47560
points
Questions
15
Réponses
6166
-
Puisque le point d’exclamation fait partie du nom il faut traiter « Rouge! » comme un autre nom. On ponctue normalement.
Le nom de certaines créations commerciales de luxe telles que les parfums et les vêtements haute couture se met parfois entre guillemets ou en italiques.
Vous ne précisez pas quel est ce produit mais il me semble que vous pouvez utiliser les guillemets pour clarifier l’écrit :
J’ai acheté « Rouge! », je le confirme – Voulez-vous m’offrir « Rouge! » ? – Je veux acheter « Rouge! ».
J’ai acheté Rouge!, je le confirme – Voulez-vous m’offrir Rouge! ? – Je veux acheter Rouge!.- 1719 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Voyez la différence de sens entre les deux temps.
J’ai changé de personne pour aider à la perception du changement :-Suréquipé, surarmé, entraîné à ne jamais échouer, il se demande si cette mission sera celle où il devrait (en principe) sacrifier son meilleur ami. Et s’il en serait (en ce cas) capable.
-Suréquipé, surarmé, entraîné à ne jamais échouer, il se demande si cette mission sera celle où il devra sacrifier son meilleur ami. Et s’il en sera capable.
- 981 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Voici, je crois, une réponse plus claire que celle de mon premier message :
« il est » et « c’est », dans ce cas semblent interchangeables.
Pourtant :
Il est légal... est une tournure impersonnelle.
C’est légal … n’est pas une tournure impersonnelle parce que « ce » est là pour la proposition infinitive
Différence qu’on retrouve dans le cas où on veut inverser la première proposition (« il est légal » ou « c’est légal »).
C’est légal de faire une telle chose —> faire une telle chose, c’est légal
Il est légal de faire une telle chose —> °faire une telle chose, il est légal (incorrect)- 5721 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
(je suis) ravi qu’il vous plaise.
- 3475 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
L’inversion du sujet ne se trouve pas seulement dans les interrogatives.
Ici elle se trouve dans une proposition exprimant une condition, et juxtaposée à la suivante. Entre les deux propositions on a une virgule.Mais un oiseau s’approche-t-il, quelque ennemi se présente-t-il pour saisir l’Araignée, à l’instant elle fait jouer son petit ressort, […]
Signifie : Mais si un oiseau s’approche, si quelque ennemi se présente pour saisir l’Araignée, à l’instant elle fait jouer son petit ressort, […]
Cette fois-ci, les propositions sont liées par la conjonction de subordination « si » à la principale (en gras). Ces propositions sont donc des subordonnées conjonctives complément circonstancielles de condition.
Dans la phrase que vous nous donnez, les propositions sont toutes les trois indépendantes et juxtaposées, les deux premières exprimant la condition grâce à l’inversion de leu sujet (exactement : reprise du sujet par un pronom personnel post-posé au verbe).
On a donc le choix de la syntaxe et c’est évidemment une richesse pour des effets et nuances.- 1347 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Aucune embûche ne pouvait faire obstacle ni à sa confiance sans limites ni à sa détermination.
Il me semble que la répétition de « ni » rend l’énoncé plus clair. Mais votre phrase est parfaitement correcte Rupied.Le TLF énonce que « ni » complète la négation ne et joue ainsi le rôle d’un «auxiliaire de négation».
« Ni » se trouve toujours dans des phrases négatives.
il n’a ni papier ni crayon
Ce ne sont point les fleurs ni les arbres de mon pays
Nous n’avons point de plus proches ni de meilleurs voisins
- 3970 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Est-il légal de faire souscrire un contrat à quelqu’un sans lui expliquer ses droits en matière de rétractation ?
Est-ce légal de faire souscrire un contrat à quelqu’un sans lui expliquer ses droits en matière de rétractation ?
« il » ‘et « ce » sont les sujets apparents. . La proposition qui suit est sujet réel.
« Il » est un pronom impersonnel. « ce » semble* remplir la même fonction ici.Faire souscrire un contrat à quelqu’un sans lui expliquer ses droits en matière de rétractation, est-ce légal ?
On a ici seulement une inversion : on remarque seulement que dans ce cas la préposition « de » disparaît devant l’infinitive; une virgule est nécessaire avant le verbe conjugué, ici être.
Autre remarque : on emploie « ce » et non pas « il » dans ce cas (où l’infinitive sujet réel est placée en premier) parce que « ce » est ici un pronom qui reprend toute la proposition.* en effet il existe des nuances que je ne développerai pas ici.
Cette réponse a été acceptée par STR. le 26 octobre 2020 Vous avez gagné 15 points.
- 5721 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
On a le choix.
On peut accorder avec le sujet puisque « avoir l’air » est une locution verbale qui signifie « sembler.
Mais, parce que la locution n’est pas figée, on peut accorder avec air.
Elle a un air impertinent – elle a un drôle d’air – elle a pris son air supérieur – etc… et donc : elle a l’air impertinent – elle a l’air tendu ..
Dans le cas qui nous intéresse, je préfère attribuer l’élégance au sujet.- 2237 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Le nom fonctionne comme tous les noms : il se met au pluriel : un planning – des plannings.
Depuis la dernière réforme de l’orthographe, on traite le mot étranger comme un mot français : la marque du pluriel est formée par l’adjonction du ‘S’ final, et ce, même si ces mots étrangers expriment déjà le pluriel dans leur langue d’origine : des graffitis des spaghettis.Mots étrangers : comment les accorder au pluriel dans un écrit en français ?
- 39899 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
C’est très clairement une injonction : ordre, commandement précis, non discutable, qui doit être obligatoirement exécuté et qui est souvent accompagné de menaces de sanctions. (TLF)
La mère dira peut-être : tu as oublié ce que je t’avais dit de faire et de ne pas faire ?
Ou peut-être : tu m’as désobéi.
Cette réponse a été acceptée par roysand. le 3 novembre 2020 Vous avez gagné 15 points.
- 1180 vues
- 3 réponses
- 0 votes