Extrait du Larousse.

L’usage est hésitant quant à l’accord de fini en tête de phrase. On écrit soit fini les vacances (= c’en est fini des vacances), soit finies les vacances (= les vacances sont finies).

Apparemment, pas d’accord.

Principale au passé ou au conditionnel, selon les puristes.

Je voudrais qu’il fût venu (Antériorité de la subordonnée)
=subjonctif plus-que-parfait.
= Je voudrais que sa venue ait eu lieu.

Je voudrais qu’il vînt (Simultanéité ou postérité).
= Subjonctif imparfait.
= Je voudrais que sa venue ait lieu maintenant ou plus tard.

« Le français courant, qui a partiellement perdu l’usage des subjonctifs imparfaits et plus-que –parfait, utilise en règle générale un système réduit aux seuls subjonctifs présent et passé, marquant l’opposition entre simultanéité/postériorité et antériorité, et cela quel que soit le temps de la principale. » (Sancier Château).

Je voudrais qu’il soit venu.
= Subjonctif passé.
= Je voudrais que sa venue ait eu lieu.

Je voudrais qu’il vienne.
= Subjonctif présent.
= Je voudrais que sa venue ait lieu maintenant ou plus tard.

Si vous demandez à un enfant de dessiner un homme enfermé (reclus) dans sa chambre ou dans une cellule, il saura quoi faire. L’espace est clair, délimité.
Si vous lui demandez de dessiner un homme reclus (enfermé) dans la montagne, j’ai peur du résultat.
Ce n’est pas la même chose.

Dans un lieu = à l’intérieur d’un lieu.
Dans la montagne = dans une grotte = ils ont creusé à l’intérieur de la montagne…
Il serait donc plus juste de dire qu’il habite dans un chalet à la montagne.
Mais si on délaisse un peu la grammaire pure et que l’on se tourne vers la stylistique alors on peut écrire
Ils se promènent dans la montagne (= sur un chemin de montagne).
Je crois que c’est une synecdoque (ou une métonymie).

Ce complément exprime le moyen (sur = avec = au moyen de).

Il y a trois types de compléments.

1) Les compléments essentiels : ils ne peuvent pas être supprimés ou déplacés en tête de phrase.
Ils sont sous la portée de la négation.
Le COD, COI, attribut du sujet sont des compléments essentiels.
« Sur des presses-rotatives » peut être supprimé. Donc pas essentiel.

2) Les compléments circonstanciels de phrase = circonstant de phrase (Le Goffic) = CC adjoint (Sancier Château) : ils peuvent être supprimés, déplacés en tête de phrase et sont hors de portée de la négation.
« Sur des presses-rotatives » peut être déplacé. Donc peut-être CC de phrase. 

3) Les complément accessoire du verbe. Le Goffic les nomme « circonstant de prédicat ». Si un complément est après le verbe, qu’il est facultatif (accessoire) et qu’il peut être nié, alors il appartient à cette catégorie.

Les journaux sont imprimés rapidement sur des presses-rotatives.
Les journaux ne sont pas imprimés rapidement sur des presses-rotatives.
Mais, ils sont imprimés rapidement sur des presses à l’ancienne.
« Sur des presses » peut être nié donc il appartient au GV.

Selon Le Goffic, pour avoir un véritable CC de phrase il faudrait mettre une virgule.
Les journaux sont imprimés rapidement, sur des presses-rotatives.

On peut aussi ne mettre qu’une seule virgule. Non?

Elle s’approche de la grande étendue, jonchée de gratte-ciels que les grands arbres avaient dissimulés jusque-là.

Pourquoi Le COD ne pourrait-il pas être « la grande étendue jonchée de gratte-ciels »?
Les arbres avaient dissimulé la grande étendue…
Donc dissimulée.

« Leur » n’est plus à la révolte.

Une seule bicyclette dans le garage (une pour plusieurs) = leur.
Une bicyclette par personne = leur ou leurs.
Plusieurs bicyclettes par personne = leurs.

Un seul cartable pour plusieurs = leur.
Un cartable par personne = leur ou leurs.
Plusieurs cartables par personnes = leurs.
Mais si le cartable et la bicyclette sont trop attirants pour être honnêtes = leurre.

S’il y avait plus d’un cartable et plus d’une bicyclette vous pouvez mettre « leur » ou « leurs ».

Quand cela est possible, il serait plus simple de donner le nombre: les voisins nous ont prêtés leur seule bicyclette, leurs deux bicyclettes…

Cela m’étonne qu’il n’ait pas un épisode de Kaamelott la dessus.

Je suis d’accord avec Tara sur l’ordre des mots. Par contre, je ne suis pas certain qu’il s’agisse d’un complément du nom. Normalement, le complément du nom est facultatif d’un point de vue syntaxique.

J’aime les chiens de mon voisin.
J’aime les chiens.
= La phrase change de sens, mais elle tient encore debout.

Par contre,

L’employeur met un ordinateur à la disposition.
= Très bancal. Voire même n’a aucun sens.
= L’analyse : Préposition + la disposition + de quelqu’un (complément du nom  »disposition ») implique que le complément du nom est obligatoire.

Wiktionnaire analyse « mettre à (la) disposition » comme une locution verbale. Et donne cet exemple:

Proposition de loi tendant à mettre à disposition du public les locaux dits du Congrès, au château de Versailles — (JO n°173 du 27 juillet 2005)

Pour moi, « à (la) disposition » ressemble plutôt à une locution prépositionnelle. Mais elle n’est pas totalement figée. (= à la disposition du public = à sa disposition).

une forêt de l’Est, de l’Ouest, du Sud, du Nord.

Donc article contracté (de + le) comme le dit PhL.

J’aurais aussi choisi: « Cela vous permettra d’être moins péremptoire ».

Lisez des livres, cela vous permettra d’être un peu moins inculte.

Ne lisez pas de livres, vous avez raison, cela vous évitera d’être un peu moins inculte.

Cette phrase vous semble fausse ?