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Questions
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Bonjour Chambaron,
Je vous remercie de votre réponse, mais en fait, elle ne répond pas tout à fait à ma question… désolé, je n’ai peut-être pas été assez précis.
Dans un texte où le récit est rédigé au passé, les verbes des incises de narration sont au passé simple ou au passé composé.
Par exemple :
— Quand comptes-tu rentrer ? demanda-t-elle.
— Je n’ai aucune conviction politique, a-t-il déclaré.Mais peuvent-ils également être à l’imparfait pour exprimer la récurrence d’une action ? Je remets mon exemple :
— Regarde, Louise ! soufflait-il sans arrêt en attrapant le bras de son amie.
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Rebonjour Joelle,
À vrai dire, je n’en sais rien… pas plus tard qu’aujourd’hui, je suis tombé sur le passage suivant dans un des romans d’Elizabeth GEORGE :
— Merci d’avoir bien voulu nous recevoir, poursuivit la commissaire Ardery en faisant mine d’entrer.
Ce sans-gêne agaça tellement Rabiah qu’elle fut tentée de les laisser toutes les deux poireauter sur le paillasson.En l’occurrence, le sens est bien « s’apprêter à », non ?
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Bonjour,
Tout d’abord un grand merci à tous les deux pour vos réponses. 🙂
Joelle, c’est exactement avec ce genre d’exemple que vous donnez (« il a fait mine de partir ») – tout dépend bien sûr de la suite de la phrase – que j’ai cru constater un glissement sémantique ou, pour être plus exact, une deuxième acception de cette expression, sans pour autant parvenir à savoir si cette deuxième acception était correcte ou s’il s’agissait d’un abus de langage.
Prince, je vous invite à entrer « fit mine de partir » (sans « il » pour plus d’occurrences, mais avec les guillemets) dans Google et je pense que vous allez faire le même constat que moi.
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Je vous remercie de votre réponse, Tara… ça me convient bien comme façon de faire. 🙂
Orel
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