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Choisissez « le premier mois de l’année ». Sans être absolument incorrecte, la préposition « à » est largement inutile.
Elle se justifie ici : je suis né au printemps, au mois de mai aux premiers jours de l’hiver, à l’aube…- 1300 vues
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Le sens de la locution adverbiale à bon droit signifie de façon légitime, conforme au droit Être dans son bon droit est une expression plus ou moins figée. Être assuré de son bon droit en est justement une variante.
…séduit surtout par l’assurance sans faille qu’ils ont de leur bon droit —> séduit surtout par l’assurance sans faille qu’ils ont d’être dans la légalité/d’agir conformément à leur droit- 864 vues
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Il me semblait vous avoir répondu (lien ci-dessous). La démarche de reposer la même question sans même m’avoir répondu est assez désagréable.
Je précise quand même : que la réponse ne vous convienne pas n’a pas d’importance en soi.
concordance des temps – Question Orthographe Voltaire- 1077 vues
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L’impératif est utilisé pour donner une injonction : inciter quelqu’un à faire quelque chose.
Ce n’est pas le cas dans votre exemple.Mais c’est le cas ci-dessous :
Conviens que tu es bien contente de la voir.
Permets que je m’asseye.
Si on s’adresse à plusieurs personnes :
Convenez que vous êtes bien contentes de la voir.
Permettez que je m’asseye.
—> on incite les personnes à convenir, à permettre.- 870 vues
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Par exemple oui.
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Les deux temps sont possibles avec une nuance de sens.
En revanche, si vous ne pouvez pas vous déplacer, pourriez-vous nous faire parvenir un avis écrit ?
En revanche, si vous ne pouviez pas vous déplacer, pourriez-vous nous faire parvenir un avis écrit ?
L’imparfait ici n’a pas sa valeur de temps du passé mais de supposition. Son emploi exprime un degré de doute plus grand.- 2611 vues
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Il me semble que ce passage devrait répondre à votre question :
L’épanadiplose est une figure de répétition affectant la position syntaxique
[…]
Plus spécifiquement, l’épanadiplose est la reprise en fin de phrase d’un mot, voire d’une locution située au début de proposition. La figure concerne donc le niveau phrastique,
[…]
L’épanadiplose est signalée, pour Nicole Ricalens-Pourchot, par l’usage de « deux propositions juxtaposées, séparées par une virgule ou un point virgule »10 ; elle est, par conséquent, note Georges Molinié, une « figure microstructurale », car elle n’affecte que les limites de la phrase, et ne joue donc, à la fois, que sur l’élocution et la construction
[…]Combinaison avec d’autres figures
On confond parfois l’épanadiplose avec l’épanalepse, qui consiste à répéter un même mot ou un même groupe de mots à l’intérieur d’une même phrase : « Le temps s’en va, le temps s’en va, ma Dame » — Pierre de Ronsard, Sonnet à Marie
Cependant, ces deux figures, ainsi que celle de l’anadiplose sont souvent utilisées de manière conjuguée comme dans cet extrait de Rhinocéros (acte I) d’Eugène Ionesco :
« Oui, j’ai de la force, j’ai de la force pour plusieurs raisons. D’abord j’ai de la force parce que j’ai de la force, ensuite j’ai de la force parce que j’ai de la force morale. J’ai aussi de la force parce que je ne suis pas alcoolisé. »
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« Tant plus tant mieux »: je ne connais pas cette expression. Elle est peut-être régionale et d’ailleurs sans doute très utile.
Cependant, elle risque de ne pas être comprise. Il vaut mieux développer votre pensée.Je la retrouve dans l’Intern@ute qui en donne un sens apparemment différent de celui que vous lui donnez vous : Expression familière désignant une attitude passablement désinvolte. Les choses doivent être ainsi, et cela n’affecte pas plus que cela le locuteur qui ne s’en réjouit ni ne s’en afflige.
« Tant » est ici adverbe de comparaison. Il a laissé place à « autant » . On le retrouve dans les expressions figées « tant pis, tant mieux » qui ont le sens de : « c’est d’autant mieux », « c’est d’autant pis », « tant bien que mal ».- 1311 vues
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Non, au contraire, « je me permets » est une formule de politesse. Le sens serait plutôt : « j’ose vous contacter ». L’énonciateur exprime une attitude d’humilité. L’expression est absolument correcte. Reste à se demander si elle est utile. Il convient d’être conscient de son sens. A utiliser pour s’adresser à un supérieur hiérarchique par exemple, ou lorsque la démarche risque de heurter ou de surprendre.
Pour « je m’excuse » c’est autre chose : il y a en effet généralement contresens. « Excuser » signifie donner son pardon. « Je m’excuse » signifie donc : je me pardonne. Lorsqu’on veut obtenir le pardon de quelqu’un il faut dire « veuillez m’excuser », « je vous demande de m’excuser ».
Les formules de politesse, quoique figées, sont à examiner de près pour les utiliser à bon escient.
Je ne suis pas sûre, par exemple que le « respectueusement » à la fin de votre message, et qui nous est adressé, convienne. Il est trop cérémonieux et surtout, il établit une notion de hiérarchie entre vous et nous qui n’existe pas -à moins qu’il ne soit ici employé avec humour, ou encore, par dérision.
Vous avez raison d’être circonspect : une formule de politesse mal employée peut avoir l’effet inverse de celui qu’on espérait.- 63176 vues
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Pensez-vous possible, svp, qu’en échange d’une publication sur un blog ou sur un réseau social par exemple, il puisse avoir un cours de musique ?
Ou bien :
Pensez-vous possible, svp, qu’il puisse avoir un cours de musique en échange d’une publication sur un blog ou sur un réseau social par exemple ?Cette réponse a été acceptée par gmmbrr. le 10 novembre 2020 Vous avez gagné 15 points.
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