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Re-bonjour, 🙂
On dit : Elle se les est fait enlever.
On met l’auxiliaire être parce que se faire est un verbe pronominal (les pronominaux se conjuguent toujours avec l’auxiliaire être).
Pas de s’ puisque le pronom réfléchi est déjà mis après elle : Elle se les…
Et fait puisque fait suivi d’un infinitif reste toujours invariable.
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Bonjour,
Oui, on peut dire Tu t’en vas ?
De façon moins familière on dira : Est-ce que tu t’en vas ?
Et de façon soutenue :T’en vas-tu ?On met un s (c’est l’indicatif présent).
S’en aller est une locution verbale, et le en y a de nos jours quasi perdu sa signification ; à l’origine, il renvoie à quelque chose comme de ce lieu : Tu vas hors de ce lieu.
Cette réponse a été acceptée par saperkilowatt. le 17 février 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Dans la phrase de Doyle telle qu’elle est donnée ici, donc sans plus de contexte, on peut comprendre que les deux propositions sont sur le même plan narratif, auquel cas le présent serait en effet incorrect.
Si on se réfère au contexte, on voit que la première proposition est narrative (on rapporte les mésaventures passées de Wood piqué par une méduse), alors que la deuxième proposition est – ainsi que l’a indiqué Tara – un commentaire (au présent = dans l’ici et maintenant du récit) du narrateur (qui en l’occurrence n’est pas hors du récit, mais ça ne change pas grand-chose en l’espèce).
On pourrait avoir :
Il avala une bouteille entière de cognac, qui je crois bien lui a sauvé / sauva la vie.- 1264 vues
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Bonjour,
On peut voir une réponse par exemple ici.
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Bonjour, 🙂
On peut lire ici un avis sur la question ; au paragraphe L’adverbe de perspective même dans la proposition négative.
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Ces phrases sont potentiellement ambiguës si le contexte ne permet pas une interprétation unique.
Contextes non ambigus :
Je promène le chien de Jean qui est écrivain.
Je promène le chien de Jean, qui est écrivain.Je promène le chien de Jean qui est un épagneul.
Je promène le chien de Jean, qui est un épagneul.Contexte ambigu :
Je promène le chien de Jean(,) qui est malade.On pourrait désambiguïser si on avait l’un des deux protagonistes féminin :
Je promène le chien de Jeanne(,) qui est malade // laquelle est malade / lequel est malade.
La seule règle, c’est que l’épithète qui qualifie scène n’est pas mobile*, contrairement à celle qui qualifie le sujet de la proposition.
Avec un masculin, pour mieux faire apparaître l’opposition.
Il a dansé nu sur la scène.
Il a dansé nu sur la scène nue.
Il a dansé nu sur la scène, nue
Il a dansé, nu, sur la scène.
Il a dansé, nu, sur la scène nue.
Il a dansé, nu, sur la scène, nue.
Nu, il a dansé sur la scène.
Nu, il a dansé sur la scène nue.
Nu, il a dansé sur la scène, nue.
Il a dansé sur la scène, nu.
Il a dansé sur la scène nue.
Il a dansé sur la scène, nue.
Il a dansé sur la scène nue, nu.En espérant avoir été exhaustif, ce qui n’est pas assuré.
* Et encore, sur ce point, voir le paragraphe 334 de Grevisse : Épithètes détachées et clarté de l’expression, dont voici un tout petit extrait :
Pour la clarté de l’expression, il est souhaitable que l’épithète (notamment le participe, auquel on peut joindre le gérondif) placée au début de la phrase (ou de la proposition) se rapporte au sujet de cette phrase (ou de cette proposition).
[…]
Il faut cependant reconnaitre que l’usage des auteurs […] prend beaucoup de liberté avec la règle qui vient d’être donnée.- 2107 vues
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Prince, joli bottage en touche. 😉
Difficile de trouver quelque chose sur ce point (peut-être dans le BU, mais je n’y ai pas accès).
Dans parler français, toutefois :La majorité des élèves de cette école pratique ou pratiquent un sport, mais La majorité des députés sont des hommes (à cause de l’attribut pluriel)
La moitié des intervenants a plus de quarante ans mais La moitié des intervenants sont des hommes (à cause de l’attribut pluriel des hommes).
(La mise en valeur des parenthèses est de moi.)Je pense qu’il faut faire la différence entre adjectif et substantif non déterminé attributs d’une part, et substantif déterminé attribut, d’autre part.
Dans le premier cas, l’accord avec la fraction n’est pas impossible (même si sans doute moins fréquent qu’avec le complément), dans le second l’accord ne peut se faire qu’avec le complément. C’est le cas de la phrase de Fifi, je dirais donc que l’accord doit obligatoirement se faire au pluriel, avec des élèves de première année.La moitié des spectateurs étaient des élèves de première année.
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Bonsoir,
Faire croyant n’est pas absolument faux, mais – au moins en français moderne – infiniment moins courant que rendre croyant.
Si on ajoute devenir, ça devient usuel : faire devenir croyant.- 1094 vues
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traiter peut se construire soit directement, soit indirectement :
directement = traiter quelque chose
indirectement = traiter de quelque choseDans ta phrase, le dont indique qu’il s’agit de la construction indirecte : traité de, le complément est donc COI, par conséquent on ne fait pas l’accord.
On aurait accordé, si à la place de dont il y avait eu que :
Les sujets politiques que cette chanteuse a traités semblaient intéressants.
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Le choix est entre le féminin singulier et le masculin pluriel ; dans la mesure où ce qui est emprunté, c’est plutôt les genres que la diversité, j’accorderais au masculin pluriel :
La diversité des genres qu’a empruntés la philosophie française.- 1209 vues
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