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Je ne serais pas aussi catégorique, d’après moi dans votre contexte le choix est libre : vous pouvez considérer ci-joint comme adverbe, ou comme adjectif qualifiant la facture.
C’est en tout cas ce qu’indique le site du projet Voltaire : https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/ci-joint-la-facture-ou-ci-jointe-la-facture/- 19335 vues
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Bonjour,
Il n’y a pas de « t », le participe passé de subir est bien subi : – Cet échec, je l’ai subi de plein fouet.
Si vous doutez, c’est probablement parce que « subit » existe également, dans un contexte différent : en tant qu’adjectif, dans un sens proche de soudain.
On voit donc passer des termes comme « la mort subite », « un orage subit ». Il faut simplement éviter la confusion avec le participe passé (qu’on peut aussi rencontrer comme adjectif, « les échecs subis lors de l’épreuve m’ont mis le moral en berne »).- 1192 vues
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Je me permets de redire des choses déjà évoquées.
Nous avons en effet besoin de plus de contexte pour pouvoir répondre avec certitude, puisqu’il nous faut déterminer ce qui est fondu, du verre ou de la bouteille.Parler de « bouteille de verre fondue », c’est parler d’une bouteille de verre classique, qui aurait la propriété d’être fondue. Une bouteille au design particulier, qui lui donnerait un aspect « fondu » (personnellement j’imagine une bouteille aplatie, aux formes irrégulières), serait une bouteille de verre fondue. Si vous tombez sur une bouteille de vin endommagée par une forte chaleur, ou même sur la flaque résultant de la fonte totale de cette bouteille, vous pouvez en dire que c’est une bouteille de verre fondue.
Une « bouteille de verre fondu », serait une bouteille dont le matériau constituant ne serait ni du plastique, ni du métal, ni simplement du verre, mais du verre fondu. Qu’est-ce que le verre fondu ? Je ne suis pas sûr de la réponse. Pour autant que je sache, dans le travail qui mène à la conception d’une bouteille, il y a une toujours une fonte qui permet de lui donner forme, alors parler d’une bouteille de verre fondu, c’est un peu comme parler d’un verre d’eau mouillée, pas très judicieux.
Cependant je peux envisager des cas particuliers : dans l’artisanat, il y a des gens qui font des objets tout en verre, oserai-je dire à la main (je pense aux artisans de Murano qui fabriquent des objets en direct, devant les touristes), qui peuvent être des bouteilles, et pour accentuer sur la fabrication et non sur l’objet, j’ai déjà entendu parler « d’objets de verre fondu ». Cette construction est-elle légitime, je n’en sais rien, mais si elle existe en pratique alors on peut l’écrire, n’est-ce pas ?
Un peu plus perché, si une bouteille de verre peut être conçue sans fusion (personnellement je vois ça dans le contexte fictif où certaines bouteilles poussent sur les arbres, mais c’est vous qui connaissez la situation), une bouteille de verre fondu peut être définie par opposition à une bouteille de verre non fondu. Pour être plus réaliste, s’il y a différents degrés de fusion possibles dans le processus de fabrication, j’imagine qu’on pourrait avoir des bouteilles de verre fondu ou de bouteilles de verre semi-fondu, ou d’autres exemples similaires qui rendraient l’adjectif « fondu » pertinent.- 993 vues
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Bonjour,
La difficulté me semble être de savoir s’il faut ou non dire « une enfant » au sujet d’une fille, alors qu’on voit parfois un déterminant au masculin quel que soit le genre.
Je ne sais pas s’il est strictement incorrect d’écrire « lesquels », mais pour répondre directement à la question, on peut utiliser votre proposition, de la même manière qu’on pourrait écrire « elle côtoie une enfant avec laquelle elle a créé des liens d’amitié ».PS: « elle a créé » ou « elle crée ».
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Bonjour Demoulin,
Je vois deux interprétations possibles à la question, peut-être que je me montre un peu rigide mais je pense utile de faire la chasse aux confusions.
1) Les points de suspension sont un moyen pour vous de dire que la phrase n’est pas terminée, la citation pourrait être
– Tous les Terriens ne sont pas stupides ! et si tu leur envoies un message, certains comprendront forcément nos intentions.
– Tous les Terriens ne sont pas stupides ! et si tu leur envoyais un message, certains comprendraient forcément nos intentions.
Dans ce cas, je vois ça comme des hypothèses aux sens relativement proches. Je laisse à d’autres l’explication de la différence sémantique entre les deux (personnellement j’ai toujours été imperméable à la notion de « force » d’une hypothèse qu’on a voulu m’apprendre à l’école).
2) La citation exacte est :
– Tous les Terriens ne sont pas stupides ! Et si nous leur envoyons un message comme un conseil…
– Tous les Terriens ne sont pas stupides ! Et si nous leur envoyions un message comme un conseil….
Auquel cas les deux propositions n’ont à mes yeux rien à voir.
Pour la première je comprends « Et comme nous leur envoyons un message de type conseil… », avec les points de suspension qui servent à sous-entendre que mon interlocuteur et moi connaissons tous deux les conséquences de l’envoi du message. On est proche d’un constat, le message peut très bien déjà avoir été envoyé, et les Martiens qui sont en train de discuter seraient en train de comprendre les conséquences de leurs actions : Tous les Terriens ne sont pas stupides, vu que nous leur avons envoyé un message, ils finiront par comprendre que les Martiens existent bel et bien.
Pour la deuxième, ce serait une proposition, je recommande, par exemple au sein d’une réunion, d’envoyer un message aux Terriens.PS : Puisque je trouve l’exemple propice à un cadre de science-fiction, je me permets de supposer qu’on parle peut-être de Terriens (avec une majuscule (attrape-moi si tu peux, Benezet)) en tant qu’habitants de la Terre, et non de terriens dans le sens lié à « propriétaire terrien », ou « personne des terres (par opposition avec la mer) ».
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Bonjour,
Je déterre un sujet, mais j’aimerais que nous y réfléchissions à nouveau parce qu’intuitivement je suis en désaccord avec la réponse validée et que personne n’a à mon sens fourni d’argument suffisamment convaincant d’un côté ou de l’autre (peut-être Danniello qui a l’air sûr de lui, mais je ne suis pas sûr d’avoir compris l’explication : pour moi il ne s’agit ni d’une démonstration ni d’un avis personnel, plutôt d’une « hypothèse » (même si comme Isabelle j’ai du mal à faire rentrer la phrase dans la catégorie des hypothèses)).Personnellement, j’aurais considéré le conditionnel comme le seul temps à employer, mais à mon tour j’ai du mal à me justifier.
Mon opinion sur le sujet, au milieu de toutes les vôtres :
Au conditionnel, je sous-entends « si je devais décrire ce sentiment, j’utiliserais le terme de ‘trouble' ».
Au futur, pour moi il s’agit d’une affirmation : « à l’avenir, j’utiliserai le terme de ‘trouble’ dans les situations où je décrirai ce sentiment » (et j’attends que ces situations arrivent concrètement).Pour moi, c’est la même situation que si je dis « je ne ferais pas ça » pour vous conseiller de ne pas appuyer sur le bouton rouge, ou si je dis « je ne ferai pas ça » pour rassurer mon supérieur quand il m’intime de ne pas appuyer sur le bouton rouge : l’un exprime vraiment le futur.
Partagez-vous mon sentiment, et, surtout, quelqu’un saura-t-il nous convaincre avec une justification propre (peut-être avec des jolies sources, je ne suis pas doué pour en trouver) ?
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Je n’ai pas la possibilité de discuter en commentaire à cause de mon statut « débutant », désolé d’avance.
Je suis confiant sur le fait que « être d’ascendance italienne » signifie « avoir des origines italiennes », je peux prendre comme source le Robert en ligne pour ascendance : Ligne généalogique par laquelle on remonte de l’enfant aux parents, aux grands-parents ; ensemble des générations dont est issu qqn. Ex: Il est d’ascendance bretonne.
J’avoue que cette définition du Larousse comme premier sens du mot « descendance » m’a surpris, Prince, parce que je trouve étonnant de considérer « descendance » comme un « fait », et je n’avais jamais vu l’expression « prouver sa descendance » comme « prouver que je descends d’untel ».
Il y a probablement une distinction à faire, ceci dit, entre « prouver une descendance » et « être de descendance », d’après moi si je suis de descendance italienne c’est que ma « descendance », au sens « la lignée des personnes qui descendent de moi », (ce sens existe-t-il, je n’en suis pas certain) est italienne.- 1268 vues
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Bonjour,
Je ne suis pas d’accord avec Prince, pour moi on dit « Il est d’ascendance italienne », parce qu’il est issu d’ancêtres (les « ascendants ») qui sont italiens.La question de « de descendance » me turlupine un peu, probablement parce que je n’ai jamais entendu cette forme, mais en théorie, s’il a des petits-enfants à moitié italiens, il est « de descendance en partie italienne », n’est-ce pas ?
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C’est correct, « Les conseils qu’il a suivis », parce que le « qu’ » est COD et placé avant le verbe conjugué.
Avec l’auxiliaire avoir la règle est plutôt basique, à moins que je ne n’oublie des cas spécifiques : s’il y a un COD et qu’il est positionné avant le verbe conjugué tu accordes le participe passé avec le COD, sinon tu n’accordes pas.
Tester à l’oral un truc du genre « la chemise que tu as prise » ça peut te sauver en cas de doute dans le futur.- 1026 vues
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Bonjour,
Je me posais une question similaire, à propos de « soit », même si je suppose qu’il n’y a rien de strictement incorrect.
Mettons que je dise : « Il faudrait qu’il soit soit ivre, soit désespéré pour poser une telle question. »
Est-ce qu’on trouvera ma répétition de « soit » maladroite ?
Aussi, est-ce que le constat serait différent si j’utilisais un autre homophone de « soit », par exemple « Je suis étonné que cette répétition, en soi soit violente à l’oreille soit amusante à l’écrit, ne m’ait pas turlupiné plus tôt. » ?
En clair, est-ce qu’il y a des bonnes pratiques sur l’utilisation des homophones/homographes côte-à-côte ?
Moi j’aurais considéré « en en mangeant sauvagement » comme tout à fait correct, alors que je trouve mon « soit soit ivre » plutôt désagréable à regarder.
Qu’en pensez-vous ?- 5645 vues
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