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Il convient de garder le genre de « tête » : cet homme est une vraie tête en l’air.
Rappel : on dit aussi : ce soldat est une sentinelle, cet homme est une victime
Il ne faut pas confondre genre et sexe. Les mots ont un genre, pas un sexe. C’est bien pourquoi je peux dire sans problème qu’une femme est un excellent (ou un mauvais) médecin.Cette réponse a été acceptée par missloo. le 21 novembre 2020 Vous avez gagné 15 points.
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– on utilise la préposition « en » lorsqu’on évoque une relation au monde, lorsqu’on parle de quelque chose d’abstrait :
Il a confiance en la providence, en la vie;– on utilise la préposition « dans » vis-à-vis d’une chose, d’un travail, d’un pays, de quelque chose de concret :
Il a dans l’avenir de la Russie une confiance inaltérable—>Il a confiance dans les entreprises de son pays.
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Les deux canyons sont accessibles par des routes… : les routes sont un moyen matériel d’accès.
Mais dans votre exemple, les tours guidés ne sont pas des moyens d’accès à proprement parler :
Les deux canyons sont accessibles uniquement grâce à des tours guidés.- 2647 vues
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Vous vous trompez effectivement sur ce qu’est un COD.
La réunion a duré longtemps.
Le sujet du verbe « durer » est ( … qui est-ce qui a duré ? ) « la réunion ». —> les réunions ont duré longtemps.
Aucun COD dans cette phrase.Un COD est un complément du verbe.
J’ai organisé une réunion. Le sujet est ici « je » – la réunion est l’objet sur quoi porte le verbe : c’est le COD : complément d’objet direct (pas de préposition entre lui et le verbe).
Cette réunion, c’est moi qui l‘ai organisée. Le COD est avant le verbe. l’ = la (pronom) = la réunion- 29669 vues
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Je pense que ce site vous éclairera mieux que je ne pourrais le faire, Marine.
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La phrase est parfaitement correcte.
Il n’aura atteint que la deuxième épreuve, que la forêt aura déjà eu raison de lui.Exemple du TLFi :
♦ [Après une principale négative] Il n’avait pas fait dix pas qu’il apercevait l’autocar, qui venait de s’arrêter. Il y monta. Ils n’étaient que trois voyageurs dans le car (Montherlant)Votre phrase signifie : à peine aura-t-il atteint la deuxième épreuve, que la forêt aura déjà eu raison de lui.
« à peine que » est une locution conjonctive de subordination exprimant le temps (comme « dès que » par exemple). Ses deux éléments sont respectivement dans la principale (à peine) et dans la subordonnée (que).
Dans votre phrase, parce que la principale est négative, on utilise seulement le « que ».Note : « ne … que » signifie seulement : il n’aura atteint que la deuxième épreuve = il aura atteint seulement la deuxième épreuve
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Donc si je comprends bien, tout dépend de l’ordre, si j’avais écrit « Les idées qui en découlent sont les suivantes », la phrase aurait été correcte ?
En effet, dans cette deuxième phrase, « idées » est sujet du verbe être alors que dans la première, « idées » est sujet réel, l’accord ne se fait pas avec lui mais avec le sujet apparent « ce ».Ce qui en découle est les idées suivantes.
Sujet apparent sujet réel
Les idées qui en découlent sont les suivantes
Sujet- 1360 vues
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Travailler à des recherches scientifiques —> Consacrer des efforts, du temps, à une activité
Travailler pour la recherche scientifique (le complément est un collectif)On réservera « sur » pour introduire un complément désignant un sujet précis
Il travaille sur les graphènes.Cette réponse a été acceptée par Mallku. le 14 novembre 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Je ne sais pas quel sens vous donnez au verbe « concéder » Minouche mais vous faites erreur.
« Concéder » signifie accorder, renoncer à quelque chose au bénéfice de quelqu’un.
Comme je ne comprends pas ce que vous voulez dire, je me bornerai à vous signaler que le verbe dont « langue » sera le sujet, doit se conjuguer.
Le verbe « narguer » demande un complément d’objet direct : on nargue quelqu’un.
Ceci vous conviendrait-il ?
Elle tirait la langue pour le narguer.- 1133 vues
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