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Bonjour,
et je suis désolé d’aller à contre-courant de ce qui s’est écrit auparavant.
La seule formulation admise selon la règle est : Mon frère et mes sœurs, ou Mes frères et mes sœurs ou Ma sœur et mes frères, etc.
Je cite cet extrait de la Grammaire des grammaires Tome 1 page 344 et 345 :
Les adjectifs pronominaux possessifs se répètent :
1° avant chaque substantif; on doit dire : Mon père et ma mère sont venus ; MON père, Ma mère, MES frères et mes sœurs ont été en butte à la plus affreuse calomnie; et non pas, mes père et mère sont venus; mes père et mère, mes frères et sœurs ont été en butte, etc.
(Vaugelas, 513e Remarque. — Le P. Busfier, no 1027. – Wailly, page 189, et Lévizac, page 333, lome I.)2° Ils se répètent également avant les adjectifs qui ne qualifient pas un seul et même substantif : « Je lui ai montré mes beaux et mes vilains « habits. » Cette phrase équivaut à celle-ci : « Je lui ai montré mes beaux habits et mes vilains habits. »
Or, puisqu’il y a un substantif sous-entendu , il faut bien l’indiquer et le déterminer; cela ne peut se faire qu’en répétant le déterminatif « mes ».- 1475 vues
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Bonsoir,
Chacun(e) exclut formellement le pluriel.
« Chacun de nous aura sa chance. »
« Chacune d’elles est très belle. »« Je me promène dans des rues tortueuses qui assurent, en étoile, la liaison entre le centre de la ville et chacun de ses infimes quartiers, chacune de ses maisons, aussi périphérique soit-elle. » est la bonne orthographe si l’on ne tient compte que de la conjugaison. Mais je précise que périphérique a un sens quasi superlatif.
Un quartier ne peut pas être plus périphérique qu’un autre ; il peut être plus éloigné mais pas plus périphérique, la périphérie étant l’ensemble des points les plus éloignés du centre de l’espace pris en compte.
C’est pourquoi je formulerais plutôt la phrase de la manière suivante :
« Je me promène dans des rues tortueuses qui assurent, en étoile, la liaison entre le centre de la ville et chacun de ses infimes quartiers, chacune de ses maisons, aussi éloignée soit-elle. »
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Bonjour,
avec le pronom on, vous avez trois possibilités :
Vous énoncez une généralité :
« À cette époque-là, on était fait pour s’entendre si l’on jouait du même instrument. »
Vous parlez d’un groupe de personnes qui comprend au moins un élément masculin.
« Nous trois, on était faits pour s’entendre. »
Vous parlez d’un groupe de personnes féminines :
« Nous trois, on était faites pour s’entendre : les garçons en verraient de toutes les couleurs. »
Vous seul savez ce que « on » représente, c’est à vous d’accorder.
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Bonjour,
selon votre explication vous vous efforcez de répondre à une nécessité.
Hors dans votre phrase nécessite est un verbe conjugué auquel aucun pronom ne peut se référer.
Il faut faut écrire (par exemple) :
Cette pathologie nécessite la mise en œuvre de prestations et d’infrastructures adaptées : une équipe de spécialiste s’efforce de répondre à cette nécessité via une expertise.
ou encore
Cette pathologie nécessite la mise en œuvre de prestations et d’infrastructures adaptées et une expertise par une équipe de spécialistes s’efforce d’y répondre.D’autres formulations sont bien sûr possibles , mais à laquelle ou auxquelles ne peuvent en aucun cas reprendre le verbe nécessite.
Cette réponse a été acceptée par Trinity251. le 12 septembre 2022 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Vous noterez que dans votre récit, si toutes les autres formes de vie citées sont écrites avec une majuscule ( La Kra’Zek etc.), le fait d’écrire humain avec une majuscule peut se concevoir bien que les réponses précédentes soient parfaitement exactes.
Il vous faudra en revanche, être constant tout au long du récit avec l’orthographe que vous aurez choisie.- 1675 vues
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Bonjour,
Le subjonctif est ici le seul mode acceptable selon la règle.
Le subjonctif n’a pas pour unique raison d’être que d’exprimer le doute et son utilisation dans la subordonnée ne dépend pas que du fait qu’elle exprime un fait avéré.
Son utilisation est également requise après les verbe et locutions qui expriment un sentiment :« Je suis content que tu sois là » en est un exemple : « Je suis content », fait, « tu es là », fait et pourtant le subjonctif est requis.
Dans votre phrase : « Tout ce qui compte » est un sentiment, celui du locuteur. La seule formulation exacte est donc celle qui conjugue au subjonctif.
« Tout ce qui compte, c’est que tu sois là »
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Bonjour,
pour ma part la formulation : « Je rêve d’avantages pécuniaires dont a joui mon prédécesseur. » est un peu bancale.
Si le professeur a joui d’avantages connus, le « d' » n ‘a pas raison d’être.
« Je rêve des avantages pécuniaires dont a joui mon prédécesseur. » ou
« Je rêve d’avantages pécuniaires similaires à ceux dont a joui mon prédécesseur. »
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Bonjour,
Je trouve votre tournure inappropriée. Soit « et » a pour fonction de relier « parler » et « dire » et il vous faut écrire :
« Il faudrait que je lui parle et lui dise. »
Ou « et » relie « falloir » et « dire », ce qui semble être le cas de votre phrase, et il vous faut écrire :
« Il faudrait que je lui parle et alors je lui dirais. »- 738 vues
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Bonjour,
La répétition du déterminant, voire du prédéterminant que « tout » peut être, est nécessaire.
Que ce déterminant soit « tout » ou « chaque » importe peu.
Ceci n’alourdit pas la phrase, cela la rend simplement conforme à la syntaxe.
Chaque genre, chaque ethnie, chaque handicap et chaque morphologie sera représenté.
Tout genre, toute ethnie, tout handicap et toute morphologie est représenté.
Tous les genres, toutes les ethnies, tous les handicaps et toutes les morphologies sont représentés
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Bonjour,
Joëlle ayant répondu, je présise que le « et »devant « qui n’engendra » n’a pas raison d’être.- 770 vues
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