Bonjour,

Quand vous mettez « on » au féminin, vous entendez l’accord : On était faites pour s’entendre.

Donc oui, il faut mettre un « s » : On était faits pour s’entendre.

Bonjour

« Mon raisonnement :

L’expertise d’une équipe de spécialistes répond à la nécessité de mise en oeuvre de prestations et d’infrastuctures adaptées –> d’où « à laquelle ».

Selon moi, la façon dont vous avez rédigé votre raisonnement ne lève pas l’ambiguïté :

• Si l’expertise d’une équipe de spécialistes répond à la fois à la nécessité de mise en oeuvre de prestations ET à la nécessité d’infrastructures adaptées, alors dans votre formulation, il faut utiliser auxquelles :

–> Cette pathologie nécessite la mise en oeuvre de prestations et d’infrastructures adaptées auxquelles l’expertise d’une équipe de spécialistes s’efforce de répondre.

• Si l’expertise d’une équipe de spécialistes répond uniquement à la nécessité d’infrastructures adaptées, alors dans votre formulation, il faut utiliser à laquelle :

–> Cette pathologie nécessite la mise en oeuvre de prestations et d’infrastructures adaptées à laquelle l’expertise d’une équipe de spécialistes s’efforce de répondre.

Le dictionnaire de l’Académie française dit :

•      Sciences : Ordinairement avec la majuscule quand il est employé absolument. Mammifère de l’ordre des Primates possédant au plus haut degré les caractères définissant le genre Homo (voir ce mot). Les origines de l’Homme. Les premiers vestiges de l’Homme. L’évolution de l’Homme.

En revanche, il n’indique pas de majuscule pour l’homme préhistorique, l’homme de Cro-Magnon, l’homme de Neandertal, les hommes des cavernes, les hommes préhistoriques, les hommes fossiles sans doute parce que chacun de ces groupes ne représente qu’une partie de l’Humanité et non l’Humanité tout entière.

Le dictionnaire de l’Académie française indique la majuscule dans le musée de l’Homme, à Paris.

Bonjour,

On a tendance à mettre du subjonctif partout mais lorsque l’action est réelle, concrète, avérée, il n’y a pas de raison de mettre autre chose que de l’indicatif. Il est vrai que nos oreilles et nos yeux se sont habitués au subjonctif et que c’est maintenant l’indicatif qui risque de paraître fautif…

Alors même si à l’oral j’ai plutôt tendance à utiliser le subjonctif présent (pour éviter de me faire reprendre et reprendre à mon tour) en revanche, à l’écrit je mets l’indicatif présent : Tout ce qui compte, c’est que tu es ici.

Je rêve d’avantages pécuniaires dont a joui mon prédécesseur.

Tara a tout dit.

Lisez à voix haute l’autre proposition et vous vous apercevrez de suite que ça accroche.

Bonjour,

Il faudrait que je lui parle et je lui dirais…

Il faudrait est incertain alors je ne mettrais pas de futur pour la suite  qui est tout aussi incertaine alors je resterais plutôt au conditionnel présent : je lui dirais

On ne peut remplacer une orthographe par l’autre car le sens est radicalement différent :

• avoir affaire à est une locution qui signifie être confronté à, être en rapport avec.
• avoir à faire signifie devoir faire, devoir réaliser.

Vous pouvez remplacer ces locutions par leurs équivalents pour savoir quelle orthographe appliquer.

J’ai eu affaire à de nombreuses personnalités différentes durant ma carrière –> j’ai été en rapport avec de nombreuses personnalités…

J’ai beaucoup à faire d’ici la cérémonie –> je dois faire beaucoup de choses….

Bonjour,

« Les études que mon amie a faites. »

Le participe passé = « fait ».

« Les études » = COD puisqu’il répond à la question qui ou quoi.

Le COD est antéposé, c’est-à-dire qu’il est placé avant l’auxiliaire avoir (« a »), donc le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec son COD.

En revanche, si votre phrase avait été « Des études, j’en ai faites », là cela n’aurait pas été correct car dans cette phrase, le COD est « en » qui reprend « des études ». Et quand le pronom « en » représente le complément d’objet direct (COD) du verbe, le participe passé reste invariable : « Des études, j’en ai fait ».

« … d’une parole qui a voyagé partout et… »

Puisque dans cette phrase, c’est l’auxiliaire avoir qui est utilisé (a), le participe passé voyagé s’accordera avec le COD (et non avec le sujet) mais uniquement si celui-ci est placé AVANT l’auxiliaire.

Le COD répond à la question « Qui ? » ou « Quoi ? « .

Examinons votre phrase :

Qui a voyagé ? –> La « parole ».

Comme la « parole » répond à la question « Qui ? » ou « Quoi ? »,  c’est donc le COD de « a voyagé ». MAIS ce COD est placé après l’auxiliaire avoir, il ne s’accorde donc pas.

… une parole qui a voyagé…

Il s’agit de titres, donc avec majuscule que ce soit après une virgule ou pas.

« On écrit ces noms avec une majuscule initiale lorsqu’on s’adresse directement aux personnes elles-mêmes, dans l’appel et la salutation d’une lettre, ou sur une carte d’invitation. On peut considérer que le titre remplace alors le nom de la personne. »

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