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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 14 juillet 2024 dans Accords

    Spontanément, j’aurais eu tendance à raisonner comme vous et à mettre un pluriel, mais dans la mesure où la mise au pluriel (bien qu’elle soit la seule possible dans cette configuration : on ne dit pas J’ai fait une étude universitaire) ne modifie pas le sens du vocable, il semble bien qu’il faille mettre un singulier – la règle est rappelée par exemple ici et puis sinon tiré de ce document :

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  • Grand maître Demandé le 14 juillet 2024 dans Accords

    Vous avez ici un COD antéposé (le pronom réfléchi me) + un participe passé (senti(?)) suivi d’un attribut du COD (prête), dans ce cas, le participe passé est en principe accordé avec le COD antéposé, mais il est admis qu’il puisse rester invariable – voir par exemple ici, extrait :
    Lorsque le complément direct a un attribut et que le participe passé est suivi de cet attribut, l’accord du participe passé se fait généralement avec le complément direct placé devant lui, mais l’invariabilité est admise.

    Vous avez par conséquent le choix d’accorder ou pas.

     

    ________

    Avec une forme non pronominale, qui montre que se sentir + attribut n’est pas essentiellement pronominale (ou autonome / subjective) :
    J’ai senti la soldate prête à affronter le danger > Je l’ai senti(e) prête à affronter le danger.

     

     

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  • Grand maître Demandé le 6 juillet 2024 dans Question de langue

    L’usage retient ces verbes, mais dans l’absolu rien (ni la sémantique, ni la syntaxe) n’interdit ceux que vous proposez. Si vous en cherchez des occurrences, vous en trouverez, mais elles sont en effet et de fait peu nombreuses.

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  • Grand maître Demandé le 5 juillet 2024 dans Question de langue

    Les dictionnaires (les cinq « classiques« ) ne donnent que la construction avec de, l’usage semble privilégier massivement cette préposition, néanmoins on trouve des occurrences avec par.

    Votre phrase est une phrase passive (Votre prise de contact me ravit / m’a ravie > Je suis ravie de (par) votre prise de contact), mais avec un complément d’agent non canonique, puisque ce n’est ni un animé (La souris a été mangée par le chat) ni une force naturelle (La grange a été détruite par la tempête). En fait, si syntaxiquement on a ici une construction active passifiable (avec un complément d’« agent » qui devrait être classiquement introduit par la préposition par), sémantiquement on est en présence d’une cause « neutre » = dépourvue d’intentionnalité ou d’énergie et non d’un agent. Or si la préposition par implique souvent l’agentivité, a contrario la préposition de dénote plutôt l’état / la non agentivité. Deux illustrations :

    Le sol est recouvert par la neige (action)
    Le sol est recouvert de neige (résultat)

    Elle travaille par plaisir (agent)
    Elle rougit de plaisir (patient)

    Donc, votre cas étant un cas limite, il accepte les deux prépositions, mais la sémantique est en l’espèce manifestement plus forte que la syntaxe, d’où la nette prévalence de de par rapport à par.

     

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  • Grand maître Demandé le 4 juillet 2024 dans Accords

    Il me semble que les deux sont possibles :
    Les plus pratiqués des sports au monde sont … > l’un des sports les plus pratiqués au monde.
    Les sports pratiqués le plus au monde sont … >  l’un des sports le plus pratiqués au monde.

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  • Grand maître Demandé le 4 juillet 2024 dans Accords

    Vous avez ici un verbe conjugué avec l’auxiliaire avoir, dans ce cas le participe ne s’accorde jamais avec le sujet (ici toutes les personnes), mais avec – s’il y en a un – le COD antéposé.
    Conseiller quelqu’un admet un COD, dans votre phrase ce COD est le pronom m’, celui-ci est placé avant l’auxiliaire, on accorde donc le participe avec ce pronom, au féminin si me désigne une femme, au masculin si le pronom désigne un homme > Toutes les personnes qui m’ont conseillée / conseillé.

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  • Grand maître Demandé le 3 juillet 2024 dans Général

    Si votre phrase est bien complète, vous avez le choix entre mettre une majuscule (l’ethnonyme est analysé comme un substantif) ou une minuscule (l’ethnonyme est analysé comme un adjectif). Si votre phrase se poursuit, par exemple :

    J’étais la seule Noire / Blanche / Anglaise / Américaine polyglotte / capable de parler plusieurs langues.

    la majuscule est obligatoire, puisqu’alors l’ethnonyme est forcément un substantif.

    (Blanc et noir sont assimilés à des ethnonymes.)

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  • Grand maître Demandé le 23 juin 2024 dans Général

    Vous avez trois propositions indépendantes juxtaposées/coordonnées :
    1 – Cherche,
    2 – fouille,
    3 – distingue, si tu le peux, les sexes dans l’administration de la nature.

    La 3e est composée :
    – d’une principale > distingue les sexes dans l’administration de la nature.
    – d’une subordonnée conditionnelle > si tu le peux.

    Cette réponse a été acceptée par alain1979. le 23 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 22 juin 2024 dans Accords

    La présence du déterminant possessif (mon groupe) exclut quasiment l’accord au pluriel > … que mon groupe d’oppresseurs était venu y mettre.

    Extrait du Bon usage :

     

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  • Grand maître Demandé le 22 juin 2024 dans Question de langue

    Pour garder votre formulation originelle, qui a l’avantage d’être synthétique, familial étant un adjectif, il s’accorde normalement en genre et en nombre avec le nom qu’il complète (ici généalogiste). Si vous décidez de mettre généalogiste au féminin (Catherine Truc est une généalogiste de renom) plutôt qu’au masculin (Catherine Truc est un généalogiste de renom), alors le reste suivra : Catherine Truc : généalogiste familiale professionnelle (de renom 😉 ).

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