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Nous contournons le musée que Jeanne nous a emmenées visiter.
Le COD (que) est placé avant la forme verbale comprenant le participe passé, et le participe passé est sujet de l’action exprimée par l’infinitif. Le participe s’accorde alors en genre et en nombre.
Pas de virgule dans cette phrase : la relative est déterminative.
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Quand on a un complément circonstanciel (ou un adverbe) précédé d’un mot élidé, il ne peut jamais être encadré par des virgules : J’ajoute qu’en cas de désaccord ce texte fera foi (et non J’ajoute qu’en cas de désaccord, ce texte fera foi). En revanche, virgules possibles s’il n’y a pas de mot élidé devant le complément ou l’adverbe : J’ajoute que, sauf clause contraire, ce texte fera foi.
source : Dictionnaire Bordas des pièges et difficultés… – Jean Girodet.
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La ponctuation est correcte dans la première phrase : « par-dessus le marché » est une incidente isolée par deux virgules. ouvrante et fermante. Dans la seconde phrase, la virgule rapproche deux groupes syntaxiques suite à une ellipse. Elle me semble cependant un peu faible. Il faudrait soit répéter « Ce sont », soit la remplacer par un point.
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Nous pensons que « X » serait susceptible de vous intéresser.
Cette phrase peut s’interpréter de deux manières différentes. Le conditionnel peut être un conditionnel d’atténuation, exprimant la politesse ou l’incertitude. Il peut également être un conditionnel temporel, exprimant une action envisagée dans le futur.
Nous pensons que « X » est susceptible de vous intéresser.
Ici, pour évoquer la possibilité, l’emploi du conditionnel n’est pas indispensable, puisque l’adjectif susceptible exprime déjà la modalité du possible. Le choix du conditionnel ou de l’indicatif va donc dépendre du contexte et de ce que vous souhaitez exprimer.- 3504 vues
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« Ville départ »
Il s’agit manifestement d’une expression formant une unité linguistique. Cependant, le trait d’union est réservé aux formes lexicalisées des mots composés, comme l’a rappelé Joëlle. Ici, le mot départ est un nom épithète, c’est-à-dire un nom employé comme un adjectif.- 3401 vues
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Des événements, Dieu sait s’il y en a eu.
Le participe passé reste invariable dans cette tournure impersonnelle.
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@ChristianF
Je note cependant qu’aucun des noms communs cités dans votre liste d’exemples ne possède de déterminant, conformément aux mauvais usages du langage publicitaire. Les noms communs ne sont donc pas actualisés : « farine » « huile » « terreau » « graisse » « nettoyant ». Ces noms sont envisagés dans leur plus grande généralité, ils sont employés de manière virtuelle et sont indépendants du contexte.
En situation d’énonciation, on écrira :
Une farine pour tous les usages.
Mais « une farine multi-usages » conviendrait mieux.
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« des vannes tout fluide »
Ci-dessus, tout fluide est une locution adjectivale, comme dans « des véhicules tout-terrain ».« des vannes tous fluides »
Formulation incorrecte.- 2508 vues
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Si les minutes ont une incidence sur le plan comptable, le pluriel est nécessaire. Sinon, il est inutile de les mentionner.
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Est-ce que tu veux autre chose ?
Dans la phrase ci-dessus, autre chose est un pronom indéfini. Le mot chose a perdu sa valeur nominale, ce n’est plus un substantif. C’est pourquoi il n’est précédé par aucun article indéfini.
Hormis ce cas particulier, l’article est nécessaire.
J’ai vu un autre film.
Je lis maintenant un autre livre.
Il y a d’autres personnes.Cette réponse a été acceptée par Linguae Amans. le 18 juillet 2019 Vous avez gagné 15 points.
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