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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 18 mai 2024 dans Accords

    Merci pour vos précisions, Chambaron.

    Faisiez-vous allusion aux commentaires de Marcel1, relatifs au sujet que nous traitions ?

    Si tel est le cas, sachez que je m’en tiendrai à vos explications, qui depuis le début me semblent parfaitement claires et sans équivoque, n’en déplaise à certains.

    Je vous remercie de nouveau pour votre contribution.

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 17 mai 2024 dans Question de langue

    Bonjour Nat Gouillon,

    D’après le Dictionnaire de l’Académie française, à l’invitation  et sur l’invitation  semblent tous deux valables.

    Exemples :

    Je suis venu sur son invitation  pressante.

    Cet ouvrage est une invitation à  la tolérance.

    C’est une invitation à  faire mieux.

    Néanmoins, dans le cas de votre phrase, l’emploi de sur l’invitation de me paraît plus approprié.
    Ce qui va dans le sens du premier exemple donné : « Je suis venu sur son invitation  pressante. »

    Donc effectivement, j’écrirais pour ma part : « Elle est venue sur l’invitation de son patron. »

    https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9I1959

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 17 mai 2024 dans Accords

    Bonjour SZede,

    Pour ma part, je vous proposerais :

    « Chacune d’entre elles, en temps normal, prend place et se matérialise sur des supports indépendants, se relayant selon un rythme croissant. »

    Se relayer étant synonyme de se succéder, exprimant également l’idée de venir l’un après l’autre, de se remplacer à intervalles plus ou moins réguliers, d’alterner pour assurer la continuité d’une action.

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 17 mai 2024 dans Général

    Bonjour Marie1107,

    D’après Bescherelle, le trait d’union est requis avec -ci et -là quand ils suivent immédiatement un nom qui est déterminé par l’un des mots suivants : ce, cet, cette, ces.

    Ce sac-ci

    Cet arbre-là

    Cette grande maison-ci

    Ces trois bonnes résolutions-là

    Il en est de même avec les pronoms numéraux :

    Ces deux-là nous plaisent.

    On met le trait d’union aussi dans les expressions jusque-là, par-ci par-là, là-bas, là-haut, là-dessus, là-dessous, là-dedans.

    Les pronoms démonstratifs suivants s’écrivent, eux aussi, avec un trait d’union : celui-ci, ceux-là, celle-ci, celles-là.

    Pour sa part, le pronom cela s’écrit en un mot, et sans accent grave.

    Lorsqu’il est précédé de l’un des déterminants démonstratifs ce, cet, cette ou ces, le nom est parfois suivi d’un complément.
    Puisque ce complément sépare le nom de la particule adverbiale -ci ou -là, on ne mettra pas de trait d’union.

    Ce sac de carton ci

    Cet arbre magnifique là

    Cette grande maison de campagne ci

    Ces trois bonnes résolutions annuelles là

    Lorsque le mot accompagne un verbe plutôt qu’un nom, il ne prend pas le trait d’union.
    On peut alors le remplacer par l’adverbe ici.

    Exemples :

    Dépose ton sac là. (ou ici)

    Laisse-le là. (ou ici)

    Tu dois passer par là. (ou par ici)

    Tu partiras de là. (ou d’ici)

    Dans les quatre phrases ci-dessus, on remarque qu’il n’y a pas de nom accompagné du démonstratif ce, cet, cette, ces.

    Donc en l’occurrence, on écrira : « Reste là. »

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 16 mai 2024 dans Accords

    Bonjour BBFolk,

    Effectivement, il conviendrait d’écrire selon moi : « Évidemment, privée de ce mot, la phrase n’avait aucun sens. »

    Quant à l’expression Passé [quelque chose], d’après Le Bon Usage de Grevisse, l’invariabilité n’est pas obligatoire.
    Il en va de même pour mis à part ou étant donné (toujours antéposé).

    Exemples :

    • Passé invariable :

    Quel sens cela pouvait-il avoir de s’attarder sur cette terre passé cent ans ?
    Passé la cinquantaine, ils respiraient toujours aussi bien.

    • Passé variable :

    Passée la période d’essai, ils finirent par être embauchés.
    Passées les premières minutes, ils furent un peu plus soulagés.

    Cependant, lorsqu’il est postposé, passé s’accorde toujours avec le nom auquel il se rapporte, bien entendu.

    La semaine passée […].
    Les premières secondes passées […]. 

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 16 mai 2024 dans Accords

    Bonjour marcel1,

    Merci pour votre précieuse contribution.

    Cependant, pourquoi pensez-vous que l’accord est le plus logique ?

    La réponse de Chambaron allant dans le sens du non accord me paraissait pourtant claire et sans équivoque à ce sujet.

    En outre, en quoi cela constitue selon vous une maladresse de style ?

    Les exemples pertinents que vous avez donnés du Bon Usage montrent pourtant bel et bien que cette tournure de phrase est tout à fait correcte et recevable, il me semble ?

    Merci de m’éclairer à ce sujet, car entre l’accord et le non accord, je me demande comment nous mettre d’accord sur cette question.

    Léon.

     

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  • Grand maître Demandé le 16 mai 2024 dans Accords

    Bonjour Pierretoularastel,

    Dans votre cas, j’écrirais « il a donc mentionné une dizaine de questions importantes dans la croyance telles que ».

    Je favoriserais donc l’accord au pluriel, avec questions.

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 16 mai 2024 dans Accords

    Bonjour maomao,

    Il convient d’écrire « voir abordés ».

    L’adjectif abordés se rapporte au nom sujets, donc il s’accorde en genre et en nombre avec celui-ci.

    Ce sont les sujets qui sont abordés (voix passive), et non pas les sujets qui abordent (voix active).
    D’où l’emploi de abordés en lieu et place de aborder. 

    Léon.

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  • Grand maître Demandé le 15 mai 2024 dans Accords

    Par ailleurs, je me permets également de vous signaler que l’expression  « du coup »  que vous avez employée est ici incorrecte. J’en profite pour ouvrir une petite parenthèse à ce sujet.

    Ainsi que nous le rappelle l’Académie française, « du coup » peut s’utiliser au sens propre.

    Exemple : « Un poing le frappa et il tomba assommé du coup. »

    En outre, on retrouve cette formule correctement exploitée pour exprimer la conséquence, l’idée d’une cause agissant brusquement.

    Exemple : « Son moteur a explosé et du coup sa voiture a pris feu. »

    La locution, notent les sages, a pour équivalent sémantique la formule « aussitôt ».

    En dehors de ces deux sens, « du coup » est incorrect et son emploi relève de l’abus de langage.
    Ainsi est-il un non-sens de vouloir donner à la locution le rôle d’adverbe.

    On ne peut donc pas en faire un synonyme de « donc », « de ce fait »
    « par conséquent », etc.

    Formules pour leur part correctes et regrettablement évacuées au profit d’un français toujours plus rétréci et simplifié…

     

    Alors tordons le cou une fois pour toutes à ce « du coup » et préférons employer des locutions, certes plus longues, mais correctes ! 

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  • Grand maître Demandé le 15 mai 2024 dans Accords

    Bonjour BTN,

    Effectivement, il convient ici d’accorder le participe passé avec le groupe nominal activités relatives au fret maritime, ce qui donne telles qu’approuvées. 

    Pour ma part, votre dernière supposition est donc approuvée.

    Léon.

     

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