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Bonjour,
il convient de faire l’élision « de une » devient « d’une ».
L’expression « lui faire boire le bouillon d’onze heures » en est la démonstration.
Lorsque l’on évoque le cardinal un, il ne faut toutefois pas la faire : « De un à deux, il n’y a que un »- 1473 vues
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Bonsoir,
comme Joëlle, je ne vois pas l’intérêt de ce « jamais » dans votre phrase.
Si je le conservais, je ne conserverais pas en revanche le « ne », « jamais » se situant dans le temps de l’interrogatoire.
J’ajoute également qu’avec explication au singulier « une » est beaucoup plus approprié qu’un « d' », qui est l’élision d’un « des », marque du pluriel.
« elle continua de le questionner, sans qu’il lui fournît jamais une explication. » ou
« elle continua de le questionner, sans qu’il lui fournît jamais d’explications. »La première des deux ayant nettement ma préférence.
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Bonsoir,
il me semble que s’il s’en était tenu à la grammaire et au vocabulaire officiel, Georges Orwell aurait eu plus de peine à mettre de l’ambiance dans son roman.
Il faut ensuite accepter le « jugement » des lecteurs et de la critique.
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Bonsoir Cathy ( Si vous me permettez de vous appeler ainsi.)
Il existe une expression figée, synonyme d’organiser, planifier, construire etc.
Cette expression , c’est « mettre sur pied ».
Mettre en place a toujours pour vocation de signifier que l’on met à leur place des éléments (Acteurs, assiettes, ou éléments de décor, peu importe.) dans le but d’obtenir un résultat tangible (un but précis).
Nous pourrions effectivement ergoter longtemps, je trouve simplement antinomique la mise en place d’un départ sauf si dernier est clairement défini comme quelque chose de tangible et précis.
« J’ai aidé à mettre en place le départ de la course de dimanche » signifie pour moi que j’ai aidé à peindre la ligne blanche sur le sol , absolument pas que j’ai aidé les athlètes à s’élancer.
Toutefois la question de Lucavale, ne précise pas de quel type de départ il s’agit, difficile de trancher.
Excellente soirée.
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Bonjour,
Il est vrai que le masculin se rencontre peu. Sans doute parce que le substantif est plus usité que l’adjectif.
Ceci écrit, il existe encore, soyez rassurée.
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Bonjour,
la définition d’une expression figée étant très explicite, à savoir qu’elle ne peut pas être analysée sur la base du sens de chacun des termes qui la composent, je doute fort que « mise en place » puisse être considérée comme telle.
Et si je vous concède volontiers que l’Académie donne pour mettre en place la définition « disposer selon un arrangement déterminé ; installer, préparer dans un but précis. «
Je maintiens toutefois que « mise en place de ce départ ou mise en place pour ce départ » sont deux formulations incorrectes et antinomiques.Mettre en place, c’est figer quelque chose, que ce soit une procédure, un dressage de table, ou un décor de cinéma.
Que serait un départ figé ?
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Bonjour,
Effectivement,
« Elles s’en sont débarrassées » signifie : Elles ont débarrassé « elles-mêmes » de « en ».
Le sujet fait l’action sur lui-même, il faut accorder avec le sujet.
« Des robes? elles s’en sont acheté hier. » : « en est le COD, c’est un partitif neutre, donc pas accord.
Pas d’accord non plus avec le sujet qui ne fait pas une action sur lui-même., elle n’achètent pas « elle » ,mais « à elle »
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Bonsoir,
dans votre phrase, il n’y pas de réelle difficulté.
Le COD est placé avant le participé passé, il faut donc accorder avec le COD . Ces nouvelle ont causé (Quoi?->COD) une euphorie.
En revanche le sujet du verbe causer est les nouvelles il vous faut donc conjuguer à la 3e personne du pluriel.
« (Elle s’était endormie) après l’euphorie qu’avaient causée toutes ces nouvelles. «
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Bonjour,
la place idéale de l’adverbe se trouve au plus proche du verbe.
« Avez-vous eu finalement l’opportunité de vous rendre dans cet hôtel ? » ou
« Finalement, avez-vous eu l’opportunité de vous rendre dans cet hôtel ?
Cette place de l’adverbe pourrait être également : *Avez-vous eu l’opportunité de vous rendre finalement dans cet hôtel ? » mais elle n’est pas très « harmonieuse », l’opportunité étant le fait de « sauter sur l’occasion », « finalement » ayant le sens de la « fin d’une attente ».
Dans votre première phrase, la fin de l’attente, c’est l’opportunité saisie.
*Avez-vous eu l’opportunité de vous rendre facilement dans cet hôtel, en utilisant le téléphérique, ou avez-vous dû venir à pied par le sentier escarpé…. ? »serait une phrase parfaitement acceptable car l’adverbe qualifie ici le verbe rendre sans ambigüité.
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Bonjour,
pour ma part je n’accorde pas : ce que est un pronom relatif neutre.
En revanche, j’écrirais : « Cela me permet de dessiner la même chose que celle que j’ai déjà dessinée autrefois » et ici le pronom relatif reprend « celle » .
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