Bonjour,
Il me semble qu’il n’existe pas de règle définitive pour trancher cette question. Vous pouvez choisir l’une ou l’autre possibilité, tant que ce choix est suivi dans l’ensemble du texte.
Ce qui est sûr, c’est que dieu et déesse s’écriront toujours en bas de casse dans ce cas.

Merci beaucoup pour votre réponse !

L’accord dans l’exemple « Des sublimités qu’on a reconnues être des fautes de copiste », cité pour la première fois dans votre message, est-il donc une erreur de frappe ? (Bien que cette orthographe soit tolérée depuis 1990, donc.)

Par ailleurs, si je comprends bien, on écrit effectivement : « L’annonce qu’ils n’ont pas vue venir », puisque le verbe « voir » n’est pas un verbe exprimant une opinion ou une déclaration.

Merci beaucoup pour votre réponse ! Je penchais plutôt pour cette option sans arriver à l’analyser.

Cette réponse est-elle valable dans le cas où les bruits sont réels et se révèlent être effectivement des voix ? J’imagine que oui, cela ne change rien puisque la construction grammaticale est identique.

Par ailleurs, pourquoi le COD n’est-il pas toujours considéré comme neutre dans ce type de cas ?
Dans l’exemple donné ici, « Cette annonce, ils ne l’ont pas vue venir », pourquoi faut-il faire l’accord ? Est-ce que ce serait différent si on écrivait « L’annonce qu’ils n’ont pas vue/vu venir » ?

Je suis désolée si je m’éloigne un peu du sujet, mais si je sais qu’il ne s’agit pas d’un COD, j’ai du mal à identifier la fonction grammaticale de « lesquels ».
Est-ce vraiment un complément circonstanciel de lieu ? Ne s’agirait-il pas plutôt d’un COI ici ?

Bonjour,

Je pense que la seconde proposition est incorrecte puisque « lesquels », mis pour « les dossiers », n’est pas COD du verbe. La question que l’on se pose est bien : j’ai travaillé sur quoi ? Le participe passé n’a donc pas de raison d’être accordé.

Merci pour votre réponse.
C’est seulement moi qui trouve que ça ne sonne parfois pas très bien, alors !
J’ai lu ailleurs des débats sur le fait que la construction était correcte lorsqu’il s’agissait d’un verbe de mouvement, ou lorsque l’infinitif exprimait la conséquence directe du verbe conjugué, etc. Je ne savais qu’en penser.