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  • Grand maître Demandé le 12 mai 2016 dans Conjugaison

    Bonsoir
    Une précision par rapport à l’accord qui se fait dans cette phrase, comme l’a dit Czardas, avec le pronom personnel « se » parce que celui-ci est le COD de persuader et qu’il est placé avant le participe.
    Les verbes pronominaux réciproques au passé composé s’accordent avec le COD s’il est placé avant le participe.
    Par exemple pour : « ils se sont plu », il n’y a pas d’accord car le pronom « se » est COI ( ils ont plu à se) ou par exemple « ils se sont frotté le dos l’un l’autre » ( c’est le dos le COD).
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 12 mai 2016 dans Question de langue

    Oui c’est « est-ce que… »

    (et « c’est moi qui avais bon », car le sujet de « avais » c’est « moi » mis pour je, 1ère personne du singulier) )

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  • Grand maître Demandé le 12 mai 2016 dans Question de langue

    Bonjour.
    Il faudrait connaître la phrase entière, mais dans cet extrait, je ne vois pas de faute.
    « Est-ce que » est correct, puisqu’il s’agit d’une phrase interrogative directe (avec un point d’interrogation à la fin), et « ce » est le sujet, donc le verbe être est conjugué à la troisième personne du singulier de l’indicatif présent.
    Peut-être que la phrase entière pourrait nous aider.
    En tout cas on ne peut pas écrire « es-ce que »
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 12 mai 2016 dans Question de langue

    Bonjour.

    On trouve aussi dans le dictionnaire de l’Académie :  » Loc. Il s’en faut, tant s’en faut, loin de là, bien au contraire » qui semble indiquer une équivalence des deux termes.

    Pour « loin de là » , l’Académie dit : « En tête de phrase, dans des tournures exclamatives, pour se défendre d’un sentiment, d’une pensée qu’on pourrait se voir imputer. Loin de moi cette idée ! Loin de moi une telle intention ! Loin de là ! bien au contraire, tout au contraire. Il n’a pas modifié sa conduite, loin de là ! »
    Aussi on peut utiliser celle locution pour bien au contraire.

    Pour « tant s’en faut », on peut aussi s’intéresser à la signification, donnée par l’Académie, de « s’en falloir » qui nous donne une indication : « Pron. S’en falloir de, suivi généralement d’un nom ou d’un adverbe de quantité, se dit pour indiquer une différence en moins. Il s’en faut de cent francs, il manque cent francs. »
    Comme vous le dites, « tant s’en faut » marquerait plus un manque, une différence en moins, et donc une quantité plus matérielle ?

    Dans la phrase que vous citez, je partage votre avis pour préférer « loin de là » que l’on peut remplacer par bien au contraire, mais de façon plus abstraite que « tant s’en faut ».

    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Général

    Bonsoir,
    Je ne connais pas de règle qui empêche d’utiliser une abréviation de Monsieur ou Madame, pour le titre des oeuvres.
    Mais il y a des exemples de titres avec abréviation : « Mr Brown » (ici Mr car c’est en anglais) d’Agatha Christie, « Le voyage de M. de Balzac à Turin » de Max Genève
    Dans l’exemple que vous donnez, « Monsieur Ripley » de Patricia Highsmith, il n’y a pas d’abréviation.
    La plupart des titres comportent « Monsieur » non abrégé.
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Général

    Bonsoir.
    Lorsque le mot « saint » est utilisé pour désigner une fête, un lieu, une institution religieuses, il prend une majuscule et se lie à l’autre partie du nom par un trait d’union.
    Ex. Le jour de la Saint-Valentin.

    Pour Semaine sainte, comme pour les jours de la Semaine sainte, on utilise la majuscule pour le jour ou pour semaine, mais ma minuscule pour « saint ». Jeudi saint, Semaine saint.
    Mais cette règle n’est pas appliquée par tous, et par exemple le Petit Robert ne met pas de majuscule.
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Accords

    Bonsoir.
    « Il se sont posé des questions« .
    Poser est un verbe transitif, donc qui admet un COD, etil est  ici au participe passé avec l’auxiliaire être.
    Il s’agit d’un verbe occasionnellement pronominal.
    L’accord, dans ce cas (à l’opposé des verbes essentiellement pronominaux qui s’accordent avec le sujet), suit la règle de l’accord du passé composé avec l’auxiliaire avoir.
    Le COD est « des questions », placé après l’auxiliaire, il n’y a pas accord.
    En effet : ils ont posé QUOI ? des questions, À QUI ? à lui même, donc COI
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Question de langue

    Bonjour.
    « cela va t’être plus facile » : il n’y a pas de faute. Il y a élision du pronom « toi » en « t' » suivi d’une apostrophe (cela va être plus facile à toi).
    Pour « outil », cela dépend si l’on parle d’un outil précis que l’on désigne (au singulier) ou d’une catégorie d’outils qui comporte plusieurs éléments et que l’on peut utiliser sans distinction pour le travail à faire (au pluriel).
    Cordialement

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Accords

    Vous avez raison tous les deux.
    Dans la démonstration de Czardas cependant, on ne peut pas poser la question : « elle a vu mourir QUI ? »
    En effet mourir est un verbe intransitif et n’admet donc pas de COD et surtout on cherche à savoir s’il y a un COD à « vu » et si c’est le COD qui fait l’action de mourir.
    Donc se poser la question : « elle a vu QUI ? »
    -> elle a vu « s' » mis pour « elle » qui est le COD etc. n’est elle qui fait l’action de mourir donc il y a accord.

    Pour la phrase qui pose problème, il est difficile d’utiliser la formule : « j’ai toujours imaginé QUI ou QUOI ? » Car si on demande QUI on pourrait dire : elle a imaginé elle même, qui entretient des relations.., donc c’est le COD placé avant le participe qui fait l’action exprimée par le verbe à l’infinitif.

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  • Grand maître Demandé le 11 mai 2016 dans Accords

    Bonjour.
    Dans le cas d’un participe passé suivi d’un infinitif, le participe s’accorde avec le COD si celui-ci est placé avant le participe et s’il fait l’action exprimée par le verbe à l’infinitif.
    Ici « imaginer » est un verbe occasionnellement pronominal, et la règle est la même.
    Mais ici le COD n’est pas le pronom personnel « me » qui est COI (on imagine à soi) et donc le participe reste invariable. (On imagine quelque chose, on s’imagine quelque chose donc quelque chose à soi)
    Cordialement

    Cette réponse a été acceptée par ChristianF. le 12 mai 2016 Vous avez gagné 15 points.

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