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Bonsoir Tara,
Je vous remercie beaucoup de votre réponse. Je comprends mieux maintenant.- 145 vues
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Re-bonjour,
Je viens de réaliser que je n’avais pas bien compris votre réponse. Veuillez me pardonner. Pour comprendre à quoi se réfère le plus-que-parfait, il faut donc trouver le temps de base du récit.Je voudrais vous demander aussi si, en réécrivant cette phrase de la manière suivante, les temps conviennent :
« Nous avions moins écouté l’histoire de Don Luis que nous avions frissonné pendant que nous entendions (nous avions entendu) ces phrases auxquelles manquaient les accents : leur absence éteignait les mots. On aurait dit que notre langue française avait, soudain, perdu tout élan, tout éclat, toute lumière. »
Pourriez-vous m’aider à mieux comprendre ? Merci d’avance.
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Je vous remercie beaucoup de votre explication, Tara. J’ai pensé aussi que « Nous avions écouté l’histoire » pouvait marquer l’antériorité par rapport à «Ils se sont expliqués. J’ai hoché », mais au niveau du sens, je ne comprends pas bien. D’ailleurs, je ne comprends pas bien les temps de la phrase.
Pouvons-nous interpréter la phrase comme suit :
« Nous avions moins écouté l’histoire de Don Luis que nous n’avions frissonné pendant que nous entendions ces phrases auxquelles manquaient les accents : leur absence éteignait les mots. On aurait dit que notre langue française avait, soudain, perdu tout élan, tout éclat, toute lumière. » ?
Dans ce cas-là, le frisson ressenti par les trois personnes semblerait être pendant l’écoute de l’histoire de Don Luis, et l’explication entre elles viendrait après ?
Pourriez-vous m’aider à mieux comprendre ? Merci.
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Bonjour Bruno974,
Excusez-moi pour le retard à vous remercier : je n’avais pas vu votre réponse. Grâce à votre analyse, je comprends mieux la différence entre l’imparfait et le plus-que-parfait dans ma phrase « Je pensais (J’avais pensé ) que c’était comme en Belgique, mais ce n’était pas le cas. » Je comprends aussi qu’il faut vraiment maîtriser l’emploi des temps pour être capable de saisir les nuances de sens en fonction du contexte. La route est encore longue pour moi, mais vous m’avez vraiment aidée et je vous remercie énormément pour la clarté de vos explications. Merci encore.- 711 vues
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Bonsoir,
Je vous remercie d’avoir pris la peine de m’expliquer si soigneusement ce que je ne parvenais pas à comprendre. Avec tous les exemples que vous m’avez fournis, j’ai une meilleure idée de l’emploi du plus-que-parfait. Bien sûr, il me faudra relire plusieurs fois votre message pour pouvoir me sentir plus à l’aise dans l’emploi des temps du passé. Je vous suis très reconnaissante. Merci.- 711 vues
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Bonjour Bruno974,
Pardon pour ma réponse tardive. Je vous remercie infiniment pour votre explication claire et détaillée, qui m’a beaucoup aidée.
Comme je ne suis pas très à l’aise avec les emplois des temps du français, j’aimerais vous poser une autre question.
Comme je vous l’ai dit, j’aurais dit plus spontanément : « Je pensais que c’était comme en Belgique, mais ce n’était pas le cas.”
Je me demande si, dans cet exemple, le locuteur veut insister sur le fait que depuis son séjour dans ce pays, il a changé d’opinion, (« J’avais pensé que c’était comme en Belgique, (mais je m’étais trompé) »), alors que s’il utilise l’imparfait, il décrit simplement son sentiment dans le passé.
Mais je ne sais pourquoi, mais ça me paraît tout de même étrange et avec le plus-que-parfait, j’aurais plutôt dit :
« J’avais toujours pensé que c’était comme en Belgique, mais ce n’était pas le cas. »
Je ne sais pas si je me fais bien comprendre car c’est assez confus dans ma tête aussi.
Qu’auriez-vous dit plus naturellement ?
Merci de votre réponse.
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