Oui « sans doute » actuellement a la valeur de « peut-être » et « sans aucun doute« , celle de « certainement » comme vous le disiez.

Bonjour.
« entouré » est le participe passé du verbe « entourer », utilisé comme adjectif attribut du sujet du verbe être, donc de « nous« .
Comme tout adjectif, il s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte (nous).
Donc féminin + masculin = masculin pluriel.
« entourés »
Cordialement

Bonjour.
Vous avez raison, on tend à différencier maintenant « sans doute » de « sans aucun doute », en attribuant une notion de certitude à la deuxième locution.
Pourtant, si l’on prend la définition de « doute », il s’agit bien d’une incertitude, d’une hésitation.
Comme « sans  » exprime la privation,  les deux locutions signifient qu’il n’y a pas de doute !
Dans le Robert, les locutions sont considérées comme équivalentes et l’Académie marque une différence en disant que « sans aucun doute » est préférable pour indiquer « certainement » et que Larousse marque bien la différence.
Il est vrai que l’on insiste avec « aucun » sur l’absence d’hésitation, mais que sans doute à la base signifiait « certainement ».
Cordialement

Je dirais oui.
Car si on ne met une majuscule qu’à « Ourse » sans en mettre à l’adjectif « Grande », ce serait ne pas considérer que c’est une même entité.
La constellation de la Grande Ourse.

Bonsoir.
Pour une fois que le féminin l’emporte sur le masculin !
C’est pour une raison d’euphonie que l’on doit accorder « tout » , adverbe, quand il est placé devant un adjectif féminin commençant par une consonne ou un h aspiré.
« elle est toute surprise »
« elles sont toutes honteuses » (h aspiré)
mais
« elle est tout attristée » (féminin devant une voyelle)
« ils sont tout penauds » (masculin)
« elle est tout heureuse » (h muet)
VCordialement

Bonsoir.

– La subordination est un procédé qui consiste à mettre en relation des mots, des groupes de mots ou des phrases qui vont ainsi se compléter.

ex. La nuit était encore claire quand je sortis du restaurant : 2 phrases sont mises en relation par « quand » et se complètent.
ex. J’ai vu l’institutrice de ta fille : 2 mots en relation avec « de ».

– La conjonction est un mot qui sert à joindre et à mettre en rapport soit deux mots dans une proposition soit deux propositions.
Dans les exemples précédents, « quand » et « de » sont des conjonctions de subordination.

-Ces conjonctions de subordination peuvent exprimer un rapport de type : but (afin que, pour que…), une cause (comme, parce que, puisque…), une comparaison (comme, de même que, ainsi que…), un opposition (bien que, quoique, alors que…), une conséquence (que, de sorte que, de manière que…), un temps (quand, lorsque,depuis que, avant que…).

– On appelle subordonnée conjonctive toute proposition subordonnée introduite par une conjonction de subordination.

ex. il était seul depuis que sa femme l’avait quitté :
« sa femme l’avait quitté » est la subordonnée conjonctive
« depuis que » est la conjonction de subordination

ex. il mangeait peu bien qu’il ait faim
« il ait faim » est la subordonnée conjonctive
« bien que » est la conjonction de subordination.

Cordialement

Bonsoir.
« j’aime » est un verbe conjugué, employé de manière fautive sur facebook comme nom.
Il ne s’accorde pas.
Cordialement

Bonjour.
Rougir signifie « devenir rouge » (verbe intransitif) ou « rendre rouge » (verbe transitif). Dans tous les cas il correspond à l’action de rougir, il ne contient pas l’idée du verbe être, et n’admet pas d’attribut du sujet comme les verbes d’état.
« Son visage est rouge« , « il devient rouge » : être et devenir sont des verbes d’état avec rouge comme attribut du sujet.
Il est devenu un champion : champion n’est pas COD mais attribut : on peut remplacer champion par un adjectif (« il est devenu très performant« ).
« Il rougit« , « le soleil couchant rougit la terre » : il n’y a pas de COD ou un COD mais pas d’attribut (on ne peut pas remplacer « la terre »par un adjectif). Il n’y a jamais de COD après un verbe d’état.
Cordialement

Merci d’avoir donné la phrase entière.
On constate que « existant » est suivi d’un complément circonstanciel (« entre la France et la République populaire de Chine »)tout en exprimant l’action d’exister, et s’inscrit effectivement dans une période  limitée, donc est un participe présent.

Bonjour.
Il s’agit effectivement de faire la distinction, parfois difficile, entre le participe présent sous forme verbale, invariable, et l’adjectif verbal qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte. Il n’y a ici aucune distinction orthographique qui peut nous aider.
Dans votre exemple, le contexte est important et il aurait fallu avoir la phrase entière au minimum.
En effet l‘adjectif verbal exprime une situation permanente, alors que le participe présent exprime une action passagère, limitée dans le temps.
Si vous pouvez remplacer « existant » par la forme passive « qui sont existantes », ou par un autre adjectif (« présentes ») il s’agit très probablement de l’adjectif verbal qui s’accorde.
Mais le contexte doit pouvoir nous aider.
Cordialement