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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 19 juin 2024 dans Accords

    Dans un énoncé quel qu’il soit, il faut choisir entre nous et on. D’autant plus dans une même phrase.
    (On est parfois employé à la place de « nous », souvent à l’oral.)

    Le pronom réfléchi qui correspond au pronom « nous » est « nous ».
    Le pronom réfléchi qui correspond au pronom « on » est « se ».

     je ne pense pas que nous puissions nous voir ou je ne pense pas qu’on puisse se voir

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  • Grand maître Demandé le 18 juin 2024 dans Conjugaison

    On préfère dire « s’asseyant » de nos jours.
    Assis est un participe passé : il indique un état
    -Je vois un homme assis à son bureau. Il est en position assise

    -« Je vois un homme assoyant à son bureau ». est incorrect : je vois un homme s’asseyant à son bureau : on a là le participe présent du verbe s’asseoir, qui est pronominal; il  indique une action
    La phrase est équivalente à Je vois un homme qui s’assied à don bureau
    >>

    -la semaine dernière j’ai vu un homme assis à son bureau.
    -la semaine dernière j’ai vu un homme s’asseyant à son bureau. (= qui s’asseyait à son bureau)

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  • Grand maître Demandé le 18 juin 2024 dans Accords

    Il y a surtout des êtres d’exception et mon cher compagnon François ainsi que son épouse en font partie.

    Ici, « ainsi » est conjonction de coordination, comme « et » : on a deux sujets.
    Pour vérification : on ne peut pas placer le groupe « ainsi que son épouse », en tête.
    Si on le déplace après le verbe, il tient lieu d’ajout. :
    Il y a surtout des êtres d’exception et mon cher compagnon François en fait partie, ainsi que son épouse.

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  • Grand maître Demandé le 18 juin 2024 dans Conjugaison

    Il n’y a pas de raison d’employer le subjonctif.
    La question porte sur une réalité. C’est l’indicatif qui est le mode du réel.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Question de langue

    – L’odeur du café et celle de la brioche lui faisaient bouger…
    On a deux sujets.
    Si vous voulez donner un seul sujet qui fonde les deux éléments « café » et « brioche », vous le pouvez, mais alors trouvez-le.
    Ce n’est pas là une question syntaxique mais sémantique.
    Vous avez la solution avec la reprise des deux termes avec un pronom, comme vous l’avez fait, mais sans parenthèses : L’odeur du café et celle de la brioche, cela lui faisait bouger…
    Ou bien vous enlevez le pronom « celle » : L’odeur du café et de la brioche  lui faisait bouger
    Ou encore vous développez :
    L’odeur, un mélange d’arôme du café et  de  brioche, lui faisait bouger

    Cette réponse a été acceptée par Cocojade. le 18 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Conjugaison

    On peut aussi ne pas toucher au présentatif : C’est lui qui conduirait. Il y a une différence dans la situation de communication avec la formulation : ce serait lui qui conduirait.
    C’est lui : désigne une personne présente dans la situation de communication.
    Ce serait lui indique que le locuteur sort de la situation de communication : « ce serait » appartient à une autre situation, imaginée.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Conjugaison

    Aussi, lorsqu’on l’autorisa à s’exprimer, neut-il aucune hésitation.
    Si vous mettez cette phrase au système présent = Aussi, lorsqu’on l’autorise à s’exprimer, n’a-t-il aucune hésitation.
    Apparaît le présent (mode indicatif)

    Pour qu’il s’exprimât encore eût-il fallu qu’on l’y autorise*.
    Si vous mettez cette phrase au système présent = Pour qu’il s’exprime encore faudrait-il  qu’on l’y autorise.
    Apparaît le conditionnel présent.
    La forme verbale eût-il fallu a donc valeur de conditionnel passé : c’est le conditionnel passé deuxième forme. La première forme étant : aurait-il fallu.
    *Pour qu’il s’exprimât encore aurait-il fallu qu’on l’y autorise*.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Conjugaison

    il doit rester concentré

    Rester est un verbe attributif et en tant que tel n’est pas soumis à la règle : quand deux verbes se suivent le second se met à l’infinitif.

    De même on a :
    Il semble fatigué/ amusé – il paraît vieilli/ réjoui – etc
    Le participe passé a ici valeur d’adjectif et il est attribut. On peut lui substituer un adjectif qualificatif (il tien la même place)
    Il paraît vieilli/vieux – il devient agité/pénible – etc

    Noter : il doit rester : la règle s’applique ici: devoir n’est pas attributif. c’est d’ailleurs un semi-auxiliaire qui vient modaliser le verbe à l’infinitif qu’il précède.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Accords

    Martin, en compagnie d’Angélique et de Jocelyne, s’apprête à descendre.
    Oui, le sujet est bien Martin.  » en compagnie d’Angélique et de Jocelyne  » est un complément d’accompagnement du verbe : il peut se déplacer  :
    Martin s’apprête à descendre en compagnie d’Angélique et de Jocelyne.
    En compagnie d’Angélique et de Jocelyne, Martin s’apprête à descendre

    Ce qui ne serait pas possible s’ils étaient des sujets coordonnés à « Martin ».
    Martin et Angélique et Jocelyne s’apprêtent à descendre.
    On ne pourrait déplacer « et Angélique et Jocelyne ». :
    et Angélique et Jocelyne, Martin s’apprêtent à descendre.

    Martin s’apprêtent à descendre, et Angélique et Jocelyne.

     

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Accords

    Oui en effet. Quand le COD est le pronom neutre « en »il n’y a pas accord.

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