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Bonjour,
Aparté : l’usage du verbe conférer avec un sujet inanimé est rejeté par de nombreux grammairiens, ce qui semble logique au vu de son étymologie.
En ce qui concerne l’accord, Chambaron vous a répondu.
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Bonjour,
vos deux premières phrases signifient exactement la même chose et peuvent même être modifiées sans que cela change réellement quoi que ce soit à la demande « rejoins moi… »
-Après avoir mangé, rejoins-moi dans le salon.
-Quand tu auras fini de manger, rejoins-moi dans le salon.-Après avoir fini de manger, rejoins-moi dans le salon.
-Quand tu auras mangé, rejoins-moi dans le salon.La troisième est incorrecte, l’action de mangé s’est terminée dans le passé et sa suite immédiate « après que » a déjà eu lieu dans le passé.
-Après que tu as mangé, tu m’as rejoint dans le salon.
Vous pouvez utiliser la locution « dès que » qui elle signifie que l’action est encore en cours et que l’ordre doit être exécuté immédiatement après le fin du repas.
« Après avoir » et « quand » n’ont pas la même notion d’immédiateté
-Dès que tu as mangé, rejoins-moi dans le salon.
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Bonjour,
on peut également considérer que c’est le prix de la rentrée qui est léger.
Une rentrée à prix léger.
Une rentrée aux prix légers.
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Bonjour,
au lu de votre phrase, « nous » qui est COD et antéposé représente un pluriel de genre neutre.
L’accord est donc bien celui que vous avez écrit.- 390 vues
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Bonjour,
On peut fort bien se passer du subjonctif imparfait sauf à assumer d’en user à toutes les personnes.Le subjonctif présent suffit.
Qui écrirait aujourd’hui « Si les framboises étaient vertes et que nous les mangeassions, nous en serions bien ennuyés. » ?
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Bonsoir,
En Suisse ou ailleurs, ou ailleurs, le fait de qualifier quelqu’un du nom d’une maladie léthale est péjoratif.
« C’est une peste » ne peut être ni flatteur ni gentil.
C’est l’adjectif « petite » qui vient adoucir la locution, selon le contexte.
« Cette petite peste adorait faire souffrir les chatons » ou
« Cette petite peste aimait à taquiner son père en lui cachant son journal » ne donne pas la même image de l’enfant.- 197 vues
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Bonjour,
» Bien que » requiert le subjonctif.
Vous trouverez certes des exemples au conditionnel ou à l’indicatif dans la littérature, exemples qui justifieraient que l’on emploie ces modes sans aucun remord mais, ce qu’il faut en retenir c’est que le subjonctif n’est jamais fautif alors que les autres modes le sont dans 99 % des cas.
« L’accusé a été condamné bien qu’il n’y eût aucune preuve contre lui » respecte parfaitement les us de la concordance des temps, toutefois le subjonctif présent est accepté et correct.
« L’accusé a été condamné bien qu’il n’y ait aucune preuve contre lui »
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Bonjour,
C’est le « comme » qui vient préciser que ce qui suit n’est pas à prendre littéralement : il introduit, entre autre, une comparaison.
La Terre est ronde comme une orange -> la Terre n’est pas une orange. Sa forme est comparée à celle d’une orange.
Le « si » s’ajoute à comme pour introduire une proposition comparative : La Terre tourne autour du Soleil comme si elle dansait avec lui.
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Bonjour,
Le conditionnel après quand est impossible.
Quand signifie dès que ( Quand tu serais grande ??? )
Le futur après quand bien même n’est accepté que lorsque quand bien même signifie même quand.
« Tu resteras esclave quand bien même tu seras libérée ».
Si en revanche il amène une concession signifiant même si ( le cas le plus fréquent ), il est suivi du conditionnel.
« Tu traverseras facilement la rivière quand bien même tu ne saurais pas nager »
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