Le profil de karine Aubry
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  • Érudit Demandé le 21 novembre 2023 dans Général

    La valeur n’attendant point le nombre des années… je rebondis sur ce fil, car j’ai trouvé chez Sartre, dans L’Âge de raison, cette phrase : « Je ne peux pas supporter l’idée qu’il me croit morte ».
    Visiblement,  Sartre n’est pas gêné par « l’idée que », mais surtout, c’est l’indicatif du verbe croire qui m’a surprise. j’aurais spontanément utilisé le subjonctif. J’aimerais bien avoir une règle qui m’indique que les deux modes sont possibles indifféremment, ou que tel mode est utilisé pour tel cas, et tel autre pour tel autre cas. Merci d’avance, Karine

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  • Érudit Demandé le 5 avril 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Me revoici avec sensiblement la même question… et je reviens sur la réponse de ChristianF concernant « la majorité » suivi d’un pluriel ou d’un singulier.

    Je reprends ci-dessous une proposition trouvée sur internet, qui ne reprend pas tout à fait les mêmes principes. On y tranche notamment beaucoup plus catégoriquement pour la formulation « la majorité de », ne faisant de distinctions que dans le cas de « une majorité de ».  Auriez-vous la gentillesse de m’éclairer ?
    Une majorité des Français mange ou Une majorité des Français mangent…

    Lorsqu’il est question d’employer l’expression « une majorité de », celle-ci se retrouve généralement suivie du singulier. Il est courant d’entendre par exemple « Une majorité d’élèves n’est pas venue ce matin en classe ».

    Or, si l’on veut être correct, il faut accorder le verbe avec le collectif partitif. Ici « les élèves ». La phrase correcte est donc « Une majorité des Français aiment aller à la piscine ».

    En revanche, lorsque le collectif est général (ou que le pronom est déterminé : le, la, les) le verbe doit s’écrire au singulier. Ainsi, il sera correct de dire « la majorité des français aime aller à la piscine », plutôt que « la majorité des Français aiment… ». Ce, bien que le pluriel reste envisageable, mais peu élégant.

    Merci beaucoup de votre retour,
    Karine

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  • Érudit Demandé le 7 novembre 2019 dans Question de langue

    Bonjour,
    Merci pour vos recherches. Effectivement, bien qu’on trouve la plupart du temps une logique dans la langue, cette fois-ci, l’explication n’est pas simple.
    Bien amicalement,
    Karine

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  • Érudit Demandé le 4 novembre 2019 dans Question de langue

    Je crois me rappeler que la phrase  » l’imbecillité est en l’occurrence un dilemme étymologique » est une mini-dictée (dictée Mitterrand ?) qui piège la majorité de ceux qui s’y frottent… C’était avant tout une façon d’arriver à ma vraie question (avec un point d’interrogation), celle concernant un mot comme tradition qui, dans ses extensions, ne se décline pas toujours selon la même règle…
    En conséquence, je constate que Tara est également  perplexe, et que Joelle ne répond pas sur ce point.
    Peut-être d’autres personnes nous donneront-elles du « grain à moudre » ?

    Bien à vous,
    Karine

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  • Érudit Demandé le 31 juillet 2019 dans Accords

    Merci pour votre réponse. Nous avons trouvé dans LE UN, hebdomadaire d’Eric Fottorino,  le « ne reste que des….. « , et j’ai pensé qu’on pouvait éventuellement admettre un sous-entendu « il ne reste que des…. »
    Par ailleurs, merci pour le trait d’union dont je ferai désormais l’économie entre mon Y et mon A…

    C’est vrai, il est superfétatoire et erroné !

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  • Érudit Demandé le 29 juillet 2019 dans Accords

    Bonsoir,
    Je vous confirme la phrase du Larousse, édition 1974 : Feu est invariable quand il précède l’article ou l’adjectif possessif.
    Mais cela ne vous contredit pas, puisque vous indiquez qu’il s’accorde après le déterminant.
    Enfin, mon exemple avec le fils des feus…. Car feu Felix et Marthe…. Est-elle juste ?
    Bien à vous

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  • Érudit Demandé le 29 juillet 2019 dans Accords

    Merci, c’est plus clair ainsi. De sorte qu’on écrira « le fils des feus Félix et Marthe Bourdon était effondré car feu Felix et Marthe Bourdon étaient morts subitement »  ?
    Confirmez-moi…
    Karine

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