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  • Grand maître Demandé le 27 décembre 2020 dans Général

    Est-ce que les Gréco-romains ont existé ?
    La définition que donne le Larousse de l’adjectif est : relatif à la civilisation née de la rencontre des cultures grecque et latine (de 146 avant J.-C. [conquête de la Grèce par les Romains] à la fin du Ve s. [chute de l’Empire romain d’Occident]).
    Toutefois, si l’adjectif est substantivé et désigne un gentilé, il lui faut en effet une majuscule.
    Mais je n’en mettrais une qu’au premier terme, considérant le second comme un adjectif.
    Attendons d’autre avis.

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  • Grand maître Demandé le 27 décembre 2020 dans Général

    « Faire grâce de quelque chose à quelqu’un » c’est lui épargner quelque chose.
    Ici : je vous épargne le compte rendu des tours et détours de mes réflexions.

    Cette réponse a été acceptée par Your. le 31 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 26 décembre 2020 dans Conjugaison

    C’est faux, je ne retomberai jamais, même si je refais du cheval .
    Comme le dit Joëlle, l’emploi des temps est correct.

    Elle le serait aussi, avec une nuance différente , avec l’emploi d’un imparfait hypothétique en subordonnée :
    C’est faux, je ne retomberai jamais, même si je refaisais du cheval .
    En ce cas, l’imparfait n’a pas de valeur temporelle. On dit qu’il a une valeur modale (ici l’expression d’une éventualité hypothétique  moins certaine qu’avec le présent )

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  • Grand maître Demandé le 26 décembre 2020 dans Accords

    Merci pour vos vœux. Recevez les miens Mathilde.

    Votre hésitation entre :
    Je joins ma parole à celle de nos frères
    Je joins ma parole à celles de nos frères
    se  ramène à devoir choisir entre :
    1 Je joins ma parole à la parole de nos frères
    2 Je joins ma parole aux paroles de nos frères

    Il me semble que vous choisirez la 1 :
    Je joins ma parole à la parole de nos frères —> Je joins ma parole à celle de nos frères 
    Elle est plus légère et suffit à la compréhension.
    De plus, et c’est d’ailleurs ce qui est déterminant : la parole au singulier a un sens spécifique qu’il perd s’il se met au pluriel :
    TLF :
    Parole au singulier : action, fait de parler. 
    Parole/paroles : élément du langage parlé; mot ou suite de mots servant à exprimer la pensée. 

    Cette réponse a été acceptée par Mathilde. le 26 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 26 décembre 2020 dans Général

    Vous dites Prince :
    En effet, le (vrai) savoir scientifique est le même partout, sinon il n’est pas scientifique.
    Je n’en suis pas très sûre.

    Tout d’abord, quelle serait la différence entre un vrai savoir et un faux savoir scientifique?
    La science remet constamment ses acquis en question. Bien des théories sont avant tout des hypothèses qui sont vulgarisées parfois comme des vérités.
    Un fait scientifique est une vérité scientifique temporaire jusqu’au moment où il peut être rationnellement validité ou rationnellement falsifié, et ce moment est continuellement repoussé.
    Autre question alors : est-ce que tout le monde a accès aux mêmes avancées scientifiques ?  Il  semble évident que non.On ne peut pas affirmer que le savoir scientifique est le  même partout… cela reviendrait à dire aussi que tout un chacun sait (par exemple) que : le ptérodactyle n’était pas un dinosaure, l’autre côté de la lune n’est pas le côté sombre, la lune n’est pas la seule à être responsable des marées,il y a huit planètes dans notre système solaire, l’espace n’est pas dénué de gravité, le sel élève le point d’ébullition de l’eau, la gravité n’est pas une force qui tire vers le bas, les tournesols ne suivent pas le soleil mais s’orientent presque toujours vers l’Est, la force de Coriolis n’affecte pas le drainage de l’eau.

    Et donc pour revenir au point de langue qui nous intéresse, pourquoi pas en effet le présent de vérité générale (que je préfère à l’imparfait, tout à fait acceptable cependant) :  C’est à ce moment-là que j’ai compris que le savoir scientifique n’est pas le même partout.

    « L’homme peut bien dompter la nature, mais il est assujetti à sa pensée. »Fustel de Coulanges.

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  • Grand maître Demandé le 26 décembre 2020 dans Général

    Vous dites Prince :
    En effet, le (vrai) savoir scientifique est le même partout, sinon il n’est pas scientifique.
    Je n’en suis pas très sûre.

    Tout d’abord, quelle serait la différence entre un vrai savoir et un faux savoir scientifique?
    La science remet constamment ses acquis en question. Bien des théories sont avant tout des hypothèses qui sont vulgarisées parfois comme des vérités.
    Un fait scientifique est une vérité scientifique temporaire jusqu’au moment où il peut être rationnellement validité ou rationnellement falsifié, et ce moment est continuellement repoussé.
    Autre question alors : est-ce que tout le monde a accès aux mêmes avancées scientifiques ?  Il  semble évident que non.On ne peut pas affirmer que le savoir scientifique est le  même partout… cela reviendrait à dire aussi que tout un chacun sait (par exemple) que : le ptérodactyle n’était pas un dinosaure, l’autre côté de la lune n’est pas le côté sombre, la lune n’est pas la seule à être responsable des marées,il y a huit planètes dans notre système solaire, l’espace n’est pas dénué de gravité, le sel élève le point d’ébullition de l’eau, la gravité n’est pas une force qui tire vers le bas, les tournesols ne suivent pas le soleil mais s’orientent presque toujours vers l’Est, la force de Coriolis n’affecte pas le drainage de l’eau.

    Et donc pour revenir au point de langue qui nous intéresse, pourquoi pas en effet le présent de vérité générale (que je préfère à l’imparfait, tout à fait acceptable cependant) :  C’est à ce moment-là que j’ai compris que le savoir scientifique n’est pas le même partout.

    « L’homme peut bien dompter la nature, mais il est assujetti à sa pensée. »Fustel de Coulanges.

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  • Grand maître Demandé le 23 décembre 2020 dans Général

    Eh bien oui, en effet. Et je vous félicite de vous poser cette question.
    Il est improbable qu’il vienne
    Il n’est pas improbable qu’il viendra
    Il est probable qu’il viendra
    Il n’est pas probable qu’il vienne.

    Cette réponse a été acceptée par Salut1. le 23 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 23 décembre 2020 dans Accords

    Mais ils avaient dû cohabiter trois semaines dans l’épreuve difficile que s’était avérée la traversée jusqu’aux îles.
    Il y a autre chose : on ne cohabite pas dans une épreuve.
    Mais ils avaient dû cohabiter trois semaines lors de l’épreuve difficile que s’était avérée  la traversée jusqu’aux îles.
    Cette phrase est maladroite, le relatif « que » reprend l’attribut « épreuve » et généralement, cette reprise de l’attribut a une valeur particulière, d’insistance : maladroit que je suis ! La fille rougit, troublée qu’elle était par les regards qui épiaient tous ses mouvements.
    Je vous propose plutôt :
    La traversée jusqu’aux îles s’était avérée une épreuve difficile pendant laquelle ils avaient dû cohabiter trois semaines.
    Ils avaient dû cohabiter trois semaines lors de la traversée jusqu’aux îles qui s’était avérée une épreuve difficile.

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  • Grand maître Demandé le 22 décembre 2020 dans Accords

    PP construit avec être —> accord avec le sujet pour les portions de phrases suivantes :
    Ils s’étaient retrouvés piégés  
    … que s’était avérée la traversée  : ajouter « être » est faire un pléonasme mais je pense que l’emploi de « avéré est ici erroné. il manque du contexte  je ne vois pas trop ce que vous voulez dire
    Elles s’étaient mises  à manquer
    Elle s’était vue contrainte de

    Pas d’accord pour celle-ci :
    La douleur qu’il avait fait endurer à … le factitif « faire »  (semi-auxiliaire) ne prend pas l’accord il n’a pas son sens plein et le COD appartient à « endurer » pas à « faire »

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  • Grand maître Demandé le 22 décembre 2020 dans Conjugaison

    Ce n’est pas si simple.
    Il faut savoir tout d’abord si on veut exprimer la condition ou si on annonce, avec si, un raisonnement déductif.
    1 La condition : Joëlle a  répondu et je n’ajouterai rien
    Le fait de la principal dépend d’une condition pour avoir lieu

    2 La relation cause-déduction
    Mais : parfois « si » annonce un raisonnement déductif, en expose la prémisse et est équivalent de « puisque »
    TLF :  d ans ce cas on a « si » + indicatif dans la subordonnée et le conditionnel dans la principale

    a) [Si p désigne une prémisse objective] Étant donné que.
    Mais si chaque coquille est dissymétrique, on pourrait bien s’attendre que, sur un millier d’exemplaires, le nombre de celles qui tournent leurs spires « dans le sens des aiguilles d’une montre » fût à peu près égal au nombre de celles qui tournent dans le sens opposé (Valéry)

    Autre exemple, courant :  si tu ne veux pas travailler avec moi, pourquoi viendrais-je te voir ?

    Et votre phrase  NeigeFlore :
    Si tu réserves une table pour six personnes, où s’assoirait-il où pourrait-il s’asseoir ?
    /où m’assoirais-je ?

    A vous de décider si vous voulez exprimer la condition(et vous suivez les indications de Joëlle 1) ou  une relation cause – déduction (et vous suivez le modèle que j’expose en 2)

    Cette réponse a été acceptée par NeigeFlore. le 22 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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