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Érudit
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  • Érudit Demandé le 3 avril 2021 dans Conjugaison

    Bonjour,

    Pour ma part, j’avoue que j’hésite également en ce qui concerne le temps dans la phrase suivante :

    « Depuis que l’inspecteur lui avait rapporté le récit des suspects, le commissaire avait le sentiment que les deux affaires se recoupaient. C’est pourquoi il voulait poursuivre son enquête en exploitant cette voie ! »

    C’est pourquoi ou c’était pourquoi ? L’action étant révolue et la narration au passé, la raison qui a motivé le commissaire est révolue aussi, non ? Maintenant, il ne veut plus poursuivre son enquêtes, les affaires en question étant à présetn résolues.

    ET vous, qu’en pensez-vous ?

    Quel est votre conseil, SVP ? Merci.

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  • Érudit Demandé le 21 décembre 2020 dans Question de langue

    J’avais penché pour le subjonctif « à l’oreille », même si, aux autres personnes, cela ne me satisfaisait pas… mais sans savoir comment le justifier. Merci  à vous  deux pour ces précieuses précisions.

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  • Érudit Demandé le 9 décembre 2020 dans Accords

    Oui, avec « ni », cela fonctionne, le pluriel vient aisément sous la « plume »…

    Mais si on ne le met pas et que l’on s’en tient à la version d’origine sans « ni », on est perplexe.

    Merci !

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  • Érudit Demandé le 9 décembre 2020 dans Conjugaison

    Le sujet c’est celui (ou ce sont ceux) qui font l’action , en l’occurrence « ils », sous-entendu les gens qui travaillent à La Poste.

    « le » est un pronom personnel complément d’objet direct, mis pour « le colis » (comme vous auriez eu « la » s’il se fût agi d’une lettre et non d’un colis)

    Il est peut-être préférable de s’en tenir à « elles » mis pour « les personnes », même si cet effet de style est relativement courant, car l’erreur semble involontaire.

    « Les personnes de la Poste n’ont pas trouvé mon colis et ont pris mon numéro de téléphone pour me recontacter si éventuellement elles le trouvent »
    « Les personnes de la Poste n’ont pas trouvé ma lettre et ont pris mon numéro de téléphone pour me recontacter si éventuellement elles la trouvent »
    « Les personnes de la Poste n’ont pas trouvé mes colis postaux et ont pris mon numéro de téléphone pour me recontacter si éventuellement elles les trouvent »
    « Les personnes de la Poste n’ont pas trouvé mes lettres recommandées et ont pris mon numéro de téléphone pour me recontacter si éventuellement elles les trouvent »

    Cette réponse a été acceptée par Eraskm. le 9 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Érudit Demandé le 9 décembre 2020 dans Accords

    Avec « les objets ».

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  • Érudit Demandé le 8 décembre 2020 dans Accords

    https://www.cordial.fr/dictionnaire/definition/brut-adverbe.php

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  • Érudit Demandé le 4 décembre 2020 dans Question de langue

    C’est sur l’usage du conditionnel présent ou passé que j’avais un doute, probablement de par le fait que je pratique quotidiennement la langue italienne où c’est le conditionnel passé qui est de rigueur dans la subordonnée si la principale est au passé. Par conséquent, il me vient parfois ce genre d’hésitation en français, simple effet de transposition d’une langue à l’autre sans doute. Coup de fatigue ?

    Merci !

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  • Érudit Demandé le 4 décembre 2020 dans Général

    Pas de virgule après « aussi » dans ce type d’expression. Néanmoins, dans le cas de la phrase citée, la virgule après « aussi » est obligatoire parce qu’il y en a une après « hésitant », l’une ne va pas sans l’autre. Les deux encadrent une proposition mise en apposition apportant un complément d’information qui pourrait être placé ailleurs :
    « Voyant que l’acheteur se montre hésitant, le vendeur lui promet monts et merveilles. »
    « L’acheteur se montre hésitant, aussi le vendeur lui promet-il monts et merveilles. »

    En ce qui concerne votre hésitation après avoir vu ce que dit la BDL, quelques précisions :

    • Quand le second mot est un ADJECTIF (orangé) venant qualifier un NOM de couleur (un/le jaune)

    Ici, le mot « jaune » est ici un substantif. L’ensemble « jaune orangé » est constitué d’un nom commun [déterminé par un article] (un/le jaune, des/les jaunes) suivi d’un adjectif variable (ici : oran/orangés) ; l’ensemble est donc variable comme le sont tous les noms communs suivis d’un adjectif qualificatif :  un/le jaune orangé, des/les jaunes orangés    
    On pourrait avoir, par exemple : un blanc bleuté/des blancs bleutés, un rose pâle/des roses pâles, un rouge foncé/des rouges foncés

    Quand le même mot composé (jaune orangé, blanc bleuté, rouge foncé, etc.), considéré dans sa totalité, vient qualifier un substantif (ici : tissu, peinture,  pull,  etc. ), il est invariable.
    un tissu jaune orangé, des tissus jaune orangé, une peinture jaune orangé, des peintures jaune orangé ; un pull rose pâle/des pulls rose pâle ; une porcelaine blanc bleuté/des porcelaines blanc bleuté ; un pantalon rouge foncé/des pantalons rouge foncé

    • Quand le second mot est un SUBSTANTIF (saumon, citron… nom d’animal, de plante, d’objet, etc.)

    un rose saumon, des roses saumon        (roses/roses saumon est ici un substantif)
    mais :  un tissu rose saumon, des tissus rose saumon   (rose saumon, couleur composée, est invariable)

    un jaune citron, des jaunes citron        (substantif)
    mais un tissu jaune citron, des tissus jaune citron    (couleur composée)

    un bleu ciel, des bleus ciel       (substantif)
    mais un tissu bleu ciel, des tissus bleu ciel   (couleur composée)

    un rouge sang, des rouges sang      (substantif)
    mais un tissu rouge sang, des tissus rouge sang (couleur composée)

    Cas des mots tels que les noms de plantes, de fleurs, d’objet, etc.)
    Sont invariables des mots tels que noisette, lilas, orange, marron, champagne, abricot, or, argent, azur, caramel, chocolat, brique…
    des yeux noisette (couleur de noisette), une étoffe lilas (couleur de lilas), des chemises orange (couleur d’orange), des boîtes marron (couleur de marron)
    (font exception : rose, incarnat, écarlate, fauve, pourpre, vermeil qui, eux, prennent la marque du pluriel)

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