Après être ou avoir, le verbe qui suit est un participe passé. J’ai parlé –  elle est fermée  – il serait allé…

Après un autre verbe, on a un infinitif. Il existe un certain nombre de verbes qui introduisent un autre verbe :
Je peux parler – Je veux parler – Je vais parler – Je sais parler – je fais parler (quelqu’un)  – je dois parler – je viens de parler – je cesse de parler …
Certains ont besoin d’une préposition
Tous sont suivis d’un infinitif.

Comme » n’a rien à faire avec l’accord du participe passé.
dans la phrase, le verbe être est sous entendu : Il y avait, qui était contenue dans ces mots, [comme] une promesse de spirituel
Le participe passé se rapporte à promesse et s’accorde avec ce mot;

On a bien un subjonctif : Nous ferons attention/ veillerons à ce que vous partiez.
Nous ferons en sorte que vous partiez – nous nous arrangerons pour que vous partiez
L’expression du but en subordonnée implique l’emploi du subjonctif.

Il existe deux pronoms « il » :
– un « il » pronom personnel qui est masculin  : J’ai attaché le chien ; il voulait s’enfuir.
et qui correspond à « elle » féminin : j’ai attaché la chienne ;elle voulait s’enfuit.
Ce pronom remplace un nom (ici « il » remplace « chien » et « elle » remplace « chienne »

– un « il » pronom impersonnel qui n’est pas masculin mais neutre : il est interdit d’ouvrir cette porte
Ce pronom ne remplace rien. Il est « vide de sens ».

Il était une fois (expression) — Wikipédia

Je crois que cette page vous répondra mieux que je ne pourrais le faire.
Remarque : « il » est un pronom impersonnel souvent remplacé par « ce » dans un langage familier.
Il est huit heures —-> c’est huit heures
Il est interdit de faire cela  —> c’est interdit de faire cela
Mais cette expression est figée, elle est devenue une formule pour ouvrir un conte voire un récit merveilleux.

Ne vous excusez pas voyons!

« Telle » étant adjectif, il s’accorde avec le nom qu’il accompagne :
Telle qu’est dessinée à ce jour la reprise de ventilation.

On peut employer l’un ou l’autre.
Dont peut en effet marquer un rapport partitif et dans ce cas la virgule est essentielle
Il voyageait sur des terres hantées par les ours, dont le mythique ours grizzli (fait partie).
Peut s’analyser ainsi :
Il voyageait sur des terres hantées par les ours ;  le mythique ours grizzli fait partie de ces ours

Mais on peut aussi bien employer « parmi lesquels » avec virgule aussi entre le nom et le pronom.

1Si j’avais un peu d’argent |  j’achèterais bien une nouvelle voiture : Les deux propositions (que j’ai séparées par une barre verticale) composent une phrase complexe : j’ai souligné la principale dont le verbe est au conditionnel, mode de l’irréel – l’autre proposition est subordonnée à celle-ci. Elle exprime la condition.
Le conditionnel ne s’emploie jamais dans la subordonnée conditionnelle, on utilise l’imparfait dans sa valeur modale (pas temporelle).

2J’aurais un peu d’argent, j’achèterais une nouvelle voiture : Les deux propositions séparées par une virgule, sont seulement juxtaposées (posées l’une à côté de l’autre) chacune est indépendante. Chacune peut être au conditionnel.

Le sens des deux phrases est presque le même mais la syntaxe, différente apporte une nuance. On peut dire par exemple que le message 1 témoigne d’un processus rationnel, alors que le message 2 traduit davantage le rêve, l’élaboration d’une autre réalité, rêvée.

Non. Marche – mange – ouvre. Les verbes du 1er groupe : la deuxième personne du singulier est sans « s ».
Mais : bois – finis – prends…

La première est fautive parce que l’accord doit se faire entre le participe passé employé avec « avoir »  et le COD placé avant.
une petite loggia qu’on eût dite imaginée par un enfant.

« dire » peut très bien avoir un COD : « cette loggia est dite balcon »