Vous avez raison : si vous employez l’indicatif présent dans la subordonnée, le futur est de mise.
S’il s’en va maintenant, s’il l’abandonne ici sur le trottoir, je crois qu’il n’y arrivera pas. Il  n’aura pas la force.

Pour exprimer une incertitude plus grande,  on utilise l’imparfait en subordonnée (qui n’a pas une valeur de passé mais de condition) et le conditionnel dans la principale.
S’il s’en allait maintenant, s’il l’abandonnait ici sur le trottoir, je crois qu’il n’y arriverait pas. Il  n’aurait pas la force.

Changements n’est pas le COD de « il y a », c’est le sujet réel.
Il est un sujet apparent.

Si vous remplacez il y a par il existe, vous verrez que l’accord ne se fait pas :
Je cherche quels changements  il aurait existé.

Et donc : si changements il y a eu.

Il serait bien que vous donniez un exemple précis. Le cas PP + auxiliaire, est possible : il s’agit d’une inversion visant à un effet particulier :
Surprise a été cette femme quand on lui a annoncé qu’elle avait gagné.
Lavés, séchés, peignés, sont les chiens-chiens à leur mémère.
Les participes passés ne dérogent pas à la règle : ils s’accordent avec le sujet, puisqu’ils sont construits avec l’auxiliaire être ».

Oui car alors ce ne sont plus des adjectifs mais des noms et il ne s’agit pas d’une règle mais de sens. :
Des rideaux beige et marron = de deux couleurs : du beige et du marron
Une chemise aux motifs rose et bleu = des motifs de deux couleurs : du rose et du bleu

Je ne vous avAIS pas vue Joëlle. Alors, je m’arrête là.

Oui bien sûr. En général il y a plusieurs grammes.

Le contexte manque.
Mieux vaut dire : première option, deuxième option, etc.

Nous remontons dans le pick-up à l’aube, sans que l’un de nous n’ait/ait  passé une nuit sereine.
On peut écrire ‘un ou l’autre mais attention :
Sans que s’emploie sans la négation. Le « ne » employé ici est seulement euphonique. La phrase est affirmative.

Il n’est à l’abri de rien .
Rien = quoi que ce soit –> il n’est pas à l’abri de quoi que ce soit.
La phrase est négative.

On a répondu à votre question plus haut.

C’est nous qui avons renversé le verre
C’est vous qui avez renversé le verre.
Ce sont ces gens qui ont renversé le verre.
Etc.
« Qui » est le sujet du verbe. Il prend la personne du pronom ou du nom qu’il reprend.

La proposition conjonctive sujet est toujours au subjonctif :
Qu’il pleuve contrarie mes projets.
Que tu parviennes à te débrouiller seul est mon objectif.
Que je meure ne vous fait rien du tout.

Dans votre phrase la proposition conjonctive est sujet réel  d’une phrase interrogative :
Qu’est-ce que ça peut bien vous faire que je meure ?
« ça » est sujet apparent de « pouvoir », « que je meure » sujet réel

Et pour répondre à PhL : donc il faut le subjonctif dans tous les cas même si la personne qui parle est agonisante