La formation que j’ai suivie m’a beaucoup apporté.
COD
Cette phrase complexe est construite à partir des deux phrases suivantes :
la formation m’a beaucoup apporté
J’ai suivi cette formation.
COD

La formation dont j’ai bénéficié m’a beaucoup apporté.
COI
Cette phrase complexe est construite à partir des deux phrases suivantes :
La formation m’a beaucoup apporté
J’ai bénéficié de cette formation
                               Complément introduit par « de »

Le choix du pronom relatif qui remplace « formation » dépend de la fonction de ce nom : « que » est complément d’objet direct, « dont » est complément introduit par « de », ici COI.

Ne croyez-vous pas qu’il est beau ? le fait n°2 est considéré comme réel par l’énonciateur. La question porte sur l’opinion du destinataire.
Ne croyez-vous pas qu’il soit beau ? le fait n°2 est lui-même mis en question
Les deux  modes -indicatif et subjonctif- sont corrects. Ils marquent une nuance, importante dans la communication.

En réalité vous avez le choix entre  (les phrases 1 – 2 – 3 sont au passé, les phrases 1′ -2′ – 3′ sont au présent :
1 Elle titillait les symboles du bout du stylo et secouait ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en échapperait (indicatif – futur du passé) quelque chose.
1′Elle titille les symboles du bout du stylo et secoue ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en échappera  (indicatif – futur) quelque chose.

2Elle titillait les symboles du bout du stylo et secouait ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en échappât (subjonctif) quelque chose.
2’Elle titille les symboles du bout du stylo et secoue ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en échappe (subjonctif) quelque chose.

3Elle titillait les symboles du bout du stylo et secouait ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en serait échappé  (peut-être : éventualité – conditionnel passé) ) quelque chose.
3′Elle titille les symboles du bout du stylo et secoue ses cahiers dans l’espoir qu’il s’en échapperait (peut-être : éventualité – conditionnel présent) quelque chose.

Après « dans l’espoir que » on a donc :
– l’indicatif : le fait envisagé est considéré comme réel (degré d’incertitude faible).
– le subjonctif : l’accent porte sur la volition plus que sur le fait.
– le conditionnel : le fait envisagé est considéré comme une possibilité.
Autant de nuances donc. Mais il faut veiller à respecter la concordance des temps.

Remarque : pour compliquer les choses, dans une phrase au passé, le subjonctif imparfait laisse souvent la place au subjonctif présent, surtout à l’oral, ce qui est de plus en plus admis, le subjonctif imparfait tombant peu à peu en désuétude.

Non vous avez raison Gombro. IL s’agit là d’un style un peu relâché de qui utilise des chemins de traverse pour faire au plus vite.
Et d’ailleurs, c’est la phrase entière qui manque de précision.
On préfèrerait lire :
La vidéo soulève cette question : la liberté d’expression est-elle clairement définie ?
Ou : ne faudrait-il pas poser des limites claires à la liberté d’expression ?
ou bien pose-t-on des limites claires à la liberté d’expression ? mais dans ce cas, qui est ce « on » .

Bref.

Il ne faut pas.
Le participe passé du verbe « délivrer » est accompagné de l’auxiliaire « avoir » (ayant).
On cherche alors le COD : « la licence » est passé après (à droite) lui.
Le participe passé ne s’accorde pas. Fonctions de la personne ayant délivré la licence ?

S’il était placé avant lui, il y aurait accord : cette licence, quelle est la fonction de la personne l’ayant délivrée ?

Si le participe passé était construit avec l’auxiliaire « être » il y aurait accord, mais avec le sujet cette fois : la licence a été délivrée par quelle personne ?

On a de l’attachement pour quelqu’un ou quelque chose, comme on a de l’affection ou de l’amour pour quelqu’un ou quelque chose. L’attachement est un sentiment.

Mais on est attaché, on s’attache à quelque chose ou quelqu’un

« arrêté » est ici un nom. La demande d’arrêté = la demande de votre/d’un/de cet arrêté.
Un nom ne s’accorde pas avec un autre nom. Qu’il soit un participe passé ou un adjectif substantivé ou non.

– vous avez utilisé 3 formes verbales : eût – été – tombé
– « eût été » : est le verbe avoir au subjonctif passé
– Le verbe tomber se conjugue avec l’auxiliaire être.

Le plus important dans un shooting photo est qu’il vous corresponde : c’est ici le subjonctif qui convient parce que l’énoncé envisage le fait (le déterminant indéfini généralise).

Dans cette autre phrase  : Le plus important dans ce shooting photo est qu’il vous correspond  : l’indicatif ici énonce un fait (le déterminant démonstratif « ce » indique qu’il s’agit d’une réalité).

Octroyance, mot que je trouve très beau, a existé. On le trouve dans le dictionnaire du Moyen Français. TLF :