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Bonjour,
Contrairement à Prince, et en accord avec Tara je dirais que les deux sont possibles, néanmoins, la forme avec le possessif me semble plus fréquente (sans que je ressente plus d’émotion avec celle-ci qu’avec la forme avec l’article défini).
Ce sentiment semble conforté par ce ngram et par le fait que ces dictionnaires – TLFi, Académie, Usito, Robert en ligne – donnent la forme avec le possessif : prendre dans ses bras et non prendre dans les bras (mais encore une fois la forme avec le défini se trouve, et facilement).- 887 vues
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Bonjour,
Selon moi, on a ici une subordonnée conjonctive de comparaison (elliptique, puisque le verbe n’est pas exprimé) et que est donc une conjonction de subordination.
Le roman-fleuve est donc tout autre chose que (ne serait) la survivance, au cœur du xxe siècle, d’un projet naturaliste désuet.
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Bonjour,
Il y a en effet des cas où le participe d’un verbe pronominal s’accorde avec le sujet, mais ce n’est pas le cas en l’espèce.
On débarrasse quelqu’un de quelque chose, par conséquent le pronom réfléchi du verbe pronominal a la fonction de COD. On applique alors la règle classique de l’accord du participe passé avec le COD : l’accord se fait quand le COD est placé avant l’auxiliaire.
Ici, se mis pour elle est placé avant le COD > Le livre dont elle s’est débarrassée.- 1033 vues
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Bonjour,
Je n’ai pas corrigé les phrases est très bien.
(La proposition de Prince n’est sans doute pas fausse, mais je la trouve peu naturelle.)
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Bonjour,
À mon sens, il y a incompatibilité entre les deux termes, puisque la pâmoison, c’est l’évanouissement, autrement dit la perte de contrôle. Or, le fait de s’étendre nécessite le contrôle, contrairement au fait de tomber.
Ainsi, autant on peut tomber évanoui, autant il me parait difficile de s’étendre évanoui et parallèlement, on peut tomber en pâmoison, mais non s’étendre en pâmoison.
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Bonjour,
On conjure quelqu’un de faire quelque chose, le pronom personnel est construit directement, il s’agit donc un COD, le pronom COD est le > Je le conjure de tout arrêter.
Lui est pronom COI. Exemple avec un pronom COI : demander à quelqu’un de faire quelque chose >Je lui demande de tout arrêter.
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Bonjour,
La deuxième phrase, avec un futur > Si vous avez besoin de mes services pour la prochaine session, je serai disponible les matins.
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Fumée + cigarette > cigarette peut se mettre aussi bien au singulier qu’au pluriel, et ce quel quel soit le nombre de fumée :
Fumée(s) de cigarette = vision massive
La / les fumée(s) émise(s) par la cigarette, où cigarette est considérée non comme le petit cylindre individuel que l’on fume, mais comme une substance (autrement dit de façon massive plutôt que comptable – comme on dirait de la confiture à la fraise / confiture de fraise [vision massive], plutôt que de la confiture aux fraises / confiture de fraises [vision comptable]).
Dans ce cas, si le complément du nom est formé avec la préposition de, il est construit sans article, qualifié d’article zéro. (En revanche, avec une autre préposition que de, l’article apparait bien : confiture à la fraise / confiture de fraise.)
Fumée(s) de cigarettes = vision comptable
La / les fumée(s) émise(s) par des cigarettes, cette fois, cigarette n’est plus considéré comme une substance, mais comme l’objet discret.
Dans ce cas, contrairement aux apparences, on n’est pas en présence d’un article zéro, mais d’un article indéfini contracté. En effet, quand la préposition de précède l’article indéfini pluriel, plutôt que de se retrouver avec cette construction : la fumée de des cigarettes, on procède à une contraction de l’ensemble qui donne la fumée de cigarettes.
On peut appliquer le même raisonnement à fumée(s) de voiture(s) (bien que l’on parlerait plus couramment de gaz d’échappement). (Avec le singulier qui donne une vision abstraite / catégorique (comme on dit L’homme est un mammifère) et le pluriel, une vision concrète / spécifique = les voitures présentent dans la situation.)
En revanche, fumée(s) de nourriture me parait, comme à d’autres intervenants, un peu suspect. Si toutefois, on l’acceptait, seule la forme avec nourriture au singulier serait recevable :
La nourriture dégageait des fumées / de la fumée.
??? Les nourritures dégageaient des fumées / de la fumée.
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Bonjour,
Selon l’approche traditionnelle, ces compléments sont en effet des CC, selon la nouvelle grammaire, ce sont des compléments de verbe (pour une typologie plus raffinée, voir par exemple ici).
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Bonjour,
Les deux accords sont possibles, le singulier étant le plus fréquent (voir par exemple ici).
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