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Bonjour Virginie,
« Ce changement provoquait de nouveau/à nouveau un espoir parmi la population »
Les deux locutions adverbiales sont synonymes et signifient « encore une fois ».
« A nouveau » peut avoir aussi le sens de « d’une manière différente« ,comme si c’était la première fois » :
Exemple : Je recommence tout à nouveau.- 2985 vues
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Il faut toujours réfléchir, Phil 😊
Lorsqu’on sait que l’infinitif désigne une action, qu’un participe passé désigne un état, l’hésitation tombe.
Il faut rester décontracté : on peut remplacer « décontracté » par un adjectif : il faut rester calme
On ne le peut pas dans le cas ci-dessous :
Il faut vous décontracter – je vais me décontracterPetite remarque : le plus souvent, après les verbes dits d’état (rester -devenir – semble – être ….) c’est au participe passé qu’est le verbe suivant.
Il devient/il semble/ il paraît/ …/ énervé .
Mais attention ! :
Il reste manger avec moi.
Et comme il faut toujours réfléchir … : ici « rester » n’indique pas un état mais une action : il s’oppose à partir.- 34807 vues
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Yessi bonsoir,
La vie quotidienne a tant changé que les souvenirs d’enfance en deviennent flous
En est un pronom de la 3ème personne.
Ici, il exprime la cause:
La vie quotidienne a tant changé que les souvenirs d’enfance deviennent flous à cause de ce changement- 2186 vues
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Voici les deux propositions.
1.Je ne connais personne : proposition principale
2.qui l’a perçue, la prime d’activité : proposition subordonnée relative
2 bis. l’ayant perçue, la prime d’activité : proposition subordonnée participialeDans la seconde, l’emploi du pronom, éclairci par le nom référent en apposition, est une forme d’insistance qu’on peut rencontrer à l’oral.
Si vous devez écrire la phrase, il faut éviter cette tournure :
Je ne connais personne ayant perçu la prime d’activité.
Ou, si « prime d’activité » est présent dans la phrase qui précède :
Je ne connais personne l’ayant perçue.- 16588 vues
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Oui mais alors pour désigner quoi d’autre que le service de La Poste ?
Pour ma part, je n’ai jamais rencontré ce mot pour autre chose.
C’est bien plus vraisemblablement une erreur.- 2048 vues
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Colissimo n’est pas un nom commun; c’est le nom donné à un service. Il faut donc une majuscule.
Certains noms propres sont devenus noms communs : c’est le cas de « poubelle » ou « silhouette » par exemples. « Frigidaire » était une marque de réfrigérateurs; il désigne maintenant toutes sortes de réfrigérateurs de marques différentes?
Dans ces cas, en devenant noms communs, ils perdent leur majuscule.
Ce n’est pas le cas de « Colissimo » qui ne désigne rien d’autre qu’un service spécifique de La Poste.- 2048 vues
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Il faut le subjonctif : je n’en reviens pas qu’elle t’ait laissé faire.
Parce que la principale exprime un point de vue sur le fait de la subordonnée.
On se retrouve avec une formule équivalente à :
Je suis étonné qu’elle t’ait laissé faire.
être + adjectif + que + subjonctif- 3594 vues
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Comparez le « me » COD et le « me » COI :
ça m’aurait étonnée que tu ne dises rien
Que tu ne dises rien aurait étonné « moi » et non « à moi ».Cette explication m’apporte quelques éclaircissements.
Cette explication apporte quelques éclaircissements « à moi »Un COD est un complément d’objet direct (direct = sans préposition)
Un COI est un complément d’objet indirect (introduit par une préposition).- 19273 vues
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L’emploi du subjonctif est toujours délicat à expliquer. Il y a beaucoup de nuances. Il faut s’appuyer sur le sens.
S’il faut souvent (pas toujours vous avez raison) un subjonctif après | il est + adjectif + que| c’est parce que la formule est l’expression d’un jugement, d’une prise de position, de considération, de ce qui suit.
Il est obligatoire que tu prennes position.
Il est normal que cela te fasse mal.
Mais :
Il est évident que tu as raison.
Il est certain que cela te fait mal .
Car ces deux adjectifs, par leur sens, sont là, précisément pour souligner la réalité du fait qui suit.- 2634 vues
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Votre question sur client/cliente :
Vous vous demandez peut-être s’il faut tenir compte du sexe de votre interlocuteur.
En ce cas :
En français, le masculin tient la place du neutre. Lorsqu’on dit ou on écrit : les données de ce client ont été supprimées, les femmes clientes savent parfaitement qu’elles sont concernées comme les hommes clients.
Cette croisade pour lutter contre le soi-disant sexisme de la langue est, à mon avis, tout à fait décalé (les mots ont un genre, pas un sexe), se heurte à des difficultés de cohérence et aboutit à des propos alourdis et à un écrit quasiment défiguré.
Une écriture inclusive, en réalité, exclut ceux qui ne sont d’aucun des deux genres. A moins qu’on n’invente une marque graphique et orale particulière pour eux aussi.
On assiste au retour des Précieuses ridicules!
Que les mentalités évoluent, la langue suivra sa propre évolution selon sa logique intrinsèque.- 1945 vues
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