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Oui parce que « vivant » est attribut de « ce », neutre.
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Avec « après que » c’est l’indicatif -le mode du réel- qu’il faut choisir. Le fait étant réalisé.
Après que les invités se furent tous installés
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Une question m’a trotté dans la tête
Le participe passé est accompagné de l’auxiliaire avoir.
On cherche le COD : il n’y en a pas.
Le participe passé reste tel quel.Il faut donc savoir repérer un COD (complément d’objet direct).
Votre phrase a pour équivalent : A moi, une question a trotté dans la tête.
Le verbe trotter est intransitif, c’est à dire qu’on ne peut pas avoir « trotter quelque chose », il n’accepte pas de COD donc.
Question est sujet
Tête est complément circonstanciel de lieu
M’ = me est complément d’objet indirect.- 3121 vues
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« J’ai été sur le point de lui clarifier que je n’étais ni dominicain ni ne m’appelais Raoul ni n’allais en Finlande en tant que contrebandier mais en tant que persécuté politique. »
Cette phrase comporte plusieurs erreurs.
Clarifier est impropre. Utilisez préciser ou spécifier.
Dominicain est un gentilé (terme désignant l’habitant d’un lieu, d’une région, d’une province , d’un pays , d’un continent) et doit prendre une majuscule.
L’emploi de « ni » est incorrect :
– comme le précise Christian, une conjonction de coordination doit relier des éléments de même nature et de même fonction et vous reliez un nom « Dominicain » à une proposition » je ne m’appelais pas R »
– vous introduisez par « ni », et donc vous niez le fait d’aller en Finlande – « ni n’allais en F- » alors que c’est seulement la raison du voyage qui devait l’êtreJ’ai été sur le point de lui spécifier/préciser que je n’étais pas Dominicain, ne m’appelais pas,Raoul et que si j’allais en Finlande, ce n’était pas en tant que contrebandier mais comme persécuté politique.- 5142 vues
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1. Heureusement que personne n’est tombé dans le trou, voici la formulation correcte.
Mais :
2. Espérons que personne ne soit tombé dans le trou.
Pourquoi ?
En 1 l’adverbe « heureusement » indique que c’est un fait, personne n’est tombé dans le trou. Lorsqu’on a affaire à un fait réel, l’indicatif est de mise.
En 2, le verbe « espérer » fait comprendre que le fait est incertain, qu’on l’évoque seulement Alors, on utilise le subjonctif.- 2545 vues
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Il serait plus clair de distinguer :
Espérons qu’on n’en arrive pas là, où ceux qui espèrent sont différents de ceux qui risquent » d’en arriver là »
et
Espérons que nous n’en arrivions pas là, où ceux qui espèrent et ceux qui risquent « d’en arriver là » sont les mêmes.
Cependant, on entend très souvent ce mélange des personnes au sein d’une même phrase, d’autant plus avec un premier verbe à l’impératif qui n’existe pas à la 3ème personne et que l’oral privilégie souvent le « on » aux dépens du « nous ».- 4851 vues
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Il suffit de se rappeler, ou de se remémorer ceci :
« Se rappeler » est formé sur « appeler » et les deux verbes ont la même construction : on appelle quelque chose – on se rappelle quelque chose
« Se remémorer » signifie « se remettre en mémoire » : on se remet quelque chose en mémoire – on se remet quelque chose en mémoire – on se remémore quelque chose : on ne change pas la construction- 2176 vues
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La préposition « en » introduit un nom jamais un adjectif, si bien que « continu » est à prendre dans le sens de « continuum ». Une formation en continu.
C’est pourquoi on écrira aussi : cette maison est peinte en vert (et non « en verte »), « vert » étant un nom et non un adjectif de couleur.- 44911 vues
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Je dirais plutôt : rien de surprenant à ce que + proposition : (il n’y a) rien de surprenant à ce qu’on apprenne très vite sa trahison.
Et je réserverais plutôt : « rien de surprenant à » + nom : (il n’y a) rien de surprenant à cette trahison..
Surtout ici où deux « a » se rencontrent : rien de surprenant à apprendre sa trahison..
et surtout « rien de surprenant » dans ce cas concerne « apprendre » et non la nouvelle elle-même; et je ne pense pas que c’est ce que vous voulez dire.- 2098 vues
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Jamais le « qui » n’élide sa voyelle finale, contrairement au « que »
Que pronom relatif : C’est elle qu’il/qu’elle est venu voir.
Que conjonction : Je pense qu’il/qu’elle viendra te voir.
Que adverbe : il n’y a que lui/qu’elle qui peut le savoir.On voit peut-être mieux encore que l’élision ne peut avoir lieu avec « qui » si on le fait suivre d’un autre pronom : Je veux lui faire savoir à qui elle/il s’adresse
Cette réponse a été acceptée par Julien1982. le 25 septembre 2019 Vous avez gagné 15 points.
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