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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 23 septembre 2019 dans Accords

    Oui parce que « vivant » est attribut de « ce », neutre.

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  • Grand maître Demandé le 23 septembre 2019 dans Conjugaison

    Avec « après que » c’est l’indicatif -le mode du réel- qu’il faut choisir. Le fait étant réalisé.

    Après que les invités se furent tous installés

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  • Grand maître Demandé le 23 septembre 2019 dans Conjugaison

    Une question m’a trotté dans la tête
    Le participe passé est accompagné de l’auxiliaire avoir.
    On cherche le COD : il n’y en a pas.
    Le participe passé reste tel quel.

    Il faut donc savoir repérer un COD (complément d’objet direct).
    Votre phrase a pour équivalent :  A moi, une question a trotté dans la tête.
    Le verbe trotter est intransitif, c’est à dire qu’on ne peut pas avoir « trotter quelque chose », il n’accepte pas de COD donc.
    Question est sujet
    Tête est complément circonstanciel de lieu
    M’ = me est complément d’objet indirect.

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  • Grand maître Demandé le 23 septembre 2019 dans Question de langue

    « J’ai été sur le point de lui clarifier que je n’étais ni dominicain ni ne m’appelais Raoul ni n’allais en Finlande en tant que contrebandier mais en tant que persécuté politique. »
    Cette phrase comporte plusieurs erreurs.
    Clarifier est impropre. Utilisez préciser ou spécifier.
    Dominicain est un gentilé (terme désignant l’habitant d’un lieu, d’une région, d’une province , d’un pays , d’un continent) et doit prendre une majuscule.
    L’emploi de « ni » est incorrect :
    – comme le précise Christian, une conjonction de coordination doit relier des éléments de même nature et de même fonction et vous reliez un nom « Dominicain » à une proposition  » je ne m’appelais pas R »
    – vous introduisez par « ni », et donc vous niez le fait d’aller en Finlande – « ni n’allais en F-  » alors que c’est seulement la raison du voyage qui devait l’être

     

     

    J’ai été sur le point de lui spécifier/préciser que je n’étais pas Dominicain, ne m’appelais pas,Raoul et que si j’allais en Finlande, ce n’était pas en tant que contrebandier mais comme persécuté politique.
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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Général

    1. Heureusement que personne n’est tombé dans le trou, voici la formulation correcte.
    Mais :
    2. Espérons que personne ne soit tombé dans le trou.
    Pourquoi ?
    En 1 l’adverbe « heureusement » indique que c’est un fait, personne n’est tombé dans le trou. Lorsqu’on a affaire à un fait réel, l’indicatif est de mise.
    En 2, le verbe « espérer » fait comprendre que le fait est incertain, qu’on l’évoque seulement  Alors, on utilise le subjonctif.

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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Général

    Il serait plus clair de distinguer :
    Espérons qu’on n’en arrive pas là,  où ceux qui espèrent sont différents de ceux qui risquent » d’en arriver là »
    et
    Espérons que nous n’en arrivions pas là,  où ceux qui espèrent et ceux qui risquent « d’en arriver là » sont les mêmes.
    Cependant, on entend très souvent ce mélange des personnes au sein d’une même phrase, d’autant plus avec un premier verbe à l’impératif qui n’existe pas à la 3ème personne et que l’oral privilégie souvent le « on » aux dépens du « nous ».

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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Il suffit de se rappeler, ou de se remémorer  ceci :
    « Se rappeler » est formé sur « appeler » et les deux verbes ont la même construction  : on appelle quelque chose – on se rappelle quelque chose
    « Se remémorer » signifie « se remettre en mémoire » : on se remet quelque chose en mémoire – on se remet quelque chose en mémoire – on se remémore quelque chose : on ne change pas la construction

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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    La préposition « en » introduit un nom jamais un adjectif, si bien que « continu » est à prendre dans le sens de « continuum ».  Une formation en continu.
    C’est pourquoi on écrira aussi : cette maison est peinte en vert (et non « en verte »), « vert » étant un nom et non un adjectif de couleur.

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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Je dirais plutôt : rien de surprenant à ce que + proposition : (il n’y a) rien de surprenant à ce qu’on apprenne très vite sa trahison.
    Et je réserverais plutôt : « rien de surprenant à »  +  nom :  (il n’y a) rien de surprenant à cette trahison..
    Surtout ici où deux « a » se rencontrent : rien de surprenant à apprendre sa trahison..
    et surtout  « rien de surprenant »  dans ce cas concerne « apprendre » et non  la nouvelle elle-même; et je ne pense pas que c’est ce que vous voulez dire.

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  • Grand maître Demandé le 22 septembre 2019 dans Question de langue

    Jamais le « qui » n’élide sa voyelle finale, contrairement au « que »
    Que pronom relatif : C’est elle qu’il/qu’elle est venu voir.
    Que conjonction : Je pense qu’il/qu’elle viendra te voir.
    Que adverbe : il n’y a que lui/qu’elle qui peut le savoir.

    On voit peut-être mieux encore  que l’élision ne peut avoir lieu avec « qui » si on le fait suivre d’un autre pronom : Je veux lui faire savoir à qui elle/il s’adresse

    Cette réponse a été acceptée par Julien1982. le 25 septembre 2019 Vous avez gagné 15 points.

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