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Dans un énoncé quel qu’il soit, il faut choisir entre nous et on. D’autant plus dans une même phrase.
(On est parfois employé à la place de « nous », souvent à l’oral.)Le pronom réfléchi qui correspond au pronom « nous » est « nous ».
Le pronom réfléchi qui correspond au pronom « on » est « se ».je ne pense pas que nous puissions nous voir ou je ne pense pas qu’on puisse se voir
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On préfère dire « s’asseyant » de nos jours.
Assis est un participe passé : il indique un état
-Je vois un homme assis à son bureau. Il est en position assise-« Je vois un homme assoyant à son bureau ». est incorrect : je vois un homme s’asseyant à son bureau : on a là le participe présent du verbe s’asseoir, qui est pronominal; il indique une action
La phrase est équivalente à Je vois un homme qui s’assied à don bureau
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-la semaine dernière j’ai vu un homme assis à son bureau.
-la semaine dernière j’ai vu un homme s’asseyant à son bureau. (= qui s’asseyait à son bureau)- 212 vues
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Il y a surtout des êtres d’exception et mon cher compagnon François ainsi que son épouse en font partie.
Ici, « ainsi » est conjonction de coordination, comme « et » : on a deux sujets.
Pour vérification : on ne peut pas placer le groupe « ainsi que son épouse », en tête.
Si on le déplace après le verbe, il tient lieu d’ajout. :
Il y a surtout des êtres d’exception et mon cher compagnon François en fait partie, ainsi que son épouse.- 181 vues
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Il n’y a pas de raison d’employer le subjonctif.
La question porte sur une réalité. C’est l’indicatif qui est le mode du réel.- 365 vues
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– L’odeur du café et celle de la brioche lui faisaient bouger…
On a deux sujets.
Si vous voulez donner un seul sujet qui fonde les deux éléments « café » et « brioche », vous le pouvez, mais alors trouvez-le.
Ce n’est pas là une question syntaxique mais sémantique.
Vous avez la solution avec la reprise des deux termes avec un pronom, comme vous l’avez fait, mais sans parenthèses : L’odeur du café et celle de la brioche, cela lui faisait bouger…
Ou bien vous enlevez le pronom « celle » : L’odeur du café et de la brioche lui faisait bouger
Ou encore vous développez :
L’odeur, un mélange d’arôme du café et de brioche, lui faisait bougerCette réponse a été acceptée par Cocojade. le 18 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.
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On peut aussi ne pas toucher au présentatif : C’est lui qui conduirait. Il y a une différence dans la situation de communication avec la formulation : ce serait lui qui conduirait.
C’est lui : désigne une personne présente dans la situation de communication.
Ce serait lui indique que le locuteur sort de la situation de communication : « ce serait » appartient à une autre situation, imaginée.- 321 vues
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Aussi, lorsqu’on l’autorisa à s’exprimer, n’eut-il aucune hésitation.
Si vous mettez cette phrase au système présent = Aussi, lorsqu’on l’autorise à s’exprimer, n’a-t-il aucune hésitation.
Apparaît le présent (mode indicatif)Pour qu’il s’exprimât encore eût-il fallu qu’on l’y autorise*.
Si vous mettez cette phrase au système présent = Pour qu’il s’exprime encore faudrait-il qu’on l’y autorise.
Apparaît le conditionnel présent.
La forme verbale eût-il fallu a donc valeur de conditionnel passé : c’est le conditionnel passé deuxième forme. La première forme étant : aurait-il fallu.
*Pour qu’il s’exprimât encore aurait-il fallu qu’on l’y autorise*.- 353 vues
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il doit rester concentré
Rester est un verbe attributif et en tant que tel n’est pas soumis à la règle : quand deux verbes se suivent le second se met à l’infinitif.
De même on a :
Il semble fatigué/ amusé – il paraît vieilli/ réjoui – etc
Le participe passé a ici valeur d’adjectif et il est attribut. On peut lui substituer un adjectif qualificatif (il tien la même place)
Il paraît vieilli/vieux – il devient agité/pénible – etcNoter : il doit rester : la règle s’applique ici: devoir n’est pas attributif. c’est d’ailleurs un semi-auxiliaire qui vient modaliser le verbe à l’infinitif qu’il précède.
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Martin, en compagnie d’Angélique et de Jocelyne, s’apprête à descendre.
Oui, le sujet est bien Martin. » en compagnie d’Angélique et de Jocelyne » est un complément d’accompagnement du verbe : il peut se déplacer :
Martin s’apprête à descendre en compagnie d’Angélique et de Jocelyne.
En compagnie d’Angélique et de Jocelyne, Martin s’apprête à descendreCe qui ne serait pas possible s’ils étaient des sujets coordonnés à « Martin ».
Martin et Angélique et Jocelyne s’apprêtent à descendre.
On ne pourrait déplacer « et Angélique et Jocelyne ». :
et Angélique et Jocelyne, Martin s’apprêtent à descendre.
Martin s’apprêtent à descendre, et Angélique et Jocelyne.
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Oui en effet. Quand le COD est le pronom neutre « en »il n’y a pas accord.
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