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Bonjour,
Merci de vos réponses. 🙂J’hésite donc à garder le subjonctif présent qui est « incorrect » mais « toléré » (et encore… pas par tout le monde) et la reformulation de la phrase.
- Mais en vérité, il se retira à Kara-Tur pour y enterrer son seul véritable amour, Tamoko la guerrière. Il n’en revint jamais, bien que les légendes persistent.
- Mais en vérité, il se retira à Kara-Tur pour y enterrer son seul véritable amour : Tamoko la guerrière. Il n’en serait jamais revenu… Aujourd’hui encore, les légendes persistent.
- Mais en vérité, il se retira à Kara-Tur pour y enterrer son seul véritable amour : Tamoko la guerrière. D’après ce que l’on sait… jamais il n’en serait revenu. Aujourd’hui encore, les légendes persistent.
Je pense, malgré tout, conserver la première qui est plus proche de la version anglaise ainsi que de la traduction originale (et dans le but de perturber le moins possible le lecteur, je tiens à garder, autant que faire se peut, la version du premier traducteur).
Ce qui est bien c’est que j’apprends plein de choses ici en plus de la question de base qui avait été posée. Je ne savais pas qu’il n’était pas possible de détacher une subordonnée après un point.
À ce sujet, en faisant quelques recherches j’ai trouvé ceci :
Lorsque la proposition subordonnée suit l’autre, il est toujours possible de l’isoler complètement en la faisant précéder d’un point : cela produit un effet de style un peu hardi mais qui peut être bienvenu :-
- de type rupture :
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- Les diplomates espéraient encore trouver un accord de paix viable. Quand l’ennemi décida d’attaquer.
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- de type rupture :
Je ne prétends pas qu’ils aient tort ou raison. Cela reste toutefois intrigant et fait peut-être partie des sujets à débat ?
En tout cas, même si la subordonnée est isolée par un point elle n’en reste pas moins liée à la principale et cela ne permet donc pas de contourner le problème (Chose que je souhaitais faire).- 2510 vues
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