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Les membres de cette équipe travaillent ensemble depuis dix ans.
Cette formulation me semble résoudre la question.- 188 vues
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Quels sujets seraient un trait d’union qui ferait que notre dialogue ne soit pas finalement uniquement deux monologues qui se croisent ?
Une formulation maladroite.
Je vous propose :Quels sujets pourraient nous permettre d’avoir un véritable dialogue plutôt que deux monologues parallèles ?- 267 vues
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Ce que dit la BDL :
Il est recommandé d’écrire le pluriel et le féminin des mots empruntés à d’autres langues selon les règles du français, soit en leur ajoutant un s au pluriel et en respectant la règle générale de formation des féminins.
L’Office québécois de la langue française recommande de former le pluriel des mots empruntés à d’autres langues, qu’ils soient composés ou non, en leur ajoutant un s final comme on le fait normalement en français. Cette règle est aussi conforme aux rectifications de l’orthographe de 1990.
- un fox-trot, des fox-trots (ou sans trait d’union, selon les rectifications de l’orthographe : un foxtrot, des foxtrots)
- un concerto, des concertos
- un scénario, des scénarios
Cette recommandation s’applique aussi aux mots dont la graphie devenue courante en français est déjà une forme plurielle dans la langue d’origine.
- un graffiti (pluriel de graffito), des graffitis
- un ravioli (pluriel de raviolo), des raviolis
- un spaghetti (pluriel de spaghetto), des spaghettis
- un confetti (pluriel de confètto), des confettis
Cette règle s’applique également aux mots d’origine latine : un maximum, des maximums; un média, des médias.
Certains mots d’origine latine ayant valeur de citation (soit, essentiellement, les noms latins désignant une prière chrétienne) sont invariables : un mea culpa, des mea culpa (ou un mea-culpa, des mea-culpa); un Pater, des Pater; un requiem, des requiem. Les mots d’origine étrangère qui se terminent par s, x et z sont aussi invariables : un ersatz, des ersatz; un télex, des télex; un index, des index; un blues, des blues.
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>> des conchiglies, coquillettes, crozets, giglis, pipes rigates et tagliatelles.
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Mouture désigne aussi bien l’action, la manière de moudre les grains de céréales, en particulier, du blé, par cylindres ou par meules.(TLF) que le produit qui en résulte.(TLF)
Cela dépend donc du contexte.
Je soumets le blé à la mouture – j’utilise de la mouture de blé- 287 vues
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Le pays est confronté à une/la croissance de cette violence, une/l’ intensification de la violence
Le TLF concernant le déterminant un :
C. − [Le substantif est un substantif d’action] :
1.a) [Le substantif désigne un acte, un procès envisagé spécifiquement ou génériquement] Une contraction, une infiltration, un paiement, une parade, un parcours difficile, un parjure, un passage, une passe, un parrainage, un partage, une peinture moderniste, une récompense, une remontrance, un retour à la scène, une rétribution, un séjour, une sélection, une sensibilisation de l’opinion, une séparation, un service, un versement.
Cette sympathie, qui permet sinon la restitution, du moins une restitution de ce qui est disparu, est de l’ordre de l’affectif, ou de l’idéologique, ou des deux ensemble (F. Furet).
C‘est le cas ici avec « croissance » et « intensification »
—–
Bien sûr, on peut utiliser le déterminant le/la, auquel cas on se focalise sur le procès évoqué sans le replacer dans un ensemble
Avec « un/une » les deux procès : croissance (de la violence)e et intensification (de la violence) sont considérés comme appartenant à un ensemble de procès identiques : une croissance et une intensification qui ont pu ou pourront avoir lieu dans d’autres cas
Cette réponse a été acceptée par Michael239. le 31 juillet 2024 Vous avez gagné 15 points.
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L’emploi de « non » n’est possible que lorsque l’adjectif porte une notion d’action ( non possible, non pensable sont … impossibles ).
Il me semble que, précisément, le choix entre in- et non permet des nuances qui ne sont pas négligeables :
-Le préfixe in- donne une négation absolue (ce que dit Joëlle), parfois une qualité intrinsèque, et qui n’est que conjoncturel avec non
invérifiable/non vérifiable – indétachable / non détachable – indépendant/non dépendant – inharmonieux/non harmonieux – irrationnel/non rationnel– in- indique une appréciation (ce qui découle pour du point précédent), non est objectif :
immangeable/ non mangeable – inacceptable/non acceptable -illogique/non logique (pour une personne seulement) – inaccessible / non accessible– le choix se fait parfois entre animé et non animé :
inadaptable (animé) /non adaptable (objet)– Il arrive parfois que l’adjectif avec le préfixe in- n’existe pas : négligeable/ non négligeable
– dans certains cas, utiliser non plutôt que in- est inutile et n’est rien d’autre qu’ un tic de langage.
J’ai surtout pris des exemples d’adjectifs suffixés en -able -ible mais j’aurais pu prendre aussi d’autres adjectifs
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Leur/leurs n’est pas pronom, il est déterminant (adjectif possessif) puisqu’il accompagne un nom.
Ils se jetèrent sur leur arme. Boué s’empara d’une faux, Bang, d’un large cimeterre;
Le déterminant possessif s’accorde et avec le possesseur et avec le possédé
Leur indique qu’il y a plusieurs possesseurs – leurs, qu’il y a plusieurs possédés.
Si chaque possesseur a un seul objet, leur suffit – si au contraire chacun a plusieurs possédés, il faut utiliser leurs.
Certes, on peut aussi prendre en compte que plusieurs objets sont possédés même si chacun n’en a qu’un. On peut vouloir insister sur ce fait. par Exemple : tous les deux se jetèrent sur leurs armes qui, bien différente l’une d l’autre, étaient pourtant aussi efficaces
Dans cet énoncé : Rentrons dans nos maisons : les possesseurs ont-il chacun plusieurs maisons ? Il semble peu probable qu’ils puissent rentrer dans plusieurs maisons chacun : on comprend que le possessif est au pluriel pour prendre en compte les maisons respectives de chacun
Car : Rentrons dans notre maison est ambigu hors contexte : y en a-t-il une seule pour tous ?
Si le contexte ne lève pas l’ambiguïté, il faut trouver un moyen de le faire :
Rentrons chacun dans notre propre maison : et le tour est joué !Le pronom leur est forcément invariable puisqu’il désigne déjà un pluriel :
Je leur ai acheté un ballon : leur = à mes enfants
Le singulier qui lui correspond est lui :
Je lui ai acheté un ballon : à mon enfantCette réponse a été acceptée par Pierretoularastel. le 30 juillet 2024 Vous avez gagné 15 points.
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L’adverbe autant place sur un pied d’égalité les deux noms. et si l’un est sujet, l’autre l’est aussi (du même verbe).
Ce qui m’a surpris, c’est que le héros autant que les malfrats projetés à travers vitres et rambardes gardaient un visage intact.- 165 vues
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Tout est correct.
les bâches ont été laissées sur des parties métalliques rouillées, ce qui les a tachées et rendues inutilisables
ont été laissées : participe passé est employé avec l’auxiliaire être ; ‘accord se fait avec le sujet : bâches
parties métalliques rouillées : le participe passé se rapporte au nom parties et se comporte comme un adjectif
a tachées : participe passé employé avec l’auxiliaire avoir : l’accord se fait avec le COD s’il est placé avant, ce qui est le cas : les est COD et remplace un nom féminin pluriel.- 173 vues
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Vous avez tort d’être chiffonné/chiffonnée.
Ce présent est appelé présent intemporel. Il est logique de le rencontrer dans des textes au passé agalement.- 270 vues
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Il est inutile de toutes façons, de mettre l’expression au pluriel, le sens restant le même.
Elles réussissaient à tirer leur épingle du jeu.- 157 vues
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