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C’est donc par le moyen de ces éléments, ou au moins d’une partie d’entre eux, que j’ai conclu mon analyse. …
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il implique la chute des nuances ou des connotations culturelles, dont le lecteur ne pourra en avoir aucune perception. Dois-je …
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Cette œuvre m’a semblée présenter des éléments particulièrement intéressants. Est-ce que le régistre est trop informel? Puis-je utiliser aussi m’a …
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…le débat à propos de la francophonie se nourrit aussi de l’apport de nombreux écrivains, sans qu’il n’aboutisse jamais à …
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cependant, étant donné qu’il répète à chaque instant le mot « cadette » en se référant à Fatim, dans la traduction j’ai …
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Lecteurs non ivoiriens. Est-ce qu’il faut mettre le trait d’union?
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De plus, du fait que l’œuvre a été publiée en France transparaît la fluidité dont se caractérise le roman,
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Cette vision d’une traduction comme symbole d’unification dans des rapports de réciprocité devient donc le nouvel horizon de référence. Nouvel …
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…des mots tels que Bengué, gbaka, grin ou balanceur exigent qu’on les rende tout en préservant leur couleur locale, leur …
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…ni le texte source, ni la traduction sont des unités sémantiques finies en elles-mêmes. Finies: est-ce qu’on peut employer ici, …
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