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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Accords

    J’écris des mots que j’ai imaginés, inventés.
    Dans cette phrase, « que » qui renvoie à  « mots » est COD de « imaginer » et « inventer ».

    Mais pas dans votre phrase en effet :
    Des mots que je n’aurais jamais imaginé entendre sortir de sa bouche.
    Ce qui n’a pas été imaginé, c’est qu’ils sortent de sa bouche.
    Le COD est « entendre sortir de sa bouche ». Il est neutre et de plus arrive après le verbe. Il n’y a donc pas d’accord.

    Cette réponse a été acceptée par Naya. le 8 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Général

    Je vous le confirme Nadine!
    Les pronoms personnels situés après un impératif se joignent à lui et entre eux par un trait d’union.

    Raccrochons-nous.

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Conjugaison

    Oui la forme des verbes et les temps sont corrects.

    Cette réponse a été acceptée par gmmbrr. le 8 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Question de langue

    Oui. Ce jour-là au système du passé et aujourd’hui au système du présent. Vous avez raison Chan.

    Système présent
                  Système passé

    Aujourd’hui                          ce jour-là
    Hier                                           la veille
    Demain                                   le lendemain
    La semaine dernière       la semaine d’avant
    Maintenant                          à cet instant/alors…
    Ici                                               à cet endroit-ci

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Accords

    La personne qui vous héberge a déclaré habiter à Paris
    Règle du participe passé :
    Avec l’auxiliaire « avoir » on cherche le COD, et s’il est placé avant le participe passé, on accorde. Sinon non.
    Le COD est ici « habiter Paris »  donc un neutre et de plus il est placé après. Il ne faut pas faire l’accord.

    Si vous avez du mal à repérer les COD, il faut commencer par là Camille.

    Avec être on accorde généralement le participe passé avec le sujet.

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2020 dans Accords

    La BDL dit ailleurs :
    Un modalisateur est un élément qui exprime l’opinion de la personne qui écrit ou qui parle sur le contenu de ce qu’elle énonce. Les modalisateurs sont souvent des adverbes, ou des locutions adverbiales, et des groupes prépositionnels. Ces mots ou groupes de mots traduisent l’opinion, l’attitude ou le sentiment du locuteur à l’égard de son propre discours. Ils portent donc sur l’ensemble de la phrase et non sur un de ses éléments. C’est pourquoi ils sont eux aussi (comme les incises et les éléments incidents) « hors phrase », d’où l’emploi habituel de la virgule double pour marquer leur insertion.

    – Pierre, étrangement, n’avait pas remarqué qu’elle portait une bague.
    – C’était ridicule, d’après moi, d’affirmer une telle énormité.
    – Depuis qu’elle m’a avoué qu’elle a déjà menti sous serment, franchement, je ne peux plus lui faire confiance.

    —-

    Il semble encore plus important d’encadrer de virgules « même » adverbe pour bien le différencier du même adjectif :
    – Les élèves mêmes ont été satisfaits. (adjectif : les élèves eux-mêmes)
    – Les élèves, même, ont été satisfaits. (adverbe : même les élèves)

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  • Grand maître Demandé le 7 décembre 2020 dans Conjugaison

    J’ai toujours du mal à croire qu’il est marié.
    J’ai toujours du mal à croire qu’il soit marié.
    Les deux modes sont possibles dans la subordonnée. L’indicatif et le subjonctif n’ont pas la même valeur modale .
    Avec le subjonctif, l’incrédulité est plus forte, en tout cas on insiste sur elle.
    Avec l’indicatif, le fait est reconnu comme bien réel, et l’incrédulité laisse la place à la perplexité.

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  • Grand maître Demandé le 7 décembre 2020 dans Général

    Quelle confusion avec cette appellation d’adjectifs de couleur pour des mots qui prennent deux natures.
    Un mot de couleur peut être soit un adjectifDes fleurs rouges
    Soit un nom : J’aime le rouge.
    Quand un mot de couleur est accompagné d’un adjectif, il est forcément un nom -même s’il n’a aucun déterminant- puisqu’on n’a jamais vu un adjectif qualifié par un autre adjectif.

    Il suffit alors de se rappeler qu’un nom a son propre nombre, qu’il ne s’accorde jamais avec un autre nom.

    D’ailleurs, beaucoup d’adjectifs sont employés comme noms.
    Faites entrer les petits enfants (petits est adjectif) / Les petits peuvent entrer (petits est nom).
    Une belle femme entra (adjectif)/ bonjour ma belle (nom)
    Un homme élégant —> un élégant
    Une personne puissante —> un puissant
    Une femme méchante —> un méchant
    etc.

    Parler d’adjectifs invariables est une absurdité :
    Des tissus émeraude est une ellipse pour des tissus de la couleur de l’émeraude. comme  un vêtement mode est une ellipse pour un vêtement à la mode et un meuble art-déco une ellipse pour un meuble de style art-déco.
    Des vestes jaune clair
    est une ellipse pour des vestes d‘un jaune clair (c’est évidemment le jaune qui est clair)

    ——
    Votre exemple me laisse perplexe Marine car je ne parviens pas à m’imaginer un blanc pourpre, le pourpre étant un rouge vif. Peut-être voulez-vous dire : blanc et pourpre ?
    Les bottes seront blanc et pourpre, c’est à dire teintes de blanc et de pourpre car elles ne peuvent être blanches et pourpres à la fois, ni blanc pourpre, un blanc pourpre est une couleur qui n’existe pas.

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  • Grand maître Demandé le 7 décembre 2020 dans Général

    Votre remarque concernant un verbe à l’infinitif et le pluriel, me fait penser à ceci.
    Vous avez pu rencontrer en effet, des infinitifs au pluriel :
    Les merveilleux couchers de soleil me ravissaient.
    Seulement, ici, l’infinitif, qui a perdu sa nature de verbe, est devenu nom. Il est d’ailleurs accompagné d’un déterminant comme le sont le plus souvent les noms : ce coucher de soleil – des couchers de soleil – un coucher de soleil – les couchers de soleil
    Ainsi, avec certains infinitifs on a fait des noms : un déjeuner – un lever – un savoir – un dire – le boire – le manger – le souper – le dîner – le rire … Ils se comportent comme les noms qu’ils sont devenus.

    Mais attention : dans votre exemple, Il faut aller les chercher,  « chercher » reste un verbe (°un chercher n’existe d’ailleurs pas) et « les » n’est pas déterminant mais pronom qui renvoie à un nom précédent.

    Mes parents sont partis. Il faut aller les chercher —> mes parents sont partis. Il faut aller chercher mes parents.
    Ma sœur est partie. Il faut aller la chercher : « la » est pronom et renvoie à « sœur ».
    Mon frère est parti. Il faut aller le chercher. « le » est pronom et renvoie à « frère ».

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  • Grand maître Demandé le 7 décembre 2020 dans Général

    Les deux points annoncent ici une explication (voici ce qu’est la variante 1,la variante 2, etc). Il sont suivis d’une minuscule.

    Lorsque les deux points annoncent du discours direct il est suivi d’une majuscule. Elle dit : « Faites-le entrer, je vous prie. »
    Même chose pour une citation.  J’aime cette phrase : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors, ils l’ont fait ».

    Dans ces deux derniers cas, on a deux phrases : une avant les deux points, l’autre après les deux points.
    Alors que dans votre exemple, on n’a, à chaque fois, qu’une phrase (sans verbe exprimé).
    • Variante 1 : tracé long par l’ouest

    Cette réponse a été acceptée par Yannick58. le 7 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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