Bonjour,
L’accord du participe passé construit avec avoir se fait avec le COD s’il est placé avant le verbe.
Ici le COD est « de nous joindre ».
Vous est sujet et l’accord ne se fait pas avec le sujet.
Le participe passé reste invariable.

Bonjour,
Pour vos deux premières phrases, si le contexte permet de situer la scène, ici est suffisant et il n’est pas utile de préciser à nouveau l’endroit où la personne se trouve au moment où elle parle. L’imparfait indique une action du passé qu’on voit s’accomplir.
Dans la dernière, vous posez la question de distinguer celui-ci de celui-là ?
Ci marque la proximité à l’inverse de là.
Si la personne qui s’exprime est encore sur les lieux, on emploiera celui-ci, mais celui-là si la personne a quitté les lieux.

Bonjour,
Voici ce qu’en dit l’Académie :

Ce qui reste ou ce qu’il reste ?

Avec les verbes susceptibles d’être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu’il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu’il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d’élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu’il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu’il vous reste à découvrir (Duhamel).

On peut donc écrire aussi bien : nous verrons ce qui se passera ou ce qu’il se passera 

Bonjour,
L’adverbe si peut être utilisé dans deux circonstances.
Si l’on reprend votre exemple.

1- Dans la question :
Je n’ai pas été trop méchante, si ?
Si marque l’interrogation après une phrase interro-négative.
Si ? signifie n’est-ce pas ?

2- Dans la réponse :
Je n’ai pas été trop méchante ?
Si, tu l’as été.
Si exprime une réponse positive à une question négative.
Mais : non, tu n’a pas été méchante (ou : non, tu as été honnête)

Bonsoir,
Ici, énergie n’est pas COD mais complément circonstanciel de quantité. Le participe passé reste invariable.

Bonjour,
L’accord du verbe après la majorité de suivi d’un complément se fait avec majorité ou avec le complément.
Le plus souvent l’accord se fait avec la majorité mais peut se faire avec le complément si l’on veut insister sur la pluralité.
Pour ma part j’aurais choisi l’accord avec le complément : La majorité des gens cherchent à être rassurés come tout le monde.

Bonjour,
Après rien, la relative se met au subjonctif : cela ne me dit rien qui vaille.
Rien qui n’inclue du numérique.

Bonjour,
Je suis d’accord avec vous, la syllepse grammaticale est  ici d’un meilleur effet stylistique et en cohérence avec le sens : J’ai offert un voyage à ma famille, ça leur a beaucoup plu.
J’ai offert un voyage à ma famille, ils ont beaucoup apprécié.

Bonjour,
Il est vrai que seul Le Robert donne une définition de l’hypophagie. Ce mot n’existe pas dans les autres dictionnaires consultés.
Du grec hupo, « sous », et phageîn, « manger », on pourrait en effet définir l‘hypophagie par une alimentation sous la norme donc une restriction alimentaire ou une anorexie.
Aussi, soit ce terme n’est pas admis en l’absence de références suffisantes, soit ce n’est pas ce qu’attendait le correcteur.
À mon sens, on ne peut pas dire que l’anorexie soit une barbarie. Il s’agit avant tout d’un trouble alimentaire.

Bonjour,
J’ai fait QUOI ? que mis pour la peine, placé avant le verbe donc accord : Pas insensible à la peine que je t’ai faite.
T’ est COI et n’intervient pas dans l’accord : j’ai fait de la peine à toi.