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Dans ce cas-là mieux vaut reprendre le nom, :
un agent pathogène est transmis aux graines et par les graines
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Coïnfection se lit co -ine- fection.
Coinfection se lit coin – fection.
C’est pour cela qu’on vous demande d’écrire : co-infection.- 2239 vues
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Cette ville est une des zones industrielles majeures de la Chine signifie : Cette ville est une zone parmi les zones industrielles majeures de la Chine.
L’adjectif « majeures » se rapporte donc à « zones industrielles » et non à « une ».- 1034 vues
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On a le choix.
« Une dizaine » est un collectif et le pluriel est possible : une dizaine de pompiers sont intervenus.
Mais on peut choisir le singulier et accorder avec « dizaine » : une dizaine de pompiers est intervenue.- 2929 vues
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Dans un texte, un pronom reprend un nom précis, qui a donc la marque du genre et du nombre.
Il est vrai qu’on entend souvent – et sans que cela nous choque ce type de construction : Cette maison ressemble à celles de Bretagne. qui est un raccourci évitant la répétition du nom.Il semblerait qu’on est davantage gêné par ce raccourci dans un contexte d’abstraction (dont l’énoncé demande plus de précision et de rigueur).
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« Prendre la parole » c’est se mettre à parler. On ne dit pas « prendre les paroles ». Le singulier a un autre sens que le pluriel.
Donc : » une prise de parole » et « des tours de parole ».Pour interaction le pluriel dépend du nombre d’interactions. Je vois qu’on parle d’un régime d’interaction fiscale
De toutes façons, le nombre d’un nom ne dépend pas du nom dont il est complément, c’est à dire que, qu’il y ait un régime ou des régimes, le nombre de « interaction » suivra sa logique propre.
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Non, « associé » ne fait pas office de conjonction de coordination; sinon il faudrait dire la même chose de plusieurs autres participes passés, par exemple :
– allongé : cette solution allongée d’eau et d’huile est utilisée…(et non sont utilisées)
– ajouté : cette poudre ajoutée à dix autres poudres est utilisée (et non sont utilisées)
– retiré : cet ingrédient, retiré de la préparation est mis à sécher
Etc.
Si vous utilisez un autre verbe (où la différence entre pluriel et singulier s’entend), il me semble que vous ne diriez pas :
Cette plante emblématique des alpes associée à 10 autres aromates sélectionnés et à l’eau pure, °sont utilisés pour
Mais : est utilisée pourEn réalité, on a, avec ces participes passés une ellipse de la relative :
Cette poudre, qui est ajoutée à dix autres poudres, est utilisée….
Cet ingrédient, qui est retiré de la préparation, est mis à sécher
et
Cette plante emblématique des alpes, qui est associée à 10 autres aromates sélectionnés et à l’eau pure, forme ce gin parfumé.Ce qui pose problème, c’est l’emploi du verbe former qui ne convient pas puisque ce n’est pas la plante emblématique des Alpes qui forme toute seule, le gin.
Je vous propose par exemple :
Cette plante emblématique des alpes associée à 10 autres aromates sélectionnés et à l’eau pure, est un constituant essentiel de ce gin parfumé.Cette réponse a été acceptée par Fllv. le 4 janvier 2021 Vous avez gagné 15 points.
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Là, il s’agit d’un problème de conjugaison et c’est la mémoire qui peut le résoudre.
Allez voir comment se conjugue le futur des verbes. Cherchez le sujet de votre verbe dire.Réponse : avec la question qui est-ce qui ? portée sur le verbe vous tombez sur « les premières utilisatrice », n’est-ce pas ? C’est à dire sur une troisième personne du pluriel.
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Non Varto. Relisez mon message.
Demandez-vous si j’ai eu une trottinette (>que j’ai eue) est un fait dans votre phrase .
On peut répondre que oui, c’est un fait. Le verbe doit être à l’indicatif, temps du réel.Ce qui est mis en doute dans cette phrase, par la proposition principale elles ne sont pas certaines n’est pas ce fait mais si la trottinette est ou non une contrefaçon.
Pour marquer la plus ou moins grande certitude on utilisera pour le verbe « être » l’indicatif ou le subjonctif :
1. Elles ne sont pas certaines que la trottinette que j’ai eue est une contrefaçon.
2. Elles ne sont pas certaines que la trottinette que j’ai eue soit une contrefaçon.
Les deux temps sont corrects. En 2, l’incertitude exprimée est plus grande.- 5593 vues
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Depuis la dernière réforme de l’orthographe, on traite le mot étranger comme un mot français : la marque du pluriel est l’adjonction du ‘S’ final.
Et d’ailleurs l’anglais a la même marque du pluriel : « dog » > dogs.
Écrivez donc des hot-dogs.- 6975 vues
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