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Bonjour,
elle me conquit = passé simple ; et au présent, c’est bien conquiert (mais c’est vrai que ce n’est pas très usité 🙂 )
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Bonjour,
Les deux formulations sont possibles :
vision distributive (chaque enfant a un cœur) = le cœur des enfants.
vision collective (plusieurs enfants, donc plusieurs cœurs) = les cœurs des enfants.Cette réponse a été acceptée par Valita. le 6 février 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Je suis d’accord. On aurait leur si les deux substantifs désignaient la même réalité : ils avaient rendez-vous avec Paul, leur oncle et frère.
Et en l’occurrence, il vaudrait mieux répéter le possessif, dans la mesure où motivation et intérêt ne forment pas vraiment un tout : Leur motivation et leur intérêt pour ce type d’activité sont généralement importants.
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Bonjour,
Avec un participe passé suivi d’un infinitif, il y a deux cas différents :
1- l’infinitif n’est pas précédé d’une préposition
C’est la règle rappelée par Prince : le participe passé […] s’accorde avec le C.O.D. qui précède quand l’être ou l’objet désignés par ce complément font l’action exprimée par l’infinitif.
2- l’infinitif est précédé d’une préposition
Il faut voir si le COD antéposé est COD du verbe conjugué (on accorde), ou COD de l’infinitif (on n’accorde pas) :
Prier quelqu’un de faire quelque chose
Quelqu’un est COD de prier : on fait l’accord.Ils ont prié la directrice de bien vouloir les rencontrer.
La directrice qu’ils ont priée de bien vouloir les rencontrer.Demander à voir quelqu’un / quelque chose
Quelqu’un / quelque chose est COD de voir (ou du bloc demander à voir) : on ne fait pas l’accord.Ils ont demandé à rencontrer la directrice.
La directrice qu’ils ont demandé à rencontrer.Dans la phrase objet de la demande, nous est COD de aider et non de faire, par conséquent on fait l’accord.
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Bonjour,
Le sujet est son vécu, c’est un sujet singulier, par conséquent le verbe se met au singulier.
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Bonjour,
1. Si c’est la phrase exclamative, Tu te rends compte !, sinon, Tu t’en rends compte.
J’ai gagné au loto, tu te rends compte ! ≈ C’est dingue ! / C’est pas croyable ! / Tu imagines ! / etc.
J’ai gagné au loto, tu t’en rends compte ? = Tu réalises que j’ai gagné au loto ?2. rétribué de, le complément doit en effet être précédé d’une préposition, voir par exemple le TLFi :
[+ compl. prép. indiquant la nature du paiement, de l’avantage, les modalités du paiement]
(Souligné et graissé par moi.)3. Plutôt ce en quoi (mais ce dans quoi est également possible – et dans d’autres constructions, dans sera meilleur, voire seul possible), mais dans cette phrase, il y a un problème de construction : ce en quoi a pour antécédent Jean s’efforçait d’inculquer les secrets du métier, la reprise n’est possible qu’avec Jean.
Là, ça donne : À Marc, Jean s’efforçait d’inculquer les secrets du métier, ce fils se montrait vertueux en s’efforçant d’inculquer les secret du métier à son fils / à Marc / à lui-même, ce qui ne veut évidemment rien dire.
S’il s’agit de dire que Marc est vertueux dans ce métier (peut-être un peu bizarre, d’ailleurs, mais pourquoi pas) :
À Marc, Jean s’efforçait d’inculquer les secrets du métier, métier dans lequel ce fils se montrait vertueux (mais c’est un style bien lourd).
Cette réponse a été acceptée par Marisa. le 5 février 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Prince, trois choses :
1) L’arrêté Haby n’a aucune portée générale, puisqu’il s’adresse uniquement aux correcteurs / enseignants de l’Education nationale, et les invite à ne pas sanctionner les candidats/élèves dans un certain nombre de cas, je cite cet arrêté :
Dans les examens ou concours dépendant du ministère de l’éducation et sanctionnant les étapes de la scolarité élémentaire et de la scolarité secondaire, qu’il s’agisse ou non d’épreuves spéciales d’orthographe, il ne sera pas compté de fautes aux candidats dans les cas visés ci-dessous.
2) Concernant l’accord de on, l’arrêté est en effet plutôt mal rédigé, qui ne semble pas faire la différence entre les différentes valeurs de on, et qui d’après l’exemple donné semble ne rien dire de plus que ce que l’on trouve dans le TLFi ou n’importe quel autre ouvrage linguistique consacré à cette question, soit que l’accord sylleptique en nombre est possible (mais facultatif) lorsque on est personnel et non indéfini.
3) Dans sa pub, Bouygues joue évidemment sur la double valeur (indéfinie et personnelle) du on, le non accord parait donc particulièrement justifié en l’espèce, le faire ferait perdre nettement de poids (tout son poids en fait) à la pub.
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ABDELKADER a dit : Maintenant que vous savez tout, dites-moi si vous pensez que c’est une faute ou pas de la part de Bouygues ?
Non, je pense que ce n’est pas une faute, bien au contraire.
Sans plus de contexte, les deux interprétations sont défendables :
– c’est un énoncé spécifique, avec un on qui désigne Bouygues et ses abonnés, autrement dit un groupe déterminé/déterminable, l’accord serait attendu (mais on a vu que même dans ces cas-là, le non accord est possible).
– C’est un énoncé général avec un on qui désigne les humains (Les humains, c’est fait pour être ensemble), et Bouygues de dire quelque chose comme : nous aidons à réaliser cet « être ensemble » qui fait partie de la nature humaine.Si on regarde leur pub, il me semble faire peu de doute que c’est la deuxième interprétation qui vaut.
(Et évidemment, ils jouent sur l’ambiguïté de l’énoncé.)
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Bonjour,
Soso a dit : On écrit » je dois » ou « je devais » ?
Si se rendre dans les services administratifs n’a pas encore eu lieu, que c’ est donc un événement futur, les deux sont possibles, mais je devais est la concordance sans doute la plus courante et la plus acceptée.
Si se rendre dans les services administratifs est un évènement passé, seul je devais est possible.
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Bonsoir,
Ici, laisser est à l’infinitif : L’hôpital qui les accueille refuse de garder le corps du défunt et exige un permis de transport funéraire pour les laisser partir.
Cette réponse a été acceptée par Nanou2000. le 4 février 2020 Vous avez gagné 15 points.
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