour le verbe « perdre » ici, le passé simple est plus attendu que l’imparfait et il peut en effet, être remplacé par le passé-composé qui est d’usage à l’oral notamment.
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