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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 24 mars 2025 dans Question de langue

    Vous avez ici un long article qui fait le point sur cette question, dont je vous extrais la conclusion : Vous l’aurez compris : cette affaire est de toute évidence placée sous le signe de la subjectivité, de l’opinion non argumentée

    Bref, choisissez la forme qui vous plaît le plus.

     

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  • Grand maître Demandé le 24 mars 2025 dans Question de langue

    Vous avez ici manger dans un emploi absolu (= intransitif, donc sans COD) qui correspond à se nourrir / dîner / déjeuner / prendre de la nourriture.

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  • Grand maître Demandé le 23 mars 2025 dans Accords

    Dans le cas auquel BeN renvoie, on a effectivement le choix, puisque le sujet est le pronom qui, pronom qui peut reprendre aussi bien quelqu’un que toi. En revanche, dans votre cas, le seul sujet est quelqu’un, donc le verbe s’accorde à la troisième personne du singulier.

    (Remplacez par des formes verbales où la différence est audible :
    Comment quelqu’un comme moi ai pu faire ça ? / Comment quelqu’un comme moi a pu faire ça ?
    Quelqu’un comme moi suis à plaindre / Quelqu’un comme moi est à plaindre.)

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  • Grand maître Demandé le 21 mars 2025 dans Général

    Où y aurait-il redondance ? Dans la succession de deux verbes d’état : se trouver + être ?
    S’il s’agit de ça, alors, la réponse est non : (Dico Académie)

    La définition ci-dessus répond-elle à votre question ? Est-ce le en qui vous « gêne » ?

    Cette réponse a été acceptée par alain1979. le 21 mars 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 mars 2025 dans Général

    La forme personnelle avec reprise pronominale est correcte (même si apparemment, celle sans serait « de meilleure langue »), extrait de l’Académie sur ce point :
    Quand une interrogative partielle commence par un pronom interrogatif sujet ou par un déterminant interrogatif, il est de meilleure langue de ne pas reprendre ce sujet par un pronom personnel, même si cette construction se trouve sous la plume de grands auteurs. On se souviendra donc que l’on dira plutôt Combien d’auteurs sont sélectionnés ? que Combien d’auteurs sont-ils sélectionnés ?),

    donc Combien d’heures s’étaient-elles écoulées ? doit  être acceptée. On en trouve d’ailleurs facilement des occurrences.

    (L’alternative avec la forme impersonnelle proposée par Joëlle est peut-être moins déroutante.)

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  • Grand maître Demandé le 21 mars 2025 dans Accords

    Non, la question ne reste pas ouverte, elle est tout à fait close et « répondue » : à partir du moment où l’adjectif logiciel existe, et puisqu’ici il complète validation et non rapport, il faut bien l’accorder au féminin.

    (Et bien sûr que la validation n’est pas logicielle : on n’est pas ici en présence d’un adjectif qualificatif, mais d’un adjectif relationnel, comme il en existe de nombreux en français : la tribune présidentielle, le palais royal, la chirurgie cardiaque, le service orthopédique, etc.)

    Cette réponse a été acceptée par validateurdelogiciel. le 24 mars 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 20 mars 2025 dans Question de langue

    Le COD est beaucoup de pommes,beaucoup de est le déterminant (indéfini).

    Cette réponse a été acceptée par PseudoAuPif. le 20 mars 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 20 mars 2025 dans Question de langue

    Lorsque le verbe infinitif est transitif direct, vous avez le choix entre les deux pronoms :(source)

    Reprendre étant transitif direct, vous pouvez aussi bien utiliser le pronom accusatif (le/la/les) que datif (lui/leur).

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  • Grand maître Demandé le 18 mars 2025 dans Général

    Vous pouvez en effet utiliser le présent (de narration) pour bouleverser et quitter. le présent de il raconte est un présent d’énonciation.

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  • Grand maître Demandé le 17 mars 2025 dans Accords

    Pour votre premier point, la teneur de l’énoncé nous indique qu’il s’agit vraisemblablement d’un extrait d’ouvrage de psychologie. Dans ce type de textes, cet emploi fort atypique d’un nous qui bien qu’entrainant un accord au singulier de l’adjectif n’est ni de majesté ni de modestie est assez récurrent. Je présume que les auteurs tout en ayant la volonté de s’adresser à un collectif (leurs lecteurs, l’humanité entière), d‘où le nous, veulent subjectiver au maximum leur propos, impliquer chacun de nous individuellement. Ce qui donne ce type d’énoncés non répertoriés dans les dictionnaires ou les grammaires, où le nous n’est clairement ni de modestie,  ni de majesté, et où la marque du singulier n’est pas une erreur –  pour le moins dans certains cas comme celui ci-dessous, puisqu’il l’adjectif au pluriel irrégulier est bien mis au singulier (et ce nous ne peut-être de modestie, puisque auparavant et par la suite, l’auteur utilise le je).(source)

    Je pense qu’on est ici en présence d’une forme de syllepse, qui fait passer les auteurs d’un nous collectif (entrainant les accords au pluriel) à un nous distributif (entrainant – de façon non orthodoxe – les accords au singulier).

     

    Pour votre deuxième point, le choix du nombre est une question de (bon) sens :
    La sortie du territoire > X sera interdit de sortie.
    La sortie d’un film > Le film a été interdit de sortie.
    Si c’est une fille, les sorties  lui seront interdites > Elle sera interdite de sorties.
    Si c’est une fille, la sortie lui sera interdite.

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