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Bonjour,
« Tu as pris l’ (cette femme) contre toi »
Le verbe prendre est ici transitif direct ; vous devez accorder.
« Tu as pris l’ (cette femme) contre toi » -> « Tu l’as simplement prise contre toi ? »- 130 vues
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Bonjour,
Non, vos deux phrases ne signifient pas la même chose et d’un point de vue grammatical, la seconde ne peut pas se substituer à la première.
La première conditionne l’achat au fait d’aller au marché.
La seconde liste deux actions hypothétiques avec une préséance mais absolument aucune condition.
Vous pouvez écrire : « J’aurais aimé cuisiner pour eux, je serais allé au marché, j’aurais acheté des tomates, j’aurais préparé une sauce, etc. »
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Bonjour,
En ce cas, la formulation la plus précise sera donc : « La variété rouge et la (variété) noire sont les meilleures ».
Vous ne pouvez pas vous passer de reprendre le substantif soit complètement soit par un pronom.- 179 vues
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Bonsoir,
Demain est le jour qui suit aujourd’hui et pas un autre jour.
Aujourd’jui, c’est lundi et demain je pars à Paris
Le lendemain est le jour qui suit, a suivi ou suivra un autre jour, préalablement explicité.
« Le 13 juillet 1789, la Bastille était un symbole de l’ordre. Le lendemain, c’était un tas de pierre. »- 374 vues
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Bonjour,
Vos accords sont corrects:. Ni fleurs, ni pays ne peuvent être COD de prévoir dans vos phrases. Ce qui est prévu c »est » de voir » ou » de visiter ».
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Entre deux propositions dont les sujets sont différents, le « ; » me semble plus appropié.
Avis personnel.- 166 vues
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Bonjour,
Pour faire simple :
Le verbe introducteur « soupçonner » commande l’indicatif -> « je soupçonne que tu es à l’origine de cette phrase »
La bonne formulation est donc (j’ajoute un contexte car votre exemple seul n’a pas de sens) : « Ils m’ont fait confiance bien que je soupçonne qu’ils m’ont pris pour un fou ».
Toutefois quelques grammaires, Grévisse notamment, mentionnent comme correct l’usage d’un subjonctif par attraction ; une complétive enchâssée dans une conjonctive dont le verbe est conjugué au subjonctif peut voir ainsi son verbe passer sans autre raison de l’indicatif au subjonctif.
« Ils m’ont fait confiance bien que je soupçonne qu’ils m’aient pris pour un fou » est donc considéré (abusivement?) comme une phrase correcte voire comme une phrase tenant du langage soutenu.
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Bonjour,
Pour la cohérence temporelle, si « se parler » est conjugué au passé composé alors ce qui se dit lors de cette conversation ne peut pas être conjugué au plus-que-parfait. « Hier soir, on s’est parlé au téléphone avant qu’il prenne son vol de retour. Victor a dit qu’il m’appellerait à 16 heures aujourd’hui, dès qu’il serait installé… »- 169 vues
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Bonjour,
C’est bien le verbe « faire » au sens plein ici ; on accorde donc avec le COD antéposé ( ils l’ont faite, c’est bien l’auxiliaire et pas le pronom dans ce cas)
Ce mythe fondateur alimente un récit historique national festif qui décrit comment les Européens ont découvert une nouvelle terre, l’ont faite leur et ont créé un pays.
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Bonjour,
Dans cette configuration de phrase, je n’accorde pas.
Cette formulation ne peut pas être considérée comme correcte si le substantif est précédé d’un déterminant (sauf si vous correspondez avec un Jedi vert et de petite taille)
« si des vacances vous avez eues. » ou « si les vacances vous avez eues », cela ne s’écrit pas.
Tout comme le pronom « en » commande le non-accord dans la phrase « des vacances, j’en ai pris » quand bien même « vacances » soit de genre féminin et de nombre pluriel,
l’absence de déterminant donne à vacances une valeur abstraite, partitive.- 142 vues
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