« Les choses qu’il s’est dit » n’est pas correct.
==> Les choses qu’il/qu’elle s’est dites.
===> Il s’est dit certaines choses.
« Choses » est sujet réel dans a phrase. Il ne peut avoir une autre fonction en laissant sa place à un pronom relatif COD que :  lui, ne peut pas être sujet réel et qui est toujours COD.

Il s’est passé des événements qui ont bouleversé tout le monde.
==> Des événements se dont passés, qui ont bouleversé tout le monde.

Je pense que pour « actualité », comme il est dit dans le TLF concernant « information », l’emploi du pluriel est fréquent dans le domaine des médias. Mais il n’est pas exclusif ni réservé à ce seul domaine :

TLF Information II B
− Fréquent au pluriel
– Faits, événements nouveaux, en tant qu’ils sont connus, devenus publics. Synonymes « nouvelles »
– Fait, événement d’intérêt général traité et rendu public par la presse, la radio, la télévision

C’est tout bon Lulamay!
Bien sûr on part sur l’idée que « partenaires » est féminin.

« c’est grâce à un rapport privilégié à l’innovation et à la modernité, qui a constitué dès son origine le sens véritable de l’action de l’association, »

Je suppose qu’il s’agit d’une portion de phrase.
c’est grâce à un rapport privilégié à l’innovation et à la modernité, qui a constitué dès son origine le sens véritable de l’action de l’association, que….
C’est en effet le mot « rapport » qui est repris par le pronom relatif « qui » lui même sujet de « a constitué ».
Construction du participe passé avec avoir, on cherche le COD : « le sens » . Il est placé après le verbe, donc on ne fait pas l’accord.

Il vous faut donc apprendre à distinguer un sujet d’un complément d’objet direct.
Le sujet commande le verbe qui se met à la personne du sujet : les enfants lui ont offert des fleurs/ l’enfant lui a offert des fleurs/ nous lui avons offert des fleurs/etc.
Si vous voulez poser une question sur le verbe pour l’obtenir il faut employer « qui est-ce qui ? » Qui est-ce qui lui a offert des fleurs ? Réponse : les enfants lui ont offert des fleurs.
Le complément d’objet direct est ce sur quoi porte l’action du verbe qu’il complète. Il se met après lui directement, c’est à dire sans préposition.
Je donne, il je lave, je porte, je jette… ces verbes ont forcément un complément, on donne, lave, porte, jette… forcément quelque chose.

Remarque : il se peut que le complément d’objet direct ne soit pas exprimé parce que ce n’est pas nécessaire de le faire. Un intime vous appelle au téléphone. Vous lui répondez : rappelle dans 10 minutes, je mange. Vous ne lui dites pas forcément je mange mon omelette.

On laisse le participe passé invariable puisqu’il se rapporte à « en » qui est neutre.

Comme c’est le résultat qui est attendu (l’ordonnance rédigée) il faut un temps composé. Le subjonctif passé puisque la principale est au présent.
Lorsque la sortie du patient est saisie dans le logiciel avant que le médecin ait rédigé l’ordonnance

Vous écrivez :  « L’expression « pour le moins » est-elle exclusivement masculine ? »
Je me permets cette remarque :
Il vaudrait mieux écrire  :  l’expression « pour le moins » est-elle exclusivement de forme masculine ou plus simplement :  au masculin.
C’est ainsi que le mot est employé pour le genre grammatical .Sinon, il est plus ou moins synonyme de viril .
C’est la même chose pour le mot « féminin ».

Bien sûr puisqu’ils se rapportent à « modèles » (de réutilisation patrimoniale).
Et le verbe aussi doit s’accorder :
Les centres culturels de rencontre constituent selon moi l’un des modèles de réutilisation patrimoniale les plus aboutis et ambitieux qui  soient.
= un modèle parmi les modèles […] les plus aboutis et ambitieux qui soient

Ou alors :
Les centres culturels de rencontre constituent selon moi le modèle de réutilisation patrimoniale le plus abouti et ambitieux qui soit.

Quand je rendrai mon dernier souffle, peu importe ce que j’aurais fait, ce sera suffisant.

On change de personne pour voir ? :
Quand il rendra son dernier souffle, peu importe ce qu’il aurait fait, ce sera suffisant.

Et on voit que non, le conditionnel passé ne convient pas.
il faut donc le futur antérieur :
Quand je rendrai mon dernier souffle, peu importe ce que j’aurai fait, ce sera suffisant.
Explication :
Le temps composé indique l’antériorité. Le fait de référence est au futur de l’indicatif (rendrai  – ce ce sera). Le temps qui lui correspond est le futur antérieur de l’indicatif. . Le futur est philosophiquement et concrètement incertain mais on le considère comme appartenant au réel (c’est une nécessité).

Voici un cas où le conditionnel passé conviendrait. On évoque une éventualité  :
Si je rendais mon dernier souffle maintenant, peu importe ce que j’aurais fait, ce serait suffisant.
Si il rendait son dernier souffle maintenant, peu importe ce qu’il aurait fait, ce serait suffisant.