Bonjour,
1/300 = le trois-centième
3/100 = les trois centièmes
Je vivrais bien avec les trois centièmes de cette somme = 3/100
Je vivrais bien avec le trois-centième de cette somme = 1/300
Donc le pluriel indique bien 3/100.

Bonjour,
Le sujet est au pluriel donc on accorde à la troisième personne du pluriel : le récit et les interactions qui en découlent…

Bonjour,
La phrase doit être comprise sans l’incise : Frappée de stupeur par cette mort qu’elle s’était refusé à imaginer…
Il s’agit d’un verbe occasionnellement pronominal qui s’accorde avec le COD placé avant le verbe.
Le participe passé est toutefois suivi d’un infinitif et pour que l’accord se fasse avec le COD, il faut que ce COD fasse l’action exprimée par l’infinitif.
Le COD est que mis pour mort, placé avant refusé mais mort est COD de imaginer et il n’y a donc pas d’accord.

Bonjour,
C’est comme si tout ce que je ressens était exacerbé par l’amour que j’éprouve pour elle !
C’est comme si tout ce que je ressens avait été exacerbé par l’amour que j’éprouve pour elle !
Après « comme si « on utilise couramment l’indicatif imparfait ou plus-que-parfait. Le subjonctif plus-que-parfait est très soutenu.

Bonjour,
L’interrogation directe se caractérise par l’inversion du sujet et du verbe par rapport à la place qu’ils occupent à la forme affirmative.
Être aussi beau te sert à plaire -> à quoi te sert d’être aussi beau ?
On peut aussi garder le sujet devant le verbe et le reprendre par un pronom personnel placé derrière le verbe : à quoi être aussi beau te sert-il ?

Bonjour,
Dans la phrase de Beckett, l’emploi du subjonctif est justifié par le subordonnant « rare que » (on dira il est rare qu’il se plaigne et non il est rare qu’il se plaint) et l’imparfait du subjonctif en raison de la concordance des temps avec un passé dans la phrase principale.

Bonjour,
Le présent de l’indicatif exprime un événement qui se déroule au moment où l’on parle et donc certain mais peut être employé pour parler d’un fait situé dans un futur proche ou d’un fait futur perçu comme étant inévitable. L’action future évoquée par le présent peut également être hypothétique.
Le recours au verbe pouvoir permet de souligner la réalisation hypothétique de l’action et le présent de l’indicatif exprime une action qui se déroule dans un futur proche.
Ça peut être pire = je connais des gens pour qui ça été pire, une situation pire que celle-là est possible.
Ce livre peut t’intéresser = je pense que ce livre, si tu le lis, t’intéressera.

Le conditionnel exprime quant à lui un futur encore plus hypothétique que le futur simple.
Ça pourrait être pire = sous certaines conditions, ça aurait été pire.

Bonjour,
Dont équivaut à de quoi, de qui, duquel…
Il remplace toujours un nom précédé de de
Ce nom étant précédé de de ne peut donc jamais être un COD.
Le participe passé construit avec avoir ne pourra donc jamais s’accorder avec ce nom, antécédent de dont.

Bonjour,
Les verbes pronominaux sont réfléchis lorsque l’action se réfléchit sur le sujet. Le pronom est alors soit COD (elle se lave = elle lave soi) soit COI (elle se nuit = elle nuit à elle-même).
Ce sont donc des verbes occasionnellement pronominaux non réciproques, ayant un pronom analysable.
Tous les autres verbes pronominaux sont NON réfléchis : verbes essentiellement pronominaux, autonomes, de sens passif et accidentellement pronominaux de sens réciproque.

Bonjour,
Il n’y a pas de règle stricte.
La place de l’adverbe varie en fonction du groupe modifié : l’adverbe  qui modifie un verbe est habituellement placé après le verbe alors que l’adverbe qui modifie  un adjectif ou un adverbe est placé devant ces éléments.
Pour les verbes, l’adverbe se place donc généralement après le verbe conjugué à une forme simple : il marche vite.
Lorsque le verbe est à un temps composé, comme dans vos phrases, il n’y a pas de règle absolue (Le Robert) : l’adverbe se place indifféremment après le participe passé ou entre l’auxiliaire et le participe passé.
les découvertes ont souvent été le fait du hasard 
les découvertes ont été souvent le fait du hasard