Bonjour,
On est un pronom indéfini qui justifie l’accord du verbe à la troisième personne du singulier.
C’est l’accord du participe passé ou de l’adjectif qui varie selon ce à quoi on fait référence.
On écrira donc : je fais tout pour qu’on se retrouve.

Bonjour,
« Lorsque ce reprend un nom ou un pronom au singulier qui le précède et qu’il est suivi d’un ou de plusieurs noms au pluriel, il est également préférable d’utiliser la forme plurielle ce sont ou c’étaient. » (BDL)
Ce que cette appellation m’évoquait alors, c’étaient des crânes de démons dont l’odeur soufrée est celle des œufs durs.
Le singulier ne serait pas fautif mais doit être évité dans le langage soigné.

Bonjour,
La préposition « pour » peut marquer « l’idée de destination… dans le temps » selon le TLFi, avec les exemples suivants :

Bonjour,
« Prêt de » n’est plus utilisé mais l’a été. (TLFi) Je n’ai pas trouvé avec « de » l’expression d’une proximité dans le temps.
Voilà ce qu’en dit l’Académie : « Longtemps l’adjectif prêt put se construire avec la préposition de. On trouve facilement cette construction chez les classiques : « Il tenait un moineau, dit-on / Prêt d’étouffer la pauvre bête / Ou de la lâcher aussitôt/ pour mettre Apollon en défaut… » (La Fontaine, L’Oracle et l’Impie). Après le xviii^e siècle, cet usage tend à disparaître, même si prêt de se lit encore chez Proust et semble réconcilier, grammaticalement à tout le moins, Robespierre, qui écrit : « s’il est vrai […] qu’un grand complot est prêt d’éclater.. », et Chateaubriand, chez lequel on lit : « Madame Jérôme Bonaparte, prête d’accoucher… » Aujourd’hui prêt se construit avec à et signifie « préparé pour, disposé à », et l’on écrit près de pour dire que quelqu’un est sur le point de faire quelque chose (sans oublier, bien sûr, que la locution près de indique aussi la proximité spatiale : Il habite près de Paris). »

Bonjour1/ Quelle est l’histoire la plus incroyable qui te soit arrivée pendant ton voyage ?
Auxiliaire être, donc accord avec le sujet : histoire.
« te » = COI

2/ Elle nous a invités à passer le réveillon du nouvel an à Caleta Chanaral…
Accord avec nous car nous = COD placé avant l’auxiliaire et qui fait l’action de passer
Attention féminin pluriel si nous = exclusivement des femmes.

… où elle a une maison juste à côté de la plage qu’elle a construite avec l’aide de quelques personnes.
COD = qu’ mis pour maison donc féminin singulier

3/ Ça nous a beaucoup aidés d’en savoir un peu plus sur les problèmes que nous risquions de rencontrer !
Oui accord avec nous = COD placé avant le verbe.
Attention si nous représente exclusivement des femmes, accord au féminin pluriel.

4/ C’est juste que la famille de Charlaine est venue lui rendre visite en Indonésie pendant un mois et je l’ai rejointe après.
L’accord peut se faire avec famille si c’est la famille que vous rejoignez ou avec Charlaine selon le sens de la phrase. Dans tous les cas accord au féminin singulier.

5/ Au final, ça a été la plus belle histoire d’amour que j’ai jamais vécue.
Oui accord avec que mis pour histoire.

6/ Une chose que tes voyages t’ont enseignée ?
Accord avec antécédent de que = chose

7/ Je peux te raconter la dernière que j’ai apprise.
Accord avec que mis pour dernière.

8/ Je pense que la première chose qui me soit arrivée est la meilleure chose qui me soit arrivée en Nouvelle-Zélande pour le moment.
Auxiliaire être, donc accord avec le sujet : qui mis pour première chose.
Me = COI, n’intervient pas dans l’accord.

9/ Une chose que tu as apprise grâce à ton voyage.
Accord correct.

Bonjour,
L’Académie dit : le verbe Être est trop souvent employé à la place du verbe Aller, qui doit toujours lui être préféré dans le sens de Se rendre (à), Rendre visite (à), de Convenir, ou de Se porter, Se comporter, Se conduire. »
(l n’y a donc pas toujours la notion de déplacement comme vous le voyez.)
On écrira donc : J’ignore pour quelle raison je suis allée chercher midi à quatorze heures.
(On doit supprimer « y » qui indique un lieu, mais le verbe aller n’indique pas ici de déplacement, donc un lieu à atteindre.)

Bonjour,
L’accord du participe passé formé avec avoir se fait avec le COD s’il est placé avant l’auxiliaire.
Vous recherchez donc le COD : les choses ont marqué QUI ? m’ mis pour une fille, placé avantl’auxilaire donc accord au féminin singulier.
Les choses m’ont marquée.

Bonjour,
Le véritable COD est « apprécier ses compétences », placé après le verbe, donc pas d’accord.

Bonjour,
Théoriquement l’adjectif possessif varie en personne avec le possesseur. On devrait donc écrire :dans une famille pour qui le mépris et la maltraitance font partie de son quotidien.
Mais la famille, le possesseur, forme un ensemble hétérogène comprenant les parents et les enfants. Pour cela, le recours au possessif singulier peut choquer.
Je pense qu’il ne faut pas utiliser de possessif dans cette phrase : dans une famille pour qui le mépris et la maltraitance font partie du quotidien.

Bonjour,
On écrira : qui fait partie du groupe ?
Mais : Marie fait-elle partie du groupe ? (= est-ce que Marie fait partie du groupe ?)
Donc : quelles personnes font partie du groupe ?
L’interrogation est construite à l’aide d’un pronom (qui), d’un adjectif interrogatif (quelles), d’une locution (est-ce que), de l’inversion sujet verbe ou d’un pronom de reprise (Marie fait-elle).