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Réponses
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Je ne suis pas certaine de savoir comment « voter » pour indiquer que vos deux réponses m’intéressent, l’une concise, l’autre plus développée.
En vérité, je ne suis pas de celles qui doutent avec « la fête qu’ont faite les voisins », ou « la tête que j’ai faite »…
Je suis plutôt de celles qui doutent d’elles-mêmes en trouvant dans les livres des fautes… Parfois je n’ai aucun doute sur les solécismes, les barbarismes et les accords et parfois je me remets en question. Dans l’exemple qui nous préoccupe, c’était plus précisément le « cela », qui introduisait une phrase impersonnelle et « des préoccupations », plutôt que « les préoccupations » qui ont induit le doute.
Merci pour vos réponses !
Amicalement,
Karine- 271 vues
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Merci Chambaron.
… Et je reviens sur un précédent échange concernant « lui voir », « voir à quelqu’un »… pour vous parler du verbe persuader. Car on trouve aussi (notamment dans Lettre aux Anglais, de Bernanos), la tournure « persuader à ». On dit plus couramment qu’on persuade quelqu’un, mais j’ai plusieurs fois trouvé cette tournure de « persuader à quelqu’un », « lui persuader ».
Bonne soirée,
Karine- 211 vues
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Merci Chambaron.
Toutefois, qu’en est-il de mes accords ? « le tas de vêtements que je lui ai vu porter » mais « le tas de vêtements que je l’ai vue porter ». Sont-ils justes ?
Quant à votre remarque, il semble que plusieurs verbes aient eu une construction avec COI autrefois qu’ils ont perdue dans le langage contemporain usuel. Aucun exemple ne me vient « à froid », mais je ne manquerai pas de vous en faire part lorsque j’en recroiserai.
Amicalement, Karine- 308 vues
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Bonjour,
Merci de vos retours.
Merci de me confirmer que je les comprends bien, dans la mesure où vos deux réponses ne s’accordent pas tout à fait.
Sauf erreur de ma part, Tara, tout comme moi, vous acceptez qu’un conditionnel suive un présent (et non un imparfait) à cause de ce « bien » qui induit une incertitude (il remplace votre « au cas où…). Alors que si je suis l’avis de Ouatitm, il n’y aurait pas de conditionnel, celui-ci devant suivre obligatoirement un imparfait. Mais, Ouatitm, vous ne reprenez pas la phrase comme elle est formulée, vous faites l’impasse sur le « bien ».
On écrira donc bien: Si Abilène veut être receveur, j’essaierais bien de voir de quoi tu es capable. »
Bonne soirée.
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Cher Chambaron,
Vous écrivez : « Pourquoi donc aller mettre un trait d’union entre des adverbes ? Cela ne se fait jamais « .
Quid de par-delà ?Me voici longtemps après votre réponse car je viens également de rencontrer un « par-là même » dans mes lectures qui a attiré mon attention. Je serais également d’avis de ne mettre aucun trait d’union.
A vous lire,
Amicalement,
Karine- 16187 vues
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Bonjour,
Merci de vos retours.
Finalement, vous êtes d’accord, c’est mal écrit… Il faudrait changer la formule ! Mais je voulais bien envisager que le « l » remplace une proposition inexistante, seulement suggérée…
Amicalement,
Karine- 267 vues
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Merci de vos contributions. Vous avez clarifié ce qui ne l’était pas.
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Merci pour vos commentaires, et merci aussi pour la version originale de Laura Kasischke !
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Merci pour toute ces réponses.
Je supporte l’idée qu’il est possible de mettre de l’indicatif après cet éclairage des plus convaincant.
Amicalement,
Karine- 348 vues
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Bonjour,
Toutes vos explications me conviennent. Mais vous êtes également d’accord avec moi pour convenir que « coq-à-l’âne » et « tête-à-tête » ne sont pas des groupes verbaux ?
Amicalement,
Karine- 882 vues
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