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  • Grand maître Demandé le 4 décembre 2020 dans Accords

    Porter atteinte est une locution verbale qui signifie à peu près « attenter ». En tant que locution verbale le nom reste toujours au singulier.

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  • Grand maître Demandé le 4 décembre 2020 dans Général

    Azucena a écrit :
    des fleurs jaune orangé, des fruits jaune orangé, des couchers de soleil jaune orangé

    parce que jaune orangé ne serait plus, dans ces cas, un substantif suivi d’un adjecti, mais un adjectif de couleur composé qui vient qualifier « fleurs », « fruits », « couchers de soleil ».

    Non. jaune orangé n’est pas un adjectif (de couleur ou n’importe quoi autre peu importe) c’est un nom mis en apposition pour : des fleurs d’un jaune (nom) orangé (adjectif).
    La notion d’adjectif de couleur n’est là que pour embrouiller le monde !

    Relisez aussi ce que dit Prince à ce sujet

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  • Grand maître Demandé le 4 décembre 2020 dans Question de langue

    Pour vérifier l’emploi des temps, transposition au système présent :
    Puis il s’en va. Quel toupet ce gamin ! Il a oublié que je suis son aînée ! Je me dis  alors
    qu’un de ces jours, je lui apprendrai / aurai appris (?) à me respecter
    apprendrai (futur du système présent) —> apprendrais (futur du système passé)
    aurai appris (futur antérieur du système présent) —> aurais appris (futur antérieur du système passé

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Accords

    Oui Marine. C’est logique pure.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    « Jaune » et « orangé » peuvent être adjectifs ou substantifs :
    J’aime le jaune – j’aime l’orangé
    Des robes jaunes – des robes orangées
    Vous pouvez donc écrire :
    Le jaune orangé – les jaunes orangés : vous qualifiez ainsi le jaune de orangé (comme vous pourriez dire  : un gris bleuté – des gris bleutés)
    Ou bien
    Le jaune-orangé – les jaunes-orangés : on a ici un mot composé de deux substantifs unis par un trait d’union, et qui prennent tous les deux la marque du pluriel.

    —–
    Aussi, voyant que l’acheteur se montre hésitant, le vendeur lui promet monts et merveilles.
    Aussi, voyant que l’acheteur se montre hésitant, le vendeur lui promet-il monts et merveilles.
    Les deux sont possible avec « aussi » . Avec la reprise du sujet avec inversion du pronom on a une marque d’insistance.

    —–
    3 Vos deux phrases sont correctes.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Conjugaison

    Oui.
    Il se trouve parfois que le temps référent à partir duquel le retour en arrière s’effectue ne soit pas exprimé, qu’il soit donc sous- entendu ou situé loin en amont dans l’énoncé. Et alors, en effet, il apparaît seul dans une phrase et même dans un paragraphe entier sans que cela soit une incorrection.
    Avec sa valeur d’antériorité il a aussi une valeur d’achevé dans le passé.

    J‘avais rencontré ton frère , oui, un jour, lors de ma visite à ta mère. Il m‘avait fait une très bonne impression. On avait eu une discussion fort intéressante.

    Dans cette phrase, on ne précise pas par exemple ; alors que je rendais une visite à ta mère : l’imparfait n’apparaît pas.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    Autonyme existe bien :

    Le TLF :
    aut
    onyme, adjectif et substantif masculin. Énoncé, mot, nom, séquence, signe autonyme et, par ellipse, autonyme.
    Signe métalinguistique ou métasémiotique qui pour désigner un autre signe lui emprunte son signifiant (ex.: «Somme» et «pomme» dans «Somme rime avec pomme»)«  (Rey Sémiot).
    Les phrases-exemples des linguistes et des logiciens sont des autonymes (…). Bien que le cas soit plus complexe, les messages de guerre et mots de passe, sont considérés comme autonymes car ils doivent d’abord signifier un signe pour acquérir un autre contenu (J. ReyDebove
    Tout mot d’un énoncé peut être détaché −par le locuteur ou l’interlocuteur −de son environnement et considéré en situation autonyme (…). Vous me dites «tout de suite»: maintenant, ou dans une heure

    —-
    Le nom voiture est du genre féminin.
    Le lexique employé pour parler de ces mots s’appelle le métalangage.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    1 Ce qui est décevant, ce n’est pas d’échouer, c’est d’être la risée du public.
    2 Ce qui est décevant, ce n’est pas d’échouer, mais c’est d’être la risée du public.
    3 Ce qui est décevant, ce n’est pas d’échouer, mais d’être la risée du public.

    Trois formulation très correctes.
    Vous demandez quelle est la différence de sens.
    Elles signifient la même chose ; ce qui change, c’est l’intention :
    c’est : la reprise de « c’est » peut être voulue, avec ou sans le « mais » : c’est une façon d’insister sur la rectification de la première proposition sur la seconde (1).
    mais : l’expression de l’opposition existe sans le « mais ». Ajouter « mais » est encore une formule d’insistance. (2)

    La phrase 3 n’utilise pas de formule d’insistance. Elle est effectivement plus légère mais moins expressive aussi.
    Chacune de ces phrases a donc son utilité. L’important est de bien savoir quel effet on veut produire.

    Cette réponse a été acceptée par Gombro. le 3 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 2 décembre 2020 dans Question de langue

    C’est un complément du nom « rocher » (un type d’expansion du nom).
    J’attache mon navire à un rocher (qui est) situé à l’extrémité du port.

    Il y a économie du pronom relatif et de l’auxiliaire mais la fonction est la même que si on avait une proposition relative complète.

    à l’extrémité du port est, quant à lui, complément circonstanciel de lieu du verbe « situer » (est situé) au présent passif et dont l’auxiliaire est sous entendu.

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  • Grand maître Demandé le 2 décembre 2020 dans Conjugaison

    Quoi que ce soit = quelque chose = rien (qui a aussi ce sens) :
    Je ne toucherai plus à rien qui lui appartienne
    Je ne toucherai plus à quelque chose qui lui appartienne
    Je ne toucherai plus à quoi que ce soit qui lui appartienne
    Ou bien :
    Je ne toucherai plus à rien qui lui appartient
    Je ne toucherai plus à quelque chose qui lui appartient
    Je ne toucherai plus à quoi que ce soit qui lui appartient

    La différence c’est qu’avec le subjonctif on ouvre une possibilité indéfinie d’objets en sa possession alors qu’avec l’indicatif, on s’en tient à ce qu’il possède effectivement.

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