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L‘affection naturelle n’est pas un devoir et nous ne devons pas la considérer comme telle.
Telle est adjectif attribut du COD la. L’accord se fait donc avec ce pronom.
Si on remplace telle , c’est bien un adjectif qui vient :
L‘affection naturelle n’est pas un devoir et nous ne devons pas la considérer comme ETANT telle/obligée/ impérieuse/….
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Les participes passés des verbes suivants sont invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se convenir, se nuire, se mentir, s’en vouloir, se ressembler, se sourire, se suffire, se survivre.
Lorsque le verbe pronominal a un COD autre que le 2e pronom, l’accord se fait selon la règle de la construction avec l’auxiliaire avoir :
Elles se sont acheté une voiture.
Comment trouves-tu la voiture qu’elles se sont achetée ?
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Plutôt qu’écrire à l’instinct, il vaut mieux le faire en sachant.
Pour choisir le temps du subjonctif :
Quand la principale est au présent, le temps du verbe de la subordonnée est au subj. présent ou passé :
Il regarde cette chose jusqu’à ce qu’elle disparaisse/ait disparu.
Il demeure la peur que telle chose efface tout/ait tout effacé.Quand la principale est au passé, le temps du verbe de la subordonnée est au sbj. imparfait ou plus que parfait
Il regarda cette chose jusqu’à ce qu’elle disparût/eût disparu.
Il demeurait la peur que telle chose effaçât tout / eût tout effacé.– la forme composée marque l’antériorité par rapport au verbe de la principale
– l’imparfait et le plus que parfait du subjonctif tombent en désuétude et sont souvent remplacés par le présent et le passé du subjonctif, c’est pourquoi vous hésitez. On les trouve encore à l’écrit mais très rarement dans un oral « naturel ».
Ceci est possible parce que le subjonctif a d’abord une valeur modale. Sa valeur temporelle est faible parce que ce mode se trouve principalement pris dans la subordonnée d’une phrase complexe où le verbe de la principale marque déjà la temporalité.- 116 vues
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Les repas animés sous mes poutres antiques,
Se prolongeaient souvent en des nuits magnifiquesLa préposition « en » évite la répétition peu euphonique du son |D| : » …vent dans des »
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On peut d’ailleurs très bien comparer le comportement de plusieurs personnes à celui d’une personne.
Ils mangent comme un ogre/comme des ogres.
La différence est dans le point de comparaison :
Ils mangent comme s’ils étaient des ogres / ils mangent comme mangerait un ogre.
Ils dorment comme dorment les justes/ ils dorment comme dormirait un juste.
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Des exercices appartenant à cette liasse de feuilles et portant sur…
Appartenant et portant sont des verbes. Ils ont d’ailleurs chacun un complément d’objet indirect : à cette liasse et le GN annoncé par la préposition sur.
Seuls les verbes ont des COI.
Les adjectifs, même verbaux (formés sur des verbes et avec le suffixe -ant) n’en ont pas.
D’ailleurs, écririez-vous : Une phrase appartenante à cette liasse de feuilles et portante sur… ?
On voit bien qu’il ne s’agit pas d’adjectifs, l’accord au féminin étant cette fois-ci entendu comme impossible.- 101 vues
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Quand on m’envoie une photo, sans que je ne l’ai souhaité, cela m’agresse.
L’écrit permet certaines précisions que l’oral ne permet pas (et peut-être inversement).
Votre énoncé étant écrit, vous pouvez choisir ce que vous voulez dire. Le pronom de reprise « le », si le participe passé reste neutre, désigne bien une partie de la phrase. Cette photo, le locuteur peut la souhaiter vivement mais pas qu’on la lui envoie.
D’ailleurs, dans le cas contraire, on formulerait sans doute différemment, en tous cas correctement :
Quand on m’envoie une photo, que je n’ai pas souhaitée cela m’agresse
car sans que marque qu’on écarte une circonstance, or, la circonstance concerne le verbe et non un nom.Remarque : le « ne » est explétif dans votre phrase. Quand on m’envoie une photo, sans que je l’ai souhaité, cela m’agresse
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Pas de trait d’union. c’est une expression et non un nom composé : avoir du bol – ne pas se casser le bol – en avoir ras le bol.
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En ce cas, il faut le pluriel. Il n’y aura ni vainqueurs ni vaincus.
Quand à la forme positive l’élément serait pluriel, il reste pluriel à la forme négative ; et inversement.
Il n’avait mis ni chaussures ni cravate- 93 vues
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La surprise, la compassion de ses interlocuteurs – ou pire, leur intérêt morbide le répugnaient.
Ce sont bien des sentiments distincts dont il est question on a donc plusieurs sujets.- 133 vues
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