Bonjour,
On accordera s’ensuivre avec le sujet : s’ensuivent cinq ans…

Par ailleurs vous devez écrire : durant lesquels et non lesquelles puisqu’il s’agit des ans et non des années.

Bonjour,
L’accord du participe passé formé avec l’auxiliaire être se fait avec le sujet.
Le sujet est qui mis pour ce, pronom démonstratif neutre, donc accord au masculin singulier : Qu’est-ce qui lui est arrivé.

Bonjour,
« Pour être exact » = pour que cela soit exact. Cela est neutre et l’accord se fait au masculin singulier.
Être est un infinitif qui reste invariable.
Nous les avons comptés. Ils étaient cinquante-trois, pour être exact.

Bonjour,
Que me prédis-tu ?
Il y a un trait d’union entre le verbe et le pronom dans les phrases interrogatives.
Il y a bien une terminaison en s, puisqu’il s’agit de la deuxième personne du singulier.

Bonjour,
Tout d’abord il faut mettre effectivement un trait d’union entre mi et l’adjectif.
On laisse le singulier car chaque oeil a à la fois les deux teintes.
Elle avait des yeux mi-vert mi-noisette.
SI un oeil était vert et l’autre noisette, on écrirait : Elle avait des yeux verts et noisette.

Bonjour,
Le sujet du verbe est il (l’artiste) donc troisième personne du singulier : il y décompose.

Bonjour,
Recrû  ou recru : nom masculin = ensemble des pousses qui se développent sur les souches après la coupe d’un taillis (Le Robert)

Bonsoir,
Si l’on place « comme nous » entre deux virgules, on cherche à exprimer une comparaison et l’accord se fait avec le premier sujet : Vous , comme nous, êtes concernés.
Sans virgule, c’est l’idée d’addition qui prévaut et on accorde au pluriel à la personne qui arrive la première dans l’ordre de la conjugaison : Vous comme nous sommes concernés.

Bonjour,
Je partage votre raisonnement et la nuance entre les deux formulations.
Le participe présent exprime généralement une action se déroulant en même temps que l’action décrite par le verbe principal de la phrase.
On pourrait remplacer le participe présent par « en train d’aller » (je ne me vois pas en train d’aller me baigner par un temps pareil ), ce qui marque bien que l’action se déroule au moment où l’on parle.
L »infinitif ne donne pas cette précision.

Bonjour,
Il faut respecter en effet la règle donnée par Tara.
Pourtant le BDL et même Grevisse laissent planer un petit doute en disant que l’accord se fait presque toujours à la troisième personne du pluriel.
En effet, quand le complément du collectif est le pronom « nous », il serait possible de faire l’accord à la première personne du pluriel. Ce serait une façon d’indiquer que celui qui s’exprime fait partie de ceux-là !