Quant à est une locution prépositionnelle qui permet de placer un élément en tête ou en fin de phrase, qui est repris ou annoncé par un pronom

:
La dislocation peut être renforcée par certaines expressions comme : « quant à… », « en ce qui concerne… », « pour (ce qui est de)… »
L’élément qui suit est donc mis en apposition au pronom ou au nom ainsi mis en relief.

Marie, on la fera renter la première – Quant à Marie, on la fera rentrer la première
Marie a la même fonction dans les deux cas : apposé au pronom « la »

Il savait qu’il n’y avait pas un quatre étoiles dans toute l’armée qui ne soit intimement convaincu que Fighting John Puller eût mérité amplement que ce dernier petit morceau de métal brillant vienne parachever sa carrière.
Il s’agit de remplacer les subordonnées par des indépendantes ou/et d’éviter la double négation qui trouble le sens. Par exemple  :

Il le savait :   F avait amplement mérité ce petit morceau de métal brillant venant couronner sa carrière et chaque quatre-étoiles, dans l’armée, en était intimement convaincu.

Ou encore :
La principale qualité que nous  attendons de nos agents commerciaux est la bienveillance. Ils en manquent, et c’est d’autant plus déplorable qu’ il s’agit de produits de soin.
l’idée est d’écrire plutôt deux phrases qu’une.  La phrase longue, plus difficile à construire, est plus sujette à des maladresses. 

Voter est :
Intransitif  quand le complément est l’objet  d’un choix on utilise une préposition : on votre pour ou contre quelqu’un. – la préposition « pour »est parfois omise, mais c’est familier.
Transitif quand le complément est quelque chose pour lequel se prononcer : on vote un projet de loi

TLF :
Familier [Par ellipse de pour] Voter conservateur; voter socialiste; votez Dupont! Ma mère m’assure aujourd’hui qu’il votait radical et qu’elle le savait fort bien (Sartre, Mots).On n’ira pas jusqu’à dire: je vote Untel, alors qu’il est aussi facile de dire: je vote pour Untel (Dupré).

Pour ce qui concerne le mode à choisir pour le verbe plaire, on peut utiliser le conditionnel : je n’ai pas trouvé de sac/sacs qui me plairait/plairaient, si on veut parquer  l’irréalité du fait, mais qui aurait pu advenir, ou le subjonctif : je n’ai pas trouvé de sac/sacs qui me plaise/plaisent, si on considère le fait de plaire comme un fait virtuel dont on parle.
Il y a nuance mais la différence existe bel et bien.

un mélange de cultures celte, grecque et turque 
un mélange des cultures celte, grecque et turque

La seule différence est que « de » est la marque du pluriel indéfini (préposition « de » + absence de déterminant)
« des »  est la marque du pluriel défini (préposition « de »+ les)
Dans les deux cas, puisqu’il ne s’agit que d’une culture celte + une culture grecque + une culture turque, on ,e met pas ces adjectifs au pluriel.

Le traitement des contentieux lié à l’activité des marchés .
Oui. Le sens l’indique.

Eh bien, cela n’est pas si simple que cela.  Cela dépend du contexte.
S’il n’y a que Pierre en cause, oui, la négation est totale.
Mais la phrase peut être l’expression d’une réponse à une question portée sur une alternative, par exemple  : Voici Pierre et Marc : avez-vous frappé Pierre ?
Je n’ai pas frappé Pierre signifiant alors : je n’ai pas frappé Pierre mais Marc, ou ce n’est pas Pierre que j’ai frappé, ces deux phrases étant, sans ambiguïté des négations partielles

Votre question manque de précision..
Je vais essayer de vous répondre.
Si votre récit est au système du présent, il comporte sans doute en effet des retours en arrière.
Le retour en arrière  utilise et le passé composé pour rendre compte des actions ou des faits, et l’imparfait quand il s’agit de notations descriptives ou de données d’informations.
Il faut un exemple :
Pierre ne maîtrise plus son impatience. Il se lève, tourne en rond dans la pièce. Et soudain il se souvient… hier, alors qu’ils discutaient tranquillement Marc a reçu un appel téléphonique qui n’a duré que quelques secondes. Il est revenu s’asseoir et a repris la conversation comme si de rie n’était.
Cependant il avait l’air préoccupé. Pierre décide d’aller le voir immédiatement. Il prend son blouson et sort.

En italiques le retour en arrière : notez l’emploi du PC et de l’Imp.

Il n’y a aucune préférence à avoir hors contexte. Les deux modes sont possibles et portent, chacun, une nuance
Pour aller vite : l’indicatif est le mode du réel, le subjonctif du virtuel ou du subjectif.

Ne trouves-tu pas que nous sommes complémentaires ?
L’énonciateur (celui qui énonce la phrase) a une opinion. La complémentarité dont il parle appartient à son système de croyances.
Ne trouves–u pas que nous soyons complémentaires ?
L’énonciateur pose un sujet à débattre, en quelque sorte. La complémentarité est posée en dehors de son système de croyances.

Certes, c’est une nuance, elle existe néanmoins.