Le profil de Tara
Grand maître
49542
points

Questions
15

Réponses
6613

  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Général

    Il serait plus clair de distinguer :
    Espérons qu’on n’en arrive pas là,  où ceux qui espèrent sont différents de ceux qui risquent » d’en arriver là »
    et
    Espérons que nous n’en arrivions pas là,  où ceux qui espèrent et ceux qui risquent « d’en arriver là » sont les mêmes.
    Cependant, on entend très souvent ce mélange des personnes au sein d’une même phrase, d’autant plus avec un premier verbe à l’impératif qui n’existe pas à la 3ème personne et que l’oral privilégie souvent le « on » aux dépens du « nous ».

    • 5878 vues
    • 5 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Il suffit de se rappeler, ou de se remémorer  ceci :
    « Se rappeler » est formé sur « appeler » et les deux verbes ont la même construction  : on appelle quelque chose – on se rappelle quelque chose
    « Se remémorer » signifie « se remettre en mémoire » : on se remet quelque chose en mémoire – on se remet quelque chose en mémoire – on se remémore quelque chose : on ne change pas la construction

    • 2639 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    La préposition « en » introduit un nom jamais un adjectif, si bien que « continu » est à prendre dans le sens de « continuum ».  Une formation en continu.
    C’est pourquoi on écrira aussi : cette maison est peinte en vert (et non « en verte »), « vert » étant un nom et non un adjectif de couleur.

    • 47699 vues
    • 2 réponses
    • 1 votes
  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Je dirais plutôt : rien de surprenant à ce que + proposition : (il n’y a) rien de surprenant à ce qu’on apprenne très vite sa trahison.
    Et je réserverais plutôt : « rien de surprenant à »  +  nom :  (il n’y a) rien de surprenant à cette trahison..
    Surtout ici où deux « a » se rencontrent : rien de surprenant à apprendre sa trahison..
    et surtout  « rien de surprenant »  dans ce cas concerne « apprendre » et non  la nouvelle elle-même; et je ne pense pas que c’est ce que vous voulez dire.

    • 2457 vues
    • 6 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Jamais le « qui » n’élide sa voyelle finale, contrairement au « que »
    Que pronom relatif : C’est elle qu’il/qu’elle est venu voir.
    Que conjonction : Je pense qu’il/qu’elle viendra te voir.
    Que adverbe : il n’y a que lui/qu’elle qui peut le savoir.

    On voit peut-être mieux encore  que l’élision ne peut avoir lieu avec « qui » si on le fait suivre d’un autre pronom : Je veux lui faire savoir à qui elle/il s’adresse

    Cette réponse a été acceptée par Julien1982. le 25 septembre 2019 Vous avez gagné 15 points.

    • 6009 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Général

    Espérons que l’on n‘en arrive pas là !
    Et, le  » l’  » étant facultatif, il vaut mieux l’enlever ici : Espérons qu’on n‘ en arrive pas là !
    Il faut bien respecter la double négation.

    • 5878 vues
    • 5 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 septembre 2019 dans Accords

    Oui pour les deux questions :
    -possibles : attribut du sujet « témoignages »
    – rendus : accord du participe passé conjugué avec être avec le sujet.

    • 2394 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 septembre 2019 dans Question de langue

    Je suis plus heureux de te voir que je n’aie besoin de tes conseils
    Il faut un subjonctif pour la deuxième proposition  car l’éventualité est rejetée. Le « ne » est explétif (il n’a pas de sens)
    Ce sont deux propositions qui sont comparées.
    ou alors, si vous préférez comparer deux noms :  :
    Je suis plus heureux de ta venue que de tes conseils

    • 1526 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 septembre 2019 dans Général

    Oui, c’est correct.

    • 2400 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 septembre 2019 dans Question de langue

    Tout d’abord il faut employer les termes exacts de façon à ne pas tout embrouiller.
    Un verbe peut être à la voix passive. Une phrase sera de forme passive.
    Toutes les phrases que vous citez sont des phrases passives dites non achevées (on les appelle ainsi parce qu’elles n’expriment pas l’agent).
    Une phrase passive est une phrase transformée de structure sujet+verbe+COD

    1.Voici une phrase active :
    Les enfants           cueillent           les cerises.
    Sujet                          verbe                 complément d’
    Agent                       voix active       objet

    2.On la transforme en phrase passive :
    Les cerises            sont cueillies        par                       les enfants.
    Sujet                         verbe                        préposition     complément d’
    Objet                        voix passive                                         agent

    Comme vous le constatez,
    En 1 le sujet est l’agent (celui qui fait l’action), le complément est l’objet (celui qui subit l’action, dit complément d’objet direct) -direct parce que construit sans préposition).
    En 2 le sujet est l’objet et le complément est l’agent (dit complément d’agent), introduit par une préposition (souvent « par » ou « de ») .
    On peut donc passer de 1 à 2 ou de 2 à 1

    Si en 2, vous écrivez : « Les cerises sont cueillies ». Vous évitez d’exprimer l’agent et on appelle la phrase « phrase passive non achevée ».
    Pour en faire une phrase active, on  emploie effectivement souvent le pronom « on » pour l’agent inconnu devenu sujet, comme vous le faites.
    2. Phrase passive non achevée
    La table      est mise                             .
    Sujet           verbe                                  absence de complément
    Objet          voix passive                    absence d’agent
    1. Phrase active
    On                                  met                       la table.
    Sujet                             verbe                   complément d’
    Agent (indéfini)      voix active        objet

    Bien sûr, il faut toujours veiller à respecter le temps du verbe lorsqu’on passe d’une forme à l’autre. Ce doit être toujours le même mais l’un à la forme active et l’autre à la forme passive.
    Exemple : ils cueillent les fruits =>> les fruits sont cueillis : c’est l’auxiliaire « être » qui, en voix passive porte le temps.

    • 2504 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes